Il reste la trace d’une recette de fabrication, non datée, et signée par Gui Vollet ( ?), que nous reproduisons ci-après[1] :
Vernis supérieur pour cartons bois métaux etc.
et chauffer doucement
Il reste la trace d’une recette de fabrication, non datée, et signée par Gui Vollet ( ?), que nous reproduisons ci-après[1] :
Vernis à tableaux.
Foudre au bain marie puis filtrer et y ajouter 10 grammes de Silicate de soude
Il reste la trace d’une recette de fabrication, non datée, et signée par Gui Vollet ( ?), que nous reproduisons ci-après[1] :
Vernis complétement incolore d’une siccativité inconnue. Brillant élastique, adhérence et imperméabilité absolues[2]
Chauffer à feu très doux, après dissolution, filtrer.
Il reste la trace d’une recette de fabrication, non datée, et signée par Gui Vollet ( ?), que nous reproduisons ci-après[1] :
Vernis copal incolore
En vase couvert, chauffer doucement. La dissolution est rapide et par les repos la clarification est très prompte.
Il reste la trace d’une recette de fabrication, non datée, et signée par Gui Vollet ( ?), que nous reproduisons ci-après[1] :
Copal dur. Ambre. Luccins à froid[2].
Prendre du copal dur pulvérisé et l’exposer à l’air (non à la pluie) pendant 12 à 15 jours. Dans cet état il est complétment oxygéné et change de nature et se dissous dans l’acide Oléique _pour l’huile_ et dans l’acétane pour l’alcole et la térébenthine.
Lorsque le copal est arrivé à l’état de gélatine et y ajouter à froid ou au bain marie la quantité suffisante d’alcool ou d’essence. Générallement 20% de guinure ( ?) pour vernis supérieur.
Références :
Maison Blanchet - © Frédéric Blanchet 2020