Le néolibéralisme est un mouvement de pensée qui vit le jour au début des années 1980. Ce mouvement s'est développé par un retour vivement recommandé au libéralisme classique. Le néolibéralisme consiste principalement à réduire le rôle de l'État. Il valorise les mêmes valeurs fondamentales que le libéralisme en soutenant que l'État doit laisser agir librement les forces du marché et encourager la non-intervention. Les néolibéreaux, les gens de ce mouvement de pensée, croient aux services de la responsabilité individuelle : que chaque individu est responsable de son sort et que l'État ne devrait que l'aider en dernier lieu.
Claudia R. et Isabelle L.
Groupe 12
Manifestation contre les politiques néolibérales de Charest
Les manifestations contre les politiques néolibérales du gouvernement du premier ministre de Jean Charest. Les manifestions ont commencé très tôt dans la carrière politique du premier ministre québécois. Une des premières manifestions s’est déroulée au début du premier mandat du gouvernement libérale du Québec le samedi 29 novembre 2003. Les gens revendiquent sous le thème : « Stoppons la démolition! ». Cette manifestation organisée par la CSN s’oppose à ce que la réingénierie de l’État annonce. C’est-à-dire, la modification de l’article 45 pour favoriser la sous-traitance ainsi que des projets de loi qui servent à empêcher la syndicalisation. Les manifestants veulent conserver les protections minimales du travail, la qualité et l’accessibilité des services publiques, le financement des programmes sociaux, la redistribution de la richesse ainsi que l’équité fiscale , qui est sujet à vouloir corriger les inégalités. Tous ces sujets d’inégalité font partie de ce que le gouvernement de Jean Charest veut enlever à la société pour tout simplement réduire le rôle de l’État qui est le but principal du néolibéralisme.
Claudia R. et Isabelle L.
Groupe 12
Jean CHAREST
Député de Sherbrooke
Parti libéral du Québec
Premier ministre
Responsable des dossiers jeunesse
Source : Place aux citoyens,
Assemblée nationale du Québec
Ajoutée par frontcommun le 18 déc. 2009
Le 29 octobre, les travailleuses et travailleurs des services publics se sont réunis au CEPSUM à Montréal, pour marquer le lancement des négociations des secteurs public et parapublic
L'État-providence et le néolibéralisme
À la fin du 20e siècle au nom du libéralisme économique, les gouvernements refusent de plus en plus d’intervenir dans l’économie de l'État. Les crises économiques remettent en question le rôle de l’État dans l’économie. En 1980, beaucoup de gens se plaignent du modèle de l’État-providence en Occident. L’idée de la réduction de la dette de l’État fait réfléchir. Le mouvement de pensée néolibéralisme est une forme de retour au libéralisme voulant réduire l’intervention économique de l’État dans les institutions publiques signifiant que l’État-providence est remis en question. Pour rééquilibrer les budgets, les gouvernements mettent un grand accent dans la réduction des dépenses de l’État. Il coupe dans les services de la santé, les services sociaux, l’éducation et la culture. Un discours fait qu’on remplace de plus en plus les valeurs de solidarité et d’égalité sociale soutenues par l’État-providence par un discours économique. Il faut quand même noter que de nombreux groupes critiquent toujours le néolibéralisme par exemple les associations étudiantes, les syndicats, les groupes de femmes et les organismes communautaires.
Lien pour mieux vous aider a comprendre le néolibéralisme :
Vanessa P
Groupe
2012-2013