L' obscur et la lueur

Dans ce treizième roman, je m'en suis tenu une fois de plus à mon thème de prédilection, en l'abordant cette fois du côté du principal concerné, un peu comme je l'avais fait lors de la série des Radu Dracula. J'ai une nouvelle fois choisi ma région natale pour cadre, mais j'espère que vous m'accorderez qu'elle se pose un peu là quant au nombre d'âmes tourmentées qu'elle abrite.

 Toutefois, il s'agit cette fois d'une plongée quelque peu abyssale dans le monde caché derrière ce monde. Vous savez ? Celui d'où nous venons tous et retournons tous, du moins pour ce que j'en sais. En tant que pratiquant du spiritisme, ce monde ne m'est évidemment pas totalement étranger, et il m'a semblé que ce serait une bonne chose d'en dévoiler certains aspects, fût-ce sous couvert d'une fiction.

Si vous vous êtes déjà intéressés aux Expériences de Morts Imminentes, par exemple,  ou si la notion de "forme pensée" ne vous est pas inconnue, si vous vous êtes déjà interrogés quant à la "huitième sphère" qui roderait, imperceptible à nos sens, à proximité de la Terre, et bien je crois probable que ce roman contienne de quoi vous interpeller.

Ceci-dit, si vos pensées sont plus axées sur les maux qui ravagent ce monde, notamment la violence dans son expression la plus abjecte, ce récit peut aussi vous parler. Il y est question d'une vieille dame ayant été prise à partie par ce qu'il est devenu commun de nommer la racaille. Une vieille dame qui, comme vous et moi – sans doute –, n'était ni un ange, ni un démon. Mais qu'est-ce qu'une vieille dame au regard des pires engeances que peut produire cette humanité, n'est-ce pas ? 

Fort heureusement, lesdites engeances ne croient généralement pas aux vampires et, même si ma vieille dame n'y croit pas davantage, cette incrédulité n'a jamais été un obstacle à l'action de mes sangsues favorites.  

Disponible chez Rivière Blanche en version brochée, et prochainement chez Amazon en version numérique (cliquez sur les liens ci-dessous) 

Il se passe parfois des trucs bizarres quand j'écris, et la dernière bizarrerie recensée concerne cette couverture. En écrivant l'Obscur et la lueur, il me fallait un chat, j'en ai donc inventé un. Je l'ai appelé Léo, ne me demandez pas pourquoi, je ne connais aucun chat ni autre animal ou humain portant ce nom. J'ai décidé qu'il serait roux, ne me demandez pas pourquoi non plus, mes propres chats sont noirs. Or, lorsqu'une dame de ma connaissance ayant servi de modèle à la vilaine Solange Pasqual des Radu Dracula a vu la couverture de l'Obscur et la lueur et qu'elle a appris que le chat y figurant s'appelait Léo, elle m'a aussitôt dit : "Mais c'est mon chat, ça !" Bizarre, n'est-ce pas ? Ci-dessous une photo de "son Léo" : 

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Le galion des étoiles - "L’Obscur et la Lueur est un roman un peu à part des autres ouvrages de l’auteur. Oserais-je dire qu’il est plus complet, plus détaillé sur ce qui nous attend ? Il nous explique en tout cas ce passage inexorable que nous connaîtrons tous un jour ou l’autre. "

Revue Présence d'esprits - "L'Obscur et la lueur nous entraîne dans une promenade spectrale bigarrée, pleine de tableaux originaux et bien ciselés"