La Palette d’or en dehors du giron Blanchet (1877-1894)
Maison Delaunoy, La Palette d’or, 17 rue de Grenelle, (1877-1884)
1876
L'activité de Laurent Blanchet semble cesse le 27 novembre 1876
1877
En 1877[2] : le bail commercial du 17-19 rue de Grenelle passe entre les mains de Delaunoy, marchand de couleurs. Cependant, la raison sociale Blanchet perdure.
Le 7 mars 1877[5] : H. Blanchet, A la Palette d’or : Facture à Victor Considérant, Paris,
Publicité, 1877
1878
Un courrier écrit à Paris et adressé à Roberson & Co à Londres indique « Blanchet ancien marchand de couleurs fines au 17 rue de Grenelle ». Il est écrit que Blanchet a cessé l’activité le 27 novembre 1876 et que Delaunoy est son successeur en 1878[1] .
1878 : Une publicité dans l’almanach du commerce indique spécialité Brullon d’huile grasse et bleu de lumière. D’après l’almanach les toiles au plâtre étaient disponibles auprès de la « maison Blanchet ».
Publicité, 1878
1879
Publicité, 1879 à 1880
1880
1880, 1883[3] : Blanchet, couleurs fines, 17 rue de Grenelle
Le 18 mars 1880[5] : H. Blanchet, A la Palette d’or : Facture à Victor Considérant, Paris,
Vers 1880[6] : le peintre Whistler possédait une boite de peinture avec en relief le timbre “H. Blanchet PARIS” (Hunterian Art Gallery).
1881
1881[4]: Dans les comptes de « Charles Roberson & Cie », à Londres, est mentionné « La Palette D'or, 17 rue de Grenelle, St Germain », avec le compte Delaunoy,
Publicité, 1881
Publicité, 1881
Publicité, 1881 à 1882
1882
Publicité, 1882
Publicité, 1882
1883
Publicité, 1883
Références :
[1] (Directory of suppliers 2014) ; Réf. : Hamilton Kerr Institute, Roberson archive, MS 248-1993 p.708
[2] (Guide Labreuche 2015) ; Réf. : Archives de Paris, Calepins des propriétés bâties
[3] (Annuaire almanach du commerce Didot Bottin 1880) ; (Annuaire almanach du commerce Didot Bottin 1883)
[4] (Directory of suppliers 2014)
[5] Thèse pour obtenir le grade de docteur de l’université de Lyon 2, « Le socialisme, l’utopie ou la science ?, La « science sociale » de Charles Fourier et les expérimentations sociales de l’École sociétaire au XIXe siècle », Pierre Mercklé, 2001, annexes de la thèse
http://theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.2001.merckle_p&part=49237 (2015)
[6] (Directory of suppliers 2014)
Autres références :
(L. Enault 1881) ; (Enault 1882)
(Catalogue illustré du Salon 1882)
« Moniteur des Arts », 5 janvier 1877, 3 août 1877
Moniteur des Arts », 7 novembre 1879
« Moniteur des Arts », 2 avril 1880
Annuaire Almanach du commerce, 1878 ; 1879
« Moniteur des Arts », 23 septembre 1881
« Moniteur des Arts », 2 avril 1880
Annuaire Almanach du commerce, 1881
(L. Enault 1881) ; (Enault 1882)
(Catalogue illustré du Salon 1882)
Moniteur des arts, 10 mars 1882
Annuaire Almanach du commerce, 1883
(Salon 1880, Explication des ouvrages de peinture 1880) ; (Salon 1881, Explication des ouvrages de peinture 1881) ; (Salon 1882, Explication des ouvrages de peinture 1882)
(Salon 1883, Explication des ouvrages de peinture 1883)
(Salon 1882, Explication des ouvrages de peinture 1882) ; (Salon 1883, Explication des ouvrages de peinture 1883)
(Salon de 1879, 96ème exposition officielle 1879) ; (Salon 1880, Explication des ouvrages de peinture 1880)
(Salon 1880, Explication des ouvrages de peinture 1880)
(Salon 1883, Explication des ouvrages de peinture 1883)
Maison Breton, La Palette d’or, 17 rue de Grenelle (1884-1885)
L’activité[3] : articles de dessin, articles de peinture, fabricant de couleurs fines, fabricant de toiles à peindre, location de mannequins, marchand de tableaux, rentoileur, restaurateur
1884
En 1884[1] F. Breton reprend l’activité.
