Mila, Rémi, ...

Mila

(photo France 3)27 mai 2011 _ «Notre lutte a commencé le 26 juin 2010, elle s'interrompt un peu aujourd'hui, mais est loin d'être terminée». David Beck, père de Mila, une jeune trisomique de Senlis, ne cache pas son soulagement. [...] Le problème, c'est que le contrat de cette AVS se termine le 13 juin, alors que la fillette est à l'école jusqu'au 2 juillet. Le combat des parents de Mila n'est donc pas terminé: «On l'a appris quand l'AVS est arrivée. Notre victoire au tribunal aura servi à deux mois de présence... C'est peu. Et ensuite, il faudra entamer les démarches pour la rentrée 2011...» Le Courrier Picard

10 mai 2011 _ Nous pensions tous au vu des articles de presse que la petite Mila, pourrait prétendre à une AVS pour la soutenir dans sa scolarisation, pour 15 heures par semaine et cela jusqu'au 2 juillet 2011 , que nenni , une AVS est arrivée le 9 mai 2011 pour prendre son poste pour 12 heures par semaine , et cela jusqu'au 14 juin 2011. Handicap et moi 

Les dernières nouvelles de Mila, par David, son papa... Handicap et moi 

16 avril 2011 _ Victoire des parents de Mila au Tribunal. France 3 Picardie

Mila, la petite trisomique âgée de 10 ans et élève de l’école du Centre de Senlis, a réellement besoin d’une auxiliaire de vie scolaire (AVS) et aurait dû en bénéficier durant l’année scolaire. Saisi par les parents de Mila après le refus de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) de renouveler l’AVS qui suivait l’enfant l’année dernière, le tribunal du contentieux de l’incapacité d’Amiens, (qui règle les litiges relatifs à l’incapacité) vient de rendre une décision conforme aux attentes des parents. [...] Mais les parents de Mila savent qu’ils ne doivent pas s’endormir sur leurs lauriers car dans les semaines à venir des réunions et des rencontres vont s’enchaîner pour décider de la scolarité de leur enfant l’année prochaine. En espérant ne pas revivre le même scénario que cette année. Le Parisien

18 janvier 2011 _   Je suis le père de Mila 10 ans, atteinte de trisomie 21 qui est en CP et CE1 à l'école du Centre à Senlis. À la suite de 2 refus d'AVS de la CDAPH de l'Oise Mila est en classe sans aide depuis septembre. Contre l'avis de l'école,t des spécialistes qui suivent Mila et des parents, la MDPH veut forcer une orientation en CLIS. La MDPH ne veut retenir que les manques de Mila et pas du tout ses besoins, ni sa progression.

  Nous avons formé un recours au TCI d'Amiens qui sera examiné le 2 février à Senlis. Pourriez-vous nous envoyer un message de soutien ?

  Très amicalement,

  David Beck

  (Notre combat depuis 7 mois, avec 15 articles dans la presse régionale, un reportage de France3 Picardie, 2 manifestations, une pétition...)

26 décembre 2010 _ Jusqu'à l'an dernier, Mila, 10 ans, jeune élève de l'école du Centre gravement handicapée, bénéficiait d'une auxiliaire de vie scolaire. Depuis septembre, cette aide précieuse lui a été retirée. Elle doit désormais se débrouiller sans elle. Le Courrier Picard

30 novembre 2010

Bonsoir, je suis le père de Mila, dont vous avez parlé dans vos colonnes.

Je m'étonne de ne jamais voir décrits l'attitude et le fonctionnement de certaines MDPH qui anticipent les problèmes budgétaires des rectorats en prenant des décisions contre l'intérêt des enfants et contre les principes de l'intégration.

Amicalement, David.

18 décembre 2010 _ Mila toujours sans auxiliaire de vie. Cette enfant de 10 ans lourdement handicapée a perdu son auxiliaire de vie depuis la rentrée. Ses parents intentent maintenant une action judiciaire. Le Parisien

23 novembre 2010 _ La petite Mila toujours dans l'attente. Le Parisien

2 octobre 2010 _ Henri Bonan, le vice-président du conseil général, qui préside la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH), vient publiquement de prendre position contre l’avis rendu dans le dossier de Mila Beck. « S’étant trouvé dans l’impossibilité de participer à la dernière commission statuant sur la situation de Mila Beck, Henri Bonan, président de la CDAPH, a souhaité exprimer sa position, tout en respectant pleinement la décision prise précédemment, apprend-on dans un communiqué. Le Parisien

