Photo de Jean-Baptiste-Éric Dorion (Coll. SHD)
Shannon A
Groupe 12
2012-2013
SOURCES
IMAGE : Jason Thiffault, Barbina dans le couloir de la mort, 12 Août 2010
Articles consultés, mai 2013
Jean-Baptiste-Éric Dorion, Wikipédia
DORION, JEAN-BAPTISTE-ÉRIC, Dictionnaire biographique du Canada en ligne
Dorion, Jean-Baptiste, Grand Québec
En 1847, Jean-Baptiste-Éric Dorion crée le journal l’Avenir. Ce journal lui servira de tribune pendant 5 ans. Avec les idées qu’il défend, il met à dos les hommes politiques et le clergé. L’Avenir aborde des sujets controversés comme l’abolition du régime seigneurial, le développement de l’agriculture, le rejet de l'Acte d’Union et l’annexion aux États-Unis. Dorion obtient le respect de ces adversaires en raison de sa franchise et de son honnêteté.
Jean-Baptiste-Éric Dorion est un partisan du Parti rouge qui fait frémir les groupes politiques et cléricaux canadiens-français. Son caractère bouillant lui vaut le surnom d’enfant terrible. Il est l’un des fondateurs de l’Institut canadien de Montréal. Dorion lutte pour l’abolition des dimes et de la tenure seigneuriale. Il revendique le gouvernement responsable. Il s’oppose toujours à la Confédération.
Le journal L'Avenir est créé en 1847. La motivation des créateurs est d’avoir une société laïque pour ainsi séparer l’Église de l’État. Jean-Baptiste Dorion travaillent avec des jeunes membres de l’Institut Canadien. Ils décident de former un groupe brillant d’un nouveau camp libéral. Il n’est donc pas étonnant que ce soit Dorion qui prenne l’initiative d’inciter l’Institut canadien et la Société mercantile d’économie à se pencher sur le problème de la colonisation. Pour régler le problème , le comité ad hoc de l’aile parlementaire libérale-démocrate, dont Dorion fait partie, propose la fédération des deux Canadas.
L'Avenir
L'enfant terrible
Jean-Baptiste Dorion est l’un des journalistes les plus brillants du XIXe siècle, quoique l’un des plus controversés. Il est surnommé l’Enfant terrible de la province du Québec. Il est avocat, journaliste, homme politique et juge. Dorion ne se lasse jamais dans son opposition à la Confédération qu’il estime un système politique peu viable. Il devient alors un partisan du «gouvernement responsable» et d'un système politique fédératif.
© Domaine public. Crédit : Livernois.
Source : Archives nationales du Québec/P560, S2, P300370-282
Jean-Baptiste-Éric Dorion.
Bianca C
Groupe 13
2010-201