Nantes (1835-1876)

Rue Boileau à Nantes

Maison Blanchet, Au Bon Broyeur, Laurent Blanchet, 7 rue Boileau [1834- 1840 ?] 


Début de l’activité – 7 rue Boileau [juillet 1834]

 



L’activité – 7 rue Boileau [juillet 1834- 1840 ?]

 

En 1835[3] Laurent Blanchet est cité comme marchand demeurant rue Boileau sans que le numéro de la rue soit indiqué.

 

En 1839[4] il est cité comme Broyeur de couleur demeurant rue Boileau sans indication du numéro de rue.


Références :

En 1843 le propriétaire est la veuve de François Audebal demeurant 30 rue de la Contrescarpe

Maison Blanchet, Au Bon Broyeur, Laurent Blanchet, 5 rue Boileau [1841 ?-1850] 


Début de l’activité [1841 ?]

Nous n’avons pas déterminé de façon certaine la date du déménagement de Laurent Blanchet du 7 au 5 rue Boileau.

 

Il arriva au 5 rue Boileau au plus tard en 1841 ainsi que l’atteste le recensement.

 

En 1841[1] Laurent Blanchet demeure avec son épouse et deux enfants en rez-de-chaussée. Les locaux loués sont constitués d’une boutique et arrière-boutique, et d’une autre pièce. Le propriétaire est M. Dobrée.


L’activité – 7 rue Boileau [1841-1850]

 

En 1841 et mai 1845[3] il est marchand de couleurs demeurant rue Boileau.

 

En mai 1846[4] il est marchand de fournitures de bureaux et de peinture demeurant rue Boileau. Cette même année il est le 8ème ménage sur 15 au 5 rue Boileau. Ils sont locataires de locaux constitués d’une boutique et arrière-boutique, et d’une autre pièce. Le propriétaire est toujours M. Dorbrée.

 

En 1847[7] Blanchet est cité comme marchand papetier au 5 rue Boileau.

 

Le 24 avril 1848[8] Laurent Blanchet, marchand de papiers demeurant à Nantes rue Boileau a réalisé une surenchère sur une portion de maison située au 32 rue Rubens à Nantes. Les biens sont alors remis aux enchères.

 

Dans les Etrennes Nantaises entre 1848 à 1850[9] Blanchet est cité comme marchand papetier au 5 rue Boileau.

 

Lors de la naissance de Paul Constant Blanchet le 20 novembre 1850 Laurent Blanchet demeure rue de Chapeau Rouge. Laurent a quitté avant cette date la rue Boileau et son frère Jean Baptiste s’y installe.

 

Notons que nous trouvons dans les Etrennes Nantaises entre 1851 à 1853[10] Blanchet marchand papetier au 5 rue Boileau. Nous ne savons pas qui tenait ce magasin. Laurent Blanchet faisait alors des allers retours entre Nantes et Paris.

 

Références :

Maison Blanchet,  Au Bon Broyeur, Laurent Blanchet, 12 et 14 rue du Chapeau Rouge [novembre 1850 – février 1854]


Début de l’activité [novembre 1850]

 

Lors de la naissance de Paul Constant Blanchet le 20 novembre 1850 Laurent Blanchet demeure rue de Chapeau Rouge.

 

C’est au plus tard la date qu’il convient de retenir pour le début de l’activité.

 

Activité [novembre 1850 – 31 octobre 1851]

 

En 1851[1] le recensement nous indique que Laurent Blanchet, marchand de couleurs, loue les 12 et 14 rue du Chapeau Rouge à Nantes. Il s’agit d’un rez-de-chaussée avec un magasin et 3 pièces. Le propriétaire est M. Audebat. Laurent y réside avec son épouse Henriette Dagognet et ses enfants Victor âgé de 16 ans, marin, et Henri âgé de 11 ans. Ils ont avec eux une domestique, Joséphine Morian âgée de 20 ans.

 

Le 29 octobre 1851[2] Laurent Blanchet, marchand de couleurs, 46 ans, demeure rue du Chapeau Rouge.

 

Les 25 novembre 1851[3] Laurent Blanchet annonce l’achat d’un fond de marchand de couleurs fines à Paris.

