Écarts salariaux entre les emplois féminins et masculins
Depuis que les femmes ont commencé à être rémunérée pour travailler, les hommes ont un plus gros salaires que celles-ci même si elles ont le même emploi ou un emploi jugé équivalent. Depuis maintenant quelques années, les femmes ne supportent plus l’écart salariale entre elles et les hommes, alors elles revendiquent leurs droits. Les entreprises ignorent souvent des aspects du travail féminin parce qu’elles sont associées à des qualités personnelle dites féminines plutôt qu’à leurs compétences au travail. C’est pourquoi, grâce aux travailleuses du Québec, elles ont réussi à se faire entendre afin de voir à l’élaboration d’une Loi sur l’équité salariale. La Loi fait que les catégories d’emplois à prédominance féminines doivent être comparées aux catégories d’emplois masculins au sein d’une même entreprise.
Loi sur l’équité salariale
Les travailleuses du Québec ont un plus petit salaire que les hommes qui font le même métier ou un métier équivalent. C’est pour cela qu’en 1996, l’Assemblée nationale du Québec a adoptée la Loi sur l’équité salariale. Dans la même année, l’Assemblée nationale a mis en place la commission sur l’équité salariale. Cette Loi vise la reconnaissance de tous les aspects du travail des femmes. Elle vise aussi à corriger la discrimination systématique à l’égard des emplois traditionnellement ou majoritairement féminins. La Loi sur l’équité salariale fonctionne si la comparaison met en évidence la rémunération des catégories féminines est inférieure à celles masculines de valeur comparable. Si c’est le cas, des arguments salariaux doivent être effectués pour les catégories féminines et l’écart salariale entre les femmes et les hommes seraient ainsi abolis.
Marie-Pier P.
Groupe 10
2010-2011
Les préjugés sexistes
Dans les pratiques salariales, les préjugés sexistes sont encore bien enracinés. Les employeurs ignorent trop souvent les aspects du travail des femmes parce que celles-ci sont associées à des qualités personnelles féminines plutôt qu’à des aspects du travail à faire devant être payé. Les femmes sont souvent victimes de préjugés par des chefs d’entreprise qui ne reconnaissent pas la femme comme visible et reconnue à leur juste valeur. La solution pour ce problème serait de reconnaître les femmes dans tous les aspects du travail afin de ne pas les associés à des qualités personnelles.
Guillaume A
Groupe 10
2010-2011