En engageant dès le mois de juin un véritable combat pour que leur petite fille Mila, enfant trisomique âgée de 9 ans, conserve son auxiliaire de vie scolaire (AVS), ses parents savaient qu’ils s’engageaient sur une voie ardue. Depuis trois ans, Mila bénéficiait d’une AVS mais les choses ont changé cette année lors de son entrée en CE 1, à l’école du Centre à Senlis. La commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) a décidé de retirer l’AVS de Mila et a préconisé un placement de l’enfant dans une classe spécialisée. Inadmissible pour les parents de l’enfant, qui aujourd’hui se disent prêts à contester cette décision de la commission devant le tribunal du contentieux de l’incapacité de travail à Amiens. Le Parisien

25 septembre 2010 _Ses parents refusent qu'elle soit placée en classe d'intégration scolaire (CLIS). Ce qu'ils veulent pour leur fille, c'est une AVS. « Dans trois mois, elle risque d'être en échec scolaire. Ils nous mettent dans une situation très difficile », regrette son père David Beck. Ultime recours pour la famille : porter l'affaire devant le tribunal du contentieux de l'incapacité à Amiens. « Nous sommes en train de monter le dossier. Nous avons pris un avocat. L'audience devrait se dérouler début novembre. Après la décision est rendue sous dix jours. Mais la MDH a le droit de faire un recours. Au mieux, Mila aura une AVS début décembre. Nous sommes révoltés. »  Courrier Picard

15 septembre 2010 _  La réponse est sans appel : puisque les parents de Mila, actuellement en classe de CE1, ne souhaitent pas qu'elle aille en CLIS (classe d'intégration scolaire), la MDPH tolère son maintien à l'école, mais sans assistante de vie scolaire. Courrier Picard

L'orage a douché les manifestants, mais pas leur enthousiasme à soutenir la petite Mila, petite trisomique de 9 ans, qui risque de ne pas pouvoir faire sa rentrée à l'école du Centre de Senlis : son auxiliaire de vie scolaire (AVS) ne sera pas reconduite à la rentrée. Le Parisien

3 septembre 2010

Premier jour d’école un peu compliqué pour Mila, élève trisomique de Senlis, dont la situation avait engendré une manifestation de soutien de nombreux parents et enfants à la fin de l’année scolaire. Sa famille avait appris que le contrat de l’auxiliaire de vie scolaire (AVS), qui aidait énormément Mila en classe, ne serait pas reconduit. Hier matin, c’est donc seule que Mila a fait son entrée en CE 1 de l’école du Centre, le recours de ses parents pour obtenir une AVS ne sera examiné que le 10 septembre. Autre conséquence de cette valse-hésitation qui dure depuis trois mois, l’AVS qui soutenait Mila pointe désormais au chômage.Le Parisien

3 juillet 2010 _À 9 ans, Mila, trisomique, suit sa scolarité à l'école du Centre. Faute d'auxiliaire de vie scolaire à la rentrée, elle devra quitter son école. Un mouvement de soutien s'organise pour éviter ça . Courrier Picard

2 juillet 2010 _ Il devrait y avoir foule cet après-midi à 17 heures devant la sous-préfecture de Senlis, à l'occasion d'une manifestation de soutien à la petite Mila, une enfant de 9 ans scolarisée à l'école du Centre. Connue et appréciée de toute l'école, enfants, parents et enseignants, Mila risque pourtant de ne pas pouvoir faire sa rentrée des classes à l'école du Centre le 2 septembre prochain. La petite fille est atteinte de trisomie 21 et peut suivre une scolarité comme tous les autres enfants, en étant accompagnée d'une auxiliaire de vie scolaire (AVS), indispensable au projet personnalisé de scolarisation de la petite Mila. Or, ce poste d'AVS ne devrait pas être reconduit pour la prochaine rentrée. « Dans la même journée, nous avons appris que Mila pouvait passer en CE 1, puis que cela ne serait pas possible puisque la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) a décidé de ne pas reconduire le poste d'AVS pour Mila, explique le papa de Mila, David Beck. Le Parisien

Rémi

28 novembre 2010

L'association est née autour de Rémi, un enfant atteint d'une une paralysie laryngée d'origine centrale qui lui interdit tout échange verbal. Si le potentiel intellectuel du petit garçon est intact, cet handicap l'oblige à une assistance paramédicale, discrète mais constante. De là,peuvent naître des difficultés pour suivre une scolarité classique, puisque les conditions d'accueil dans les circuits de l'école élémentaire ne prévoient pas ce type d'aide. [...] Aujourd'hui, la bataille de l'association a payé. L'Éducation nationale, au terme de quatre années d'âpres négociations, a accepté de prendre en charge le défraiement de la personne chargée de l'aide. Mais l'avenir est déjà là, et l'an prochain, ce sera le collège. Midi Libre