 

« M. Blanchet, rue du chapeau-Rouge, n°12, à Nantes, à l’honneur de prévenir messieurs les artistes peintres et amateurs des beaux-arts qu’il vient d’acheter un fond de marchand de couleurs fines à Paris. Et par ce moyen, il aura la facilité de tirer toutes ses marchandises de premières mains, et de pouvoir vendre à des prix inférieurs que par le passé ; et loin de quitter sa maison de Nantes, comme des concurrents se plaisent injustement à dire, il se propose de lui donner plus d’extension que jamais. On trouvera toujours chez lui des toiles de toutes les dimensions et des couleurs toujours fraiches tant en tubes qu’en vessies, et en général, tout ce qui a rapport à la peinture à l’huile, aquarelle et gouache, brosses et papiers vernis pour peinture orientale, fournitures de dessins et de bureaux. Maison à Paris, rue de l’Arbre Sec, 46 »


En 1852[4], Laurent Blanchet est marchand papetier époux d’Henriette Rose Dagognet demeurant à Nantes et Paris. Laurent effectue donc des allers retours entre ses magasins de Nantes et Paris.

 

Il faut noter que Laurent Blanchet bien que mentionné dans les annuaires en 1852 et 1853 quitte Nantes en 1851. En effet il est rayé des listes électorales en 1852 et il est conservé un courrier à son nom au 46 rue de l’Arbre Sec à Paris le 15 octobre 1851.

 

Laurent Blanchet a géré son activité jusqu’en 1854, date de l’annonce de la succession par son frère, publiée en février 1854.


Références :

Maison Blanchet,  Au Bon Broyeur, Philibert Blanchet, 12 rue du Chapeau Rouge [22 février 1854-1858]


Début de l’activité [22 février 1854]

 

Blanchet jeune [Philibert] prend officiellement la succession de son frère Laurent au 12 rue du Chapeau Rouge à Nantes comme marchand de couleurs « assortiment complet de tout ce qui concerne la peinture fine et le dessin, au prix de Paris » à partir du 22 février 1854[1].


Activité [février 1854 – 1858]

 

Le 24 avril 1854[2] Philibert Blanchet, marchand de couleurs, demeure rue du Chapeau Rouge.

 

Le 8 novembre 1855[3] Philibert Blanchet, marchand de couleurs, demeure rue du Chapeau Rouge.

 

En 1855[4] nous trouvons « Couleurs fines pour artistes et fabricant de toiles à tableaux, Blanchet, Nantes ».

 

En 1856[5], les nouveaux propriétaires des 12 et 14 rue du Chapeau Rouge sont les dames Agaisses. Philibert Blanchet, marchand de couleurs, a donc emménagé comme locataire au même emplacement que son frère au 12 et 14 rue du Chapeau-Rouge, sans doute dès 1852. Il est précisé que les biens loués sont constitués d’un rez-de-chaussée avec un magasin au 14 rue du Chapeau Rouge avec deux pièces dont une petite, un jardin, et le logement un rez-de-chaussée au 12 rue du Chapeau Rouge.

 

Au 12 rue du Chapeau Rouge Blanchet est « fabricant de couleurs » en 1857[6], « fabricant de couleurs et de toiles à tableaux » en 1858[7].

 

Nous trouvons « Blanchet, fourniture pour peinture et dessin, rue du Chapeau Rouge » en janvier 1860[8]. Cette dernière date doit être inexacte puisque dans l’état civil de Nantes le 7 octobre 1858[9] Philibert Blanchet, marchand de couleurs, demeure rue Boileau.

Références :

Maison Blanchet, Au Bon Broyeur, Philibert Blanchet, 5 rue Boileau [octobre 1858-20 juillet 1866]


Début de l’activité [octobre 1858]

 

Nous ne connaissons pas la date exacte du changement d’adresse mais lors de la naissance de Joseph Victor Romain Louis Lefèvre le 7 octobre 1858[1] Philibert Blanchet, marchand de couleurs, demeure rue Boileau à Nantes.

