Les deux compétences au secondaire
DEUX compétences qui se développent de manière dynamique (2 regards complémentaires sur le même objet d’étude qui est la culture) :
Étudier une réalité culturelle (Une compétence ancrée dans la sociologie : relations entre les individus et groupes)
Réfléchir sur une question éthique (Une compétence ancrée dans l’éthique : repères, choix)
Un même objet d’étude : la culture (au sens large, sous toutes ses formes).
Le phénomène religieux pourra être abordé pour comprendre la culture, les individus et les groupes, mais ce ne sera pas le seul angle et il ne sera pas l’objet d’une unique compétence.
Comment différencier la sociologie de l'éthique?
Démarche scientifique (appuyée sur des preuves) vs philosophique (démarche rationnelle, le care)
Sociologie
Observer pour comprendre
Méthodologie de recherche, sciences, faits
Questions d'observations, définitions
Est-ce qu'il y a de la ségrégation scolaire ? Quelle forme ?
Éthique
Porter un jugement
Réflexion, Spéculation
Question éthique, enjeu, tensions
Est-ce acceptable ?
Exemple :
L’élève sera amené à travers les deux compétences à pratiquer le dialogue et avoir une pensée critique.
Dialogue
Le dialogue est un acte de pensée intentionnel qui se déroule à l’intérieur de soi ou en interaction avec les autres et qui vise la reconnaissance et la compréhension des différents points de vue sur une réalité culturelle. Il contribue à unir plutôt qu’à séparer et prend la forme d’une progression de la pensée par l’intégration d’une pluralité de savoirs, de points de vue et d’expériences. Dans le cadre du programme Culture et citoyenneté québécoise, les élèves sont amenés à pratiquer le dialogue lorsqu’ils approfondissent leur compréhension de réalités culturelles et qu’ils réfléchissent sur des questions éthiques qui peuvent y être associées, pour faire progresser leurs conceptions initiales. À travers le dialogue, les élèves développent leur capacité d’écoute, leur estime d’eux-mêmes et leur ouverture à l’autre.
Pensée critique
La pensée critique est une pratique évaluative, justificative et autocorrectrice qui mobilise un ensemble de ressources pour déterminer ce qu’il y a raisonnablement lieu de tenir pour vrai ou de faire. Elle est étroitement associée à la réflexion épistémologique, qui porte sur les fondements et la pertinence des divers types de savoirs. La pensée critique vient soutenir la construction de connaissances et la prise de décision. Elle s’exerce avec une attention portée aux critères qui fondent les choix et de manière différenciée selon les contextes et les disciplines.
Définir le caractère raisonnable
Étudier une réalité culturelle implique une méthode d’investigation de la culture qui emprunte à la démarche scientifique en sciences humaines et sociales, laquelle est une forme de pensée critique en ce qu’elle problématise et propose un processus d’analyse qui permet de mettre à l’épreuve les évidences, les opinions et les compréhensions initiales. S’appuyant sur un exercice de critique des savoirs, cette compétence comprend des opérations de caractérisation, de mise en relation et de comparaison qui sont au cœur de la démarche sociologique. À terme, cet examen des perspectives et de leur intégration ne mène pas à la formulation d’un point de vue, d’une prise de position ou d’un jugement normatif, mais plutôt à l’expression d’une compréhension enrichie des nouvelles connaissances construites en chemin, lesquelles peuvent être mobilisées dans la réflexion sur les questions éthiques associées aux réalités culturelles.
L'éthique du care intègre l’expérience des personnes et les émotions. On prend en compte les témoignages et le ressenti qui peuvent influencer l'élaboration des points de vue.
Avant, en ÉCR, on faisait référence à l'éthique de façon très rationnelle où l'émotion était l'ennemie de la raison. En CCQ, c’est le contraire : nous sommes des êtres émotionnels et ça influence nos décisions.
L'éthique du care est une clé importante pour travailler les contenus en éducation à la sexualité.