En 1884[2] : Blanchet, maison F. Breton successeur, A la Palette d’or, rue de Grenelle Saint-Germain, 17, fabrique de couleurs fines à l’huile, broyées à la main, toiles à tableaux préparées, toiles au plâtre, toile à pastels, vente et location de chevalets, mannequins et fabrique spéciale de bitume bleu de lumière et huile grasse, pâte siccative, vernis à tableaux, vente et réparation de tableaux, spécialité pour la peinture et le dessin, ateliers, rue Andamme 71, gros et détail.
Publicité, 1884
Facture, 1884
Publicité, 1884
1885
1885
Maison Chauveteau, La Palette d’or, (1886)
1886
En 1886[1] C. Chauveteau reprend l’activité 17 rue de Grenelle.
En 1886[2] : Blanchet (maison) C. Chauveteau successeur, A la Palette d’or, rue de Grenelle Saint-Germain, 17, fabrique de couleurs fines à l’huile, broyées à la main, toiles à tableaux préparées, toiles au plâtre, toile à pastels, vente et location de chevalets, mannequins et fabrique spéciale de bitume bleu de lumière et huile grasse, pâte siccative, vernis à tableaux, vente et réparation de tableaux, gros et détail.
Un avis d’opposition réalisé par l’Etude de Me Paul Roger, receveur de rentes 7 rue Blondel à Paris, parait dans les journaux le 14 juillet 1886 . Suite à des conventions verbales en date du 12 juillet 1886 Charles Chauveteau, marchand de couleurs fines, demeurant à Paris, rue de Grenelle 17, a vendu le fonds de commerce de couleurs fines qu’il exploite à Paris 17 rue de Grenelle, et a cédé le droit de bail des lieux où s’exploite ledit fonds. Léon Ponsin, négociant, demeurant à Charenton 3 rue de l’Embarcadère, en prendra possession le 20 juillet 1886. Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues par simples lettres chez le mandataire Paul Roger.
Publicité, 1886
1886
Maison Ponsin, La Palette d’or (1886-1894)
1886
Léon Ponsin reprend l’activité 17 rue de Grenelle à partir du 20 juillet 1886[1] .
Papier à en-tête 1886
1887
Publicité, 1887
Le 31 mars 1887[5]
Publicité, 1887 à 1888
1889
1889[2] : Blanchet, 17 rue de Grenelle Saint-Germain, nommé dans les peintres experts et restaurateurs de peintures et tableaux
1890
1890 [3] : Maison Blanchet L. Ponsin successeur : Couleurs extra fines, pour l’huile, l’aquarelle, etc… toiles à tableaux, chevalets, boites d’artistes, brosses et pinceaux, huile grasse et bleu de lumière (voir toile à peindre), rue Saint-Benoît 20 ; atelier 23 rue Alain Chartrier et rue de Grenelle Saint-Germain : fabrique de couleurs fines à l’huile, à tableaux, toiles ou plâtre, toile à pastels, vente et location de chevalets, mannequins, etc. Fabrique de lumière et huile grasse, pâte siccative, vernis à tableaux, vente et réparation de tableaux, ateliers, gros et détail.
C’est à tord que les journaux indiquent qu’un incendie s’est décaré le 25 octobre 1890 dans la fabrique de couleurs fines de Léon Ponsin, en effet il s’agit d’une fausse information de presse que rectifie un journal le 27 octobre 1890 , l’incendie avait eu lieu au 17 quai de Grenelle [6]
Publicité, 1890
Catalogue
Références :
[1] « Le Droit », 14 juillet 1886
[2] (Indicateur de la propriété foncière dans Paris et le département de la Seine 1889)
[3] Botin de 1890
[5] « Le Rappel », 31 mars 1887
[6] « La Petite République », 25 octobre 1890 ; « L’Intransigeant », 25 octobre 1890 ; « L’Intransigeant », 27 octobre 1890
Autre référence :
La Vie Moderne, 7 mai 1887 & 2 juillet 1887
Archives Antoine Marin, © photo Pascal Labreuche
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis 1887 ; 1888
Botin de 1890
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