 

Activité [1858-1866]

 

En 1860[2] nous trouvons « Blanchet, tableaux, fournitures pour le dessin et la peinture, restauration et rentoilage de tableaux, 5 rue Boileau à Nantes ».

 

En 1861[3] Jean Philibert Blanchet, marchand de couleurs, loue au 5 rue Boileau une boutique et arrière-boutique ainsi que deux pièces au-dessus. Le propriétaire est M. Dobré.

 

En 1860, 1861, 1862, 1863, 1864[4] Blanchet est fabricant de couleurs et de toiles à tableaux au 5 rue Boileau à Nantes.

 

Entre 1860 et 1867 nous connaissons l’utilisation du tampon mentionnant : « Au bon Broyeur / Blanchet / Marchand de couleurs / A Nantes / Rue Boileau n°5 »


Nous connaissons un catalogue d’une page utilisé vers 1859-1860[5].

Mentions :

Au bon broyeur, Blanchet, 5 rue Boileau

Vernissage et rentoillage de tableaux, cadres dorés, couleurs en vessies

« Tient tout ce qui concerne la peinture et le dessin, telles que toiles à tableaux, couleurs en vessies et en tablettes, brosses, pinceaux, palettes, godets, chevalets, boites et sièges de campagne, boites d’atelier et autres, crayons, papiers blancs et de couleurs pour le dessin le lavis, l’architecture et les plans, cartons, portefeuilles, album, papeterie et fourniture de bureaux. »

 

Lors de l’exposition nationale de Nantes en 1861[7] dans la liste des exposants récompensés nous trouvons Blanchet, rue Boileau, Nantes, toiles à tableaux, qui obtient la mention honorable. Il fait partie du 3ème groupe « industrie spécialement fondée sur l’emploi des agents physiques ou chimiques et se rattachant aux sciences ou à l’enseignement », 10ème classe, « arts chimiques, teintures et impressions, industrie des papiers, des peux, du caoutchouc, etc… » Section « Corps gras en général, résines, essences, savons, vernis et enduits divers ».

Nous retrouvons cette mention sur son catalogue plus tard.


Le 10 juillet 1864[11] le jury de l’exposition nationale d’Angers[12] donne la mention honorable à l’exposant Blanchet, de Nantes, dans la catégorie « 7ème classe, produits chimiques », pour ses « toiles préparées pour tableaux ». Cette récompense sera rappelée dans les futurs catalogues.

 

Un catalogue utilisé vers 1864-66[14] indique les éléments suivants.


Mentions :

Fabrique de toiles à tableaux et couleurs fines Blanchet 5 rue Boileau à Nantes

Mention honorable Nantes 1861

Mention honorable Angers 1864

« Encadrement en tous genres, fournitures de bureaux, toiles, couleurs en tubes, boites, chevalets, cannes à sièges et parasols de campagne, brosses pinceaux, huiles, essences, vernis et sicatif de tous genres, maquettes et mannequins, rentoilage et restaurations de tableaux. »

 

Entre 1864 et 1866[15] nous connaissons l’utilisation du tampon mentionnant : « Blanchet fabr. de couleurs / Et / toiles à peindre / Nantes / Rue Boileau n°5 / Mention honorable »


Le même tampon est utilisé sur un tableau réalisé en 1867 un tampon mentionnant la « mention honorable » et le 5 rue Boileau. 

Il est mentionné : « Blanchet fabr. de couleurs/ et / Toiles à Peindre / Nantes / Rue Boileau n°5 / Mention Honorable »


En mars 1865[16] Blanchet est cité comme papetier et peintre au 5 rue Boileau.

En 1865[17] nous trouvons « Blanchet, tableaux, fournitures pour le dessin et la peinture, restauration et rentoilage de tableaux, 5 rue Boileau à Nantes ».

 

En 1866[18] les mêmes locaux sont toujours loués par Philibert Blanchet.


  La fin d’activité [20 juillet 1866]

Le 6 juillet 1866[20] Blanchet passe une annonce indiquant que « Le magasin de M. Blanchet, md de couleurs et articles de dessins, précédemment rue Boileau, 5, est transféré même rue, 8 ». 

