LES REQUETES EN REVISION

Une première requête en révision, présentée en 2001, s'appuie sur la critique des analyses chimiques et sur la phrase prononcée par l'ami de M. Tocqueville : " Tu vas passer à la télé, toi, avec c'que t'as mis dans la Josacine ". Cette demande est rejetée par la Commission de révision des condamnations pénales, qui considère qu'il ne s'agit pas d'éléments nouveaux, puisque les analyses chimiques et la phrase en question figuraient au dossier.
Voir : Requête en révision de 2005

Une deuxième requête en révision, présentée en 2005, affirme que plusieurs éléments nouveaux rendent vraisemblable l'hypothèse de l'accident camouflé après coup et notamment :

(Notre opinion : Qu'importe que la perception des odeurs varie d'un individu à l'autre. Seule compte ici la sensibilité olfactive de l'infirmier qui a effectivement senti le flacon !  Nous avons le sentiment que toutes ces vérifications n'avaient d'autre objet que de justifier, à tout prix et contrairement à l'évidence, un refus de réviser qui était inscrit d'avance. L'étude de la contre-expertise du Professeur Storck nous confirme dans cette impression. Voir : Deux contre-expertises contradictoires

Une troisième requête en révision, présentée en 2023, affirme que la Josacine asorbée par Emilie ne pouvait pