Nombres spéciaux

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Certains nombres ont des particularités qui sont très utiles en mathématiques aussi bien que pour les ingénieurs, physiciens, astronomes et autres techniciens et scientifiques. Nous allons découvrir ce qu'ils sont, d'où ils viennent et à quoi ils servent.

Version du 22 août 2021

Les termes en gras soulignés renvoient aux articles de Wikipédia en français.

Les nombres spéciaux ont chacun une origine et une utilité particulières. Chacun a son nom et un symbole pour le désigner. Ainsi, on  a :

0 : zéro 

(pas le chiffre mais la quantité)
Le zéro n'est arrivé qu'au moyen âge en arithmétique. En effet, si on a une quantité  zéro de quelque chose, on n'en a pas donc, elle n'existe pas.

: l'infini 

xxx

1 : Le nombre un : (pas le chiffre mais la quantité)
est utile en mathématique pour résoudre des équations grâce à ses propriétés :
Tout nombre multiplié ou divisé par 1 donne lui-même : a x 1 = a ; a ÷ 1 = a
Tout nombre divisé par lui-même donne 1 : a ÷ a = 1
On dit qu'il est neutre.

√2 : la racine carrée de 2 : « Le rapport de la diagonale d'un carré à son côté »

En Europe, les documents papier ont un format standard qui fait que quand on le plie en 2 le rapport entre sa largueur et sa longueur reste le même.

π : la constante d'Archimède : « Le rapport de la circonférence d'un cercle à son diamètre » ≈ 3,1416

φ : le nombre d'or : « La solution de φ2 - φ = 1 » donc  φ = (1 + √5)/2 ≈ 1,618
et les nombres de métal

Ψ : le nombre plastique : « la solution de Ψ3 - Ψ = 1 » donc Ψ = 3((1/2)+((√69)/18))+3((1/2)-((√69)/18)) ≈ 1,3247

i : l'unité imaginaire : « la solution de x2 = -1 » donc x = √-1 = i

e : le nombre d'Euler : xxx ≈ 2,71828

Et 2 nombres de mon invention :

ε : (epsilon) le plus petit nombre plus grand que zéro

* : (astérisque) le plus grand nombre plus petit que l'infini

Ces 2 nombres n'existent pas plus que zéro, i ou l'infini qui sont acceptés en mathématique !