Références :

Maison Blanchet, Au Bon Broyeur, Philibert Blanchet, 8 rue Boileau [juillet 1866-1875]


De 1867 à 1869[1] Blanchet est papetier au 8 rue Boileau.

 

Sur une toile de 1869 nous trouvons un tampon qui indique : « toiles à tableaux / Blanchet / rue Boileau / Nantes / couleurs fines »

 

La boutique au 8 rue Boileau[2], au rez-de-chaussée, est située au nord de l’allée comprenant une boutique à 2 ouvertures sur la rue Boileau (selon la description de 1843).

 

En 1870[3] chez M. Blanchet au n°4 de la rue l’ambiance est à la bonne humeur. C’est le propriétaire de toiles à tableaux et « couleurs fines pour tous les genres de peintures ». Il devint vite l’ami et le complice de M. Massart. Au n°10 de la rue Boileau la maison Mignon-Massart s’est spécialisée dans la vente de tableaux, fondée en 1867.

 

En 1870[4] Philibert Blanchet et Emile Blanchet sont tous les deux cités comme « marchand de couleurs rue Boileau ».

 

En 1870 et 1871[5] : Blanchet propose tableaux, fournitures pour le dessin et la peinture, restauration et rentoilage de tableaux au 8 rue Boileau.

  

En 1871[6] nous trouvons Blanchet papetier au 8 rue Boileau et par ailleur également Philibert Blanchet, marchand demeurant 8 rue Boileau.

 

En 1872[7] Philibert Blanchet, marchand de peintures, est locataire au 8 rue Boileau à Nantes. Le propriétaire est M. Fabriès. En plus de sa famille réside avec eux Marie Leseaulse, domestique native de Quimperlé qui ne sait ni lire ni écrire.

  

En 1873 et 1875[8] nous trouvons que Blanchet propose des toiles pour tableaux au 8 rue Boileau.

 

Le catalogue de 1874-1876[9] conservé, Blanchet 8 rue Boileau, est complet et fait 12 pages. La page de garde indique « 187. », laissant en blanc le chiffre des années.

 

Le catalogue de 1876[10] conservé, Blanchet 8 rue Boileau, est complet et fait 12 pages.


Références :

Maison Blanchet, Au Bon Broyeur, Philibert Blanchet, 4 rue Boileau [1876-1879]


Le 15 mai 1876[1] survient le décès de Marie Claudine Blanchet, fille de Philibert, papetière demeurant 4 rue Boileau.

 

Le recensement réalisé après, toujours en 1876[2], indique qu’Emile Blanchet et son père Philibert sont papetiers et demeurent 4 rue Boileau, ils ont avec eux une domestique, Marie Vesta, 39 ans. Le nom de leur propriétaire est alors M. Fabriès. Nous notons que Paul Blanchet ne réside plus avec son père et son frère.


En 1879[4] Philibert Blanchet est marchand de couleurs, et demeure avec son fils Emile au 4 rue Boileau à Nantes.

 

En 1879 Emile et son frère Paul partent à Paris où ils ouvrent un magasin au 32 rue Bonaparte.


Références :

Maison Blanchet, Au Bon Broyeur, Philibert Blanchet, ateliers 16 rue Mercœur à Nantes [1844-1846]


L’achat [1844]

 

Un jugement d’adjudication est rendu le 9 décembre 1844[1] par le tribunal civil de Nantes en faveur de Laurent Blanchet marchand de couleur demeurant à Nantes rue Boileau. Il s’agit de l’acquisition d’une petite maison sise 16 rue Mercœur à Nantes consistant en rez-de-chaussée, 1er étage, cave et grenier, cour et magasin. Cette propriété est acquise suite à la succession de Louise Recotillon, veuve en second mariage de Jean Augustin Hamore.

