Par Etats associés, il faut entendre l'ensemble des Etats qui partageaient avec le Zollernberg un même monarque. La situation a perduré jusqu'à la mort de Victor-August Ier. Ces couronnes suivaient des règles de succession différentes : primogéniture absolue pour le Zollernberg, préférence masculine en Zabrück-Crassauerstein, loi salique en Angmar, Persis, Locquetas et Laufenbourg. Ces couronnes unies sous la forme de l'union personnelle ce sont donc séparées. A Charlotte-Marie, l'aînée, le trône de Zollernberg et de Maurésie, à Louis, le cadet mais seul mâle, l'Angmar, la Persis, le Locquetas, le Laufenbourg et le Zabrück-Crassauerstein. Ce dernier étant successible au trône zollernois, il est possible que l'union personnelle existe de nouveau dans l'avenir.
Cette situation a été rendue possible par un système complexe de jeu de succession ayant placé les Klausbourg la tête d'un vaste ensemble territorial. Dynastie régnante au Zollernberg on lui prête volontiers la devise suivante : armiz et matrimoniz, par les armes et les mariages.