• Huile sur toile, 85 x 141.6 cm, au dos « Blanchet / - 20 - / rue Saint-Benoît / Paris »[1] 

Tampon : 20RSB--06 

• « Jeune femme parmi les plantes aquatiques » , 1889, 31.3*22.75 inches,  au verso Blanchet 20 rue Saint-Benoît Paris [10] 

• « Dernier rayon », 1896, 121*165.5 cm, en bas sur le cadre dans un cartouche un poème de Daniel Lesueur : « Le dernier rayon flambe dans l'espace Et l'or des taillis, les roses des chairs La frêle gaité des sourires clairs Vont s'effaçant dans l'eau qui passe » au dos Blanchet 20 rue Saint-Benoit Paris, [9]. 

« Jeune femme devant le Lac d’Annecy », huile sur toile, 38*29 cm, au dos Blanchet 20 rue Saint-Benoit [11] 

• A l’ami E. Blanchet mon cordial souvenir, signé Paul Chabas, 1906,Au verso : Maison Blanchet à La Palette d’Or, Paris, 20 rue Saint-Benoit, 20, Paris, exposition de : Salon de 1906.

• Baignade au clair de lune, huile sur toile, 55 x 38.5 cm, au dos « Blanchet / -20 - / rue Saint-Benoît / Paris » [14]

Tampon : 20RSB--03

• Lettre à Monsieur Emile Blanchet, 38 rue Bonaparte, cachet du 5 janvier 1907[1]. « Vendredi, Cher ami voulez-vous avoir l’obligeance de m’envoyer 2 châssis clefs en tête de 20 carré (20.73), 1 châssis idem raccourci 56*69, ½ litre d’essence térébenthine, 1 flacon fixatif, 1 tube d’argent. Cordialement à vous. Le châssis raccourci est moins pressé. Merci ( ?) d’envoyer le reste lundi ». Signé Paul Chabas.

• Lettre de R. Blanchet, 38 rue Bonaparte, adressée à monsieur Paul Chabas 23 rue Berthier, Paris le 19 mars 1912[2]. « Le tableau de monsieur Calos Varguez doit m’être livré ce matin seulement. Les délais de rigueurs étant expirés je reçois un mot de lui en recommandant de votre votre bonne amitié pour nous si cela est possible, de votre influence auprès du jury afin que son envoi de deux tableaux, dont l’un est déjà au Grand Palais, puisse être présenté. Veuillez agréer cher monsieur mon respectueux souvenir ». Signé R. Blanchet.

• Sur le même courrier réponse : « C’est entendu on recevra le tableau de Carlos Varguez malgré le retard, j’ai fait le nécessaire ». Signé Paul Chabas.

• Lettre incomplète du 8 février 1924[7], Il écrit depuis le 23 rue Bertier à Paris 17ème « avec mon meilleur souvenir ». Signé Paul Chabas. « Ma femme va un peu mieux. Elle est gravement malade depuis le mois de décembre, c’est très long ! »

• Lettre adressée à monsieur Robert Blanchet, 38 rue Bonaparte Paris, le 6 juillet 1924[3]. « Talloire, 6 juillet. Mon cher ami, je suis très heureux d’avoir reçu les tubes de couleur, tout est arrivé en même temps cela va me permettre de travailler car je me peux rester très longtemps sans rien faire. Le blanc à la trempe est très bon cette fois-ci. Merci et bien cordialement ». Signé Paul Chabas.

• Lettre adressée à monsieur Blanchet, 38 rue Bonaparte Paris, non datée[4]. « Dimanche. Mon cher ami j’ai retrouvé un restant de pièce assez grand de la toile de l’Algue. Voulez-vous m’envoyer le châssis soit mercredi soit jeudi matin par un homme habile pour tendre cette toile chez moi. Je lui remettrai l’échantillon de toile grise et un échantillon de celui que je vais employer en vous priant de m’en faire une pièce de même gris. Je vous promets un … … le tireur de même grosseur de grain. Cordialement ». Signé Paul Chabas. 

• Lettre non datée[5]. « Trébail. Mon cher ami voulez-vous avoir l’amabilité de m’envoyer 3 toiles tendues avec une toile dont un … … de côté une pièce de 1,52 m x 1,02 m. le tout expédié dans une laine tissée de façon à ce que je puisse les rapporter l’une ou l’autre une fois peints à Paris. Bien cordialement ». Signé Paul Chabas.

• Lettre non datée[6]. « Cher ami, vous … … dans tout pas rappel que je vous avais demandé de gros fusains très tendres. Ceux que vous m’avez envoyés sont très durs. Voulez-vous m’en envoyer une autre boite avec moins de ouate de plus de fusains, s’ils se cassent ce son fait rien. Bien cordialement ». Signé Paul Chabas

• Jeune fille blonde au bord de l’eau, 38 x 46 cm, format n°8, au dos « Blanchet / - 38 - / rue Bonaparte / Paris »[12]