Réfléchir sur une question éthique est une démarche qui permet le développement de la pensée critique, la mise à distance et l’examen des points de vue et des réactions spontanées par rapport à une situation qui fait intervenir les valeurs, les normes, les règles, les conduites, les expériences et les ressentis. Réfléchir sur une question éthique développe plus particulièrement la capacité des élèves à examiner divers repères, à évaluer la qualité des arguments et de leur mise en relation ou encore à identifier les pièges de la pensée qui peuvent intervenir dans la construction d’un point de vue. À terme, la construction d’un point de vue demande une évaluation des effets des réponses et des actions possibles et une hiérarchisation ou une sélection conséquente des repères à privilégier. Cette démarche présente une dimension normative omniprésente au sens où elle fait intervenir ce qui doit ou devrait être considéré comme le bien, le bon et le juste, selon les contextes et les sensibilités en jeu*.
*Caractère raisonnable, tout en tenant compte de l'autre. Cela empêche des justifications non raisonnables (ex: tuer)
Programme provisoire CCQ
Les composantes de la compétence peuvent être travaillées en parallèle et de manière dynamique en lien avec les thèmes. L'important, tout au long de l’année, il faut avoir travaillé toutes les différentes composantes des compétences, dans l'ordre ou dans le désordre.
Programme provisoire CCQ
Les composantes de la compétence peuvent être travaillées en parallèle et de manière dynamique en lien avec les thèmes. L'important, tout au long de l’année, il faut avoir travaillé toutes les différentes composantes des compétences, dans l'ordre ou dans le désordre.
Contenu de formation
Afin de faciliter l’uniformisation du programme CCQ, les contenus seront par année (plutôt que par cycle comme en ÉCR). Cela permet:
d'éviter la répétition d’une année à l’autre ;
de s’assurer que les élèves voient tous les contenus même s’ils changent d’école (ou si dans l’école il n’y a pas de concertation entre les enseignants).
Structure de la thématisation du secondaire
Les contenus de formation du secondaire sont organisés en thème qui visent, chaque année, la poursuite des trois finalités du programme.
On peut remarquer certains éléments de continuité entre le programme de ÉCR et CCQ. La priorité sera de déterminer spécifiquement quelles sont ces différences et ressemblances.
Toutefois, il y aura une plus grande quantité de contenus prescrits en CCQ qu’en ÉCR afin d’assurer une certaine uniformité dans l’enseignement du programme CCQ et outiller les enseignants. (Bien sûr, il y aura un espace de liberté pour adapter le programme et tenir compte des réalités locales.)
Les éléments de contenu, ou réalités culturelles, mis en gras sont considérés comme prescriptifs et les autres comme indicatifs. La première colonne correspond aux concepts principaux, la deuxième aux concepts particuliers et la troisième aux notions et exemples indicatifs. L’approche conceptuelle permet, voire encourage la mobilisation simultanée de plusieurs concepts dans des situations d’apprentissage signifiantes pour que les élèves puissent articuler les différents concepts travaillés.
Pour assurer une cohérence, les thèmes pourront être travaillés en lien avec les deux compétences, contrairement au programme d'ÉCR où les thèmes sont liés à une seule compétence. Le fait d'avoir des thèmes distincts d'une compétence à l'autre en ÉCR, cela demande une posture différente aux élèves selon la compétence. L’objectif est d’avoir des thèmes généraux qui vont englober différentes dimensions plutôt que d’avoir un thème éducation à la sexualité, citoyenneté numérique, etc.
Le nombre de thèmes est réduit dans le nouveau programme de CCQ si on compare avec ÉCR. Au secondaire, c'est un thème par crédit, donc 1 thème pour 25 heures prévues au régime pédagogique :
2 thèmes sec.1-2 et 5
4 thèmes sec. 4
Contenus de formation liés aux disciplines de références, au dialogue et à la pensée critique
Science sociale qui étudie les relations entre les individus et entre les groupes. La sociologie s’intéresse aux réalités culturelles. Il s’agit d’une démarche critique d’observation et d’analyse qui, en explicitant les règles, les normes, les codes, les significations et les mécanismes sociaux qui sont au fondement des réalités culturelles, permet d’examiner les évidences et les idées spontanées.