 

Les bâtiments

 

Différents documents entre 1845 et 1870[2] permettent de préciser la consistance du 16 rue Mercœur à Nantes (de 1844 à 1870) (et indiqué « relevé à 9 sur l’alignement de 1862 ») :

·        Un corps de bâtiment donnant sur la rue composé de :

o   En rez-de-chaussée 

§  Une allée

§  Une cave au-dessous

§  Une boutique, une arrière-boutique,

o   3 étages

§  Composés de trois pièces chacun, auxquels on monte par un escalier en pierres donnant sur la cour

o   Mansardes

§  Au-dessus un étage de trois pièces en mansardes, auquel on monte par un escalier en bois

o   Greniers

§  Greniers privatifs aux mansardes au-dessus

§  Lieux d’aisance dans l’escalier en pierre

·        Corps de bâtiment situé à la limite de la cour ci-dessus se composant en :

o   Au rez-de-chaussée :

§  De caveaux et magasins à cheminées,

§  Une allée étroite,

o   Un premier étage

§  Quatre pièces auquel on arrive par un escalier en bois

·        Autre cour à la suite de laquelle se trouvent :

o   Un atelier au rez-de-chaussée

o   Un atelier au premier étage auquel on arrive par un escalier en bois en forme d’échelle.

 

Un document du 30 mai 1870[3] nous apprend que le corps de bâtiment donnant sur la rue Mercœur, l’escalier en pierre dans la première cour ainsi que les ateliers du fond de la dernière cour ont été édifiés par Laurent Blanchet et son épouse de leurs deniers personnels sur l’ancienne construction formant avec celles qui ont été conservées et qui constituent aujourd’hui les cours corps de bâtiments.

 

L’atelier pour la maison Blanchet [1844-1846]

 

Le recensement de 1846[4] du n°16 de la rue Mercœur indique que parmi les locataires de Laurent Blanchet il y a un atelier au fond de l’allée qui est louée à Blanchet, doreur rue Boileau, qui n’est autre que lui-même.

 

Un document du 11 juin 1862[5] précise que Laurent Blanchet y a tenu son atelier un certain temps, avant son départ pour Paris et entre 1844 et 1851. Le recensement de 1851[6] ne mentionne plus d’atelier loué par Blanchet, ainsi que les suivants jusqu’en 1866.


La vente [1870]

 

Le 30 mai 1870[7] Philibert Blanchet, marchand de couleurs demeurant rue Boileau, agissant comme mandataire de son frère Laurent Blanchet et Henriette Dagognet son épouse, vend la propriété du 16 rue Mercœur à Nantes à madame Victoire Félicité Lacroix veuve de Théodore André Tahé, marchande de fripes demeurant à Nantes 16 place de Bretagne. Le prix de la vente est de 16.000 frs.

 

Références :

Maison Blanchet, Au Bon Broyeur, Philibert Blanchet, ateliers à Grillaud [1871-1879]



Jean Philibert Blanchet, marchand de Nantes, achète le 21 août 1871[1] un terrain à Chantenay de 232 m² à Basses Terres de Grillaud pour 1700 frs. Sur ce terrain il n’existe pas de bâtiment.

 

Jean Philibert fait construire en 1872[2] une maison de 4 pièces au rez-de-chaussée, mansardes sur le jardin clos de murs, un puit mitoyen. Lors de la mutation de 1882 le cadastre indique maison atelier et magasin.

 

Le catalogue de la maison Blanchet de 1873 indique que la fabrique et l’atelier sont à Grillaud près de Nantes.

 

Dans les catalogues de la maison Blanchet des années 1870 (catalogue préimprimés sans indication de l’année) la fabrique et l’atelier sont à Grillaud près de Nantes.

 

En 1876[3] Philibert Blanchet, marchand de peinture, demeure avenue Grillaud à Nantes Chantenay.

 

Le 25 novembre 1879[4] Jean Philibert Blanchet, tant en son nom que comme mandataire de ses deux fils Emile et Paul Constant Blanchet, tous deux commerçants demeurant rue Bonaparte à Paris et de son frère Jean Blanchet mécanicien à la compagnie Transatlantique et son épouse Pauline Fétu habitant à Saint-Nazaire, vend une maison et jardin à Grillaud moyennant 6500 frs à Louis Marie Biron époux de Marie Jeanne Ligé, demeurant chemin des Desalhres à Chantenay.

 

Le cadastre indique la vente à Grillaud d’une maison atelier et magasin comprenant 12 fenêtres (mutation sur le cadastre de la parcelle 454 à Grillaud en 1882)[5].


Références :

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