à la préhistoire il existait d'autres représentations topographiques à l'échelle (3.1)
d'autres sites ont existé à vocation d'enregistrement et de transmission de connaissances cartographiques (3.2) et le même type de réseau de transport de bien précieux au néolithique a été décrit.
à des dates reculées on trouve des principes mathématiques comparables (3.3) à ceux proposés dans notre modèle formel (3.10)
les installations décrites ressemblent à des constructions de la période néolithique (3.4)
si c'est une compétence anthropologique (3.5) nous devons nous aussi être capable d'en faire autant
d'autres peuples (3.6) doivent pouvoir faire la même chose, en particulier sans l'aide de l'écriture
ces voyages sont raisonnablement faisables (3.7) par des personnes comme nous
de nos jours encore certains de ces points de repère servent encore à s'orienter en randonnée (3.8)
on peut vérifier le modèle sur les constructions locales (3.9) autour de la Pierre des Trois Evêques
le modèle formel proposé (3.10) est statistiquement probable
On doit démontrer un langage de signes (3.11) : à travers plusieurs sites les mêmes signes valent pour les mêmes signifiés , du moins selon le cycle observation / inférence / proposition d'un modèle / application du modèle / observation répétée sur un autre cas (3.12)
Au final si toutes ces affirmations sont vérifiées on peut retourner auprès de la définition de ce qu'est un système cartographique défini par Delano Smith : un système de signes répétés et clairement interprétables, montrant à l'échelle des indications géographiques codant des discontinuités du réel, selon on modèle conceptuel, lié à un projet humain sur le territoire concerné.
Les vérifications sont présentées par l'auteur de la vérification, Thomas de Charentenay, ou via une référence académique sourcée (encadré à part)
DELANO SMITH C., Cartography in the Prehistoric Period in the Old World: Europe, the Middle East, and North Africa C.