Ensemble des choix qui concernent la manière de recueillir les informations pertinentes pour l’étude d’une réalité culturelle. Comprend le choix de l’approche méthodologique (recherche documentaire ou enquête empirique) et des techniques de recherche utilisées.
• Observation : L’observation peut être formelle (avec une grille d’observation) ou informelle (sans grille). Elle permet de collecter des informations observables à propos des comportements humains dans une situation donnée. On parle d’observation directe quand l’observateur reste à l’écart de la situation et d’observation participante quand il joue un rôle actif dans la situation par exemple s’il fait partie d’un groupe à l’étude.
• Questionnaire (ou sondage) : Le questionnaire vise à collecter, à propos d’un objet d’étude, les réponses d’un échantillon de participants plus ou moins grand.
• Entretien : L’entretien, individuel ou de groupe, peut se faire de façon libre (sans guide d’entretien) ou dirigée (avec un guide d’entretien). Il permet, entre autres, de collecter des informations sur le point de vue, la perception et le ressenti des participants à propos de la réalité culturelle à l’étude afin de mieux la comprendre.
Série d’interactions directes ou indirectes entre des personnes, des groupes ou des institutions qui possède une profondeur historique, car chaque interaction repose sur les précédentes et influence les suivantes. Les relations sociales sont au cœur de la production de la culture et de la société. Il existe plusieurs types de relations sociales, notamment de coopération, de concurrence, hiérarchiques, égalitaires, collaboratives, conflictuelles, formelles ou informelles.
Ensemble de manières de penser, de ressentir et d’agir, plus ou moins formalisées, qui sont partagées et qui permettent ainsi de réunir des personnes en collectivités particulières et distinctes. La culture comprend les arts et les lettres, mais aussi les modes de vie, les règles qui encadrent les systèmes juridiques et politiques, les traditions et les croyances. La culture première désigne les repères et les évidences du quotidien, souvent intériorisés depuis l’enfance, tandis que la culture seconde est constituée par l’ensemble des œuvres, des systèmes de signification et des symboles que l’humanité a produits pour réfléchir à la culture première par une mise à distance, en dialogue avec les autres. La culture est à la fois héritage et devenir des collectivités.
Élément de la culture. Dans le programme Culture et citoyenneté québécoise, les réalités culturelles correspondent aux contenus de formation associés à la thématisation.
[à venir]
[à venir]
Domaine de la philosophie qui étudie les valeurs et les normes qui sous-tendent les conduites dans la recherche du bien, du bon et du juste. Il s’agit d’une démarche réflexive, critique et rationnelle portant sur les actions acceptables ou à privilégier dans les situations où il y a des tensions entre des valeurs, des normes, des règles, des conduites, des expériences et des ressentis ou lorsqu’il est difficile ou impossible de satisfaire tout le monde. Il existe trois approches principales en éthique : 1) conséquentialiste, 2) déontologique et 3) de la vertu.
Valeur ou norme qui est l’objet d’une question éthique.
Prescription formelle ou informelle qui balise les comportements et qui est mobilisée dans l’élaboration d’un jugement.
Question portant sur un sujet de réflexion ou un problème à résoudre concernant des valeurs et des normes que se donnent les membres d’une société ou d’un groupe pour guider et réguler leur conduite. Ce type de question est toujours lié à un ou à plusieurs enjeux éthiques.
Énoncé qui définit ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour atteindre ce qui est tenu pour le bien.
Norme de type moral qui précise comment un principe moral devrait s’appliquer ou comment une valeur devrait s’actualiser dans une situation donnée.
Articulation des idées qu’il est possible d’avoir sur une question ou un objet. Ces idées s’appuient sur différents repères.
Caractère attribué à des choses, à des attitudes ou à des comportements qui servent de référence morale pour désigner les comportements souhaitables. Les significations attribuées aux valeurs varient selon les contextes.
Ressource de l’environnement social et culturel à laquelle on se réfère pour alimenter et éclairer une réflexion éthique. Il existe pour la réflexion éthique différents types de repères pertinents qui couvrent les différentes dimensions de l’expérience humaine : des repères légaux et réglementaires, scientifiques, historiques, artistiques, techniques, expérientiels (notamment affectifs, spirituels et pratiques), moraux, religieux, traditionnels, intellectuels, etc
(à venir)
• Raisonnement déductif : Raisonnement qui consiste à passer d’une règle générale ou universelle à des situations particulières ou singulières.
• Raisonnement inductif : Raisonnement qui consiste à produire une règle générale ou universelle à partir de l’observation de plusieurs situations particulières ou singulières ayant des caractéristiques communes.
• Raisonnement par analogie : Raisonnement qui consiste à affirmer que deux situations se ressemblent, sont proportionnelles ou équivalentes puisqu’elles partagent suffisamment de caractéristiques similaires.
Affirmation qui est susceptible de recevoir une appréciation de vérité ou de valeur.
• Jugement de réalité : Proposition établissant un constat qui se veut objectif par rapport à des faits observables, à un événement ou au témoignage d’une personne. Un jugement de réalité peut être faux.
• Jugement scientifique : Type de jugement de réalité dont l’observation est contrôlée par une démarche scientifique.
• Jugement de valeur : Proposition privilégiant une norme ou une valeur, un devoir ou une obligation morale.
• Jugement de prescription : Proposition émise sous la forme d’une recommandation, d’un ordre ou d’un conseil et qui incite à poser une action, à modifier une situation ou à résoudre un problème.
• Jugement de préférence : Proposition dont le contenu exprime une appréciation ou une aversion à l’endroit de quelque chose.
• Erreur de raisonnement : Raisonnement erroné bien qu’il semble valide. L’erreur de raisonnement peut être faite de façon involontaire (paralogisme) ou volontaire (sophisme), par exemple dans le but de convaincre de la valeur d’un argument.
[Les erreurs de raisonnement 1 à 14 proviennent du programme Éthique et culture religieuse, tandis que les erreurs 15 à 21 sont des propositions d’ajout. Un travail d’organisation, de classification ou de regroupement reste à réaliser, notamment dans une logique de progression des apprentissages.]
1. Généralisation abusive : Consiste à passer d’un jugement portant sur un ou quelques cas à une conclusion générale sans s’assurer que l’échantillonnage est assez représentatif pour que la conclusion soit valide.
2. Attaque personnelle : Consiste à attaquer une personne de manière à détruire sa crédibilité plutôt que son argumentation.
3. Appel au clan : Consiste à faire accepter ou rejeter un argument parce qu’il est endossé par une personne ou un groupe de personnes jugés estimables ou non estimables.
4. Appel à la popularité : Consiste à justifier l’idée que quelque chose est vrai ou acceptable par le simple fait qu’un grand nombre de personnes l’affirme sans en avoir vérifié l’exactitude.
5. Appel au préjugé : Consiste à faire appel à une opinion préconçue, favorable ou défavorable, qui est souvent imposée par le milieu, l’époque ou l’éducation.
6. Appel au stéréotype : Consiste à faire appel à une image figée d’un groupe de personnes en ne tenant pas compte des singularités. Cette image est généralement négative et basée sur des renseignements faux ou incomplets.
7. Argument d’autorité : Consiste à faire appel incorrectement ou abusivement à l’autorité d’une personne pour appuyer un argument.
8. Double faute : Consiste à tenter de justifier un comportement en signalant que d’autres font la même faute ou pire encore.
9. Caricature : Consiste à déformer la position ou la pensée de quelqu’un, notamment en la radicalisant ou en la simplifiant, afin de la rendre non crédible. 10. Faux dilemme : Consiste à présenter deux options comme les seules possibles. Comme l’une est indésirable, l’autre est inévitablement le choix à faire. 11. Fausse causalité : Consiste en une argumentation qui s’appuie sur un lien douteux de cause à effet entre deux phénomènes.
12. Fausse analogie : Consiste à tenter de justifier une conclusion à l’aide d’une analogie établie entre deux phénomènes qui ne sont pas suffisamment semblables pour justifier ce procédé.
13. Pente fatale : Consiste à affirmer qu’une action entraînera une situation épouvantable en raison d’un enchaînement de causes et d’effets qui, après examen, se révèle douteux, voire impossible.
14. Complot : Consiste à conclure qu’une personne ou un groupe de personnes qui profitent d’une situation en sont l’origine ou la cause.
Propositions d'ajout 15 à 22 : À noter que tous les pièges de la pensée seront revus et il est fort probable qu'ils ne se retrouvent pas les 22 dans le nouveau programme.
15. Appel à la tradition : Consiste en une argumentation qui se prétend justifiée du fait qu’elle est soutenue par une tradition.
16. Appel à la nouveauté : Consiste en une argumentation qui se prétend justifiée du fait qu’elle est nouvelle ou inédite.
17. Sophisme de l’accident : Consiste à tirer une conclusion absolue ou à déterminer une caractéristique comme essentielle alors que la situation résulte d’un accident.
18. Sophisme de la réification : Consiste à faire croire qu’une action ou un événement est causé par une entité abstraite.
19. Appel à l’ignorance : Consiste à détourner l’attention vers l’idée selon laquelle la fausseté d’une argumentation n’a pas encore été établie.
20. Appel aux émotions : Consiste à détourner l’attention vers des réalités d’ordre affectif sans lien avec l’objet du débat.
21. Argument circulaire : Consiste en un raisonnement non valide du fait que ses propositions se justifient sans fin réciproquement.
22. Appel à la nature : Consiste à faire appel à la nature pour justifier une croyance.
• Biais cognitif : Erreur de jugement prévisible et systématique qui se produit lorsqu’il faut interpréter et gérer l’information qui provient de l’environnement et qui ne passe pas par un raisonnement analytique.
o Biais de confirmation
o Effet de répétition
o Biais d’omission o Biais d’ancrage
o Biais de désirabilité sociale ou de conformisme
o Biais d’essentialisme
o Effet de halo
(à venir)
• Établir et respecter des règles de fonctionnement de l’interaction.
• Cerner l’intention et les exigences du dialogue.
• Faire le point sur l’objet du dialogue : identifier ce qui est communément accepté et compris, ce qui crée des tensions et ce qui fait consensus.
• Porter attention aux propos de ses interlocuteurs.
• Faire attention aux manifestations non verbales de sa communication et à celles des autres.
• Préciser ses propos et répondre aux questions posées par les autres.
• Prendre le temps de clarifier ses idées.
• S’assurer de comprendre les idées émises par les autres.
• Narration : Récit détaillé, écrit ou oral, d’une suite de faits, d’événements ou d’expériences.
• Délibération : Examen réalisé avec d’autres personnes des différents aspects d’une question (faits, intérêts en jeu, normes et valeurs, conséquences probables d’une décision, etc.) pour en arriver à une décision commune.
• Entrevue : Rencontre concertée de deux ou de plusieurs personnes visant à en interroger une sur ses activités, ses idées, ses expériences, etc.
• Débat : Échange encadré entre des personnes ayant des avis différents sur un sujet controversé.
• Table ronde : Rencontre entre quelques personnes choisies pour leurs connaissances sur une question donnée dans le but d’exposer leurs points de vue respectifs, de dégager une vision d’ensemble et de permettre des échanges avec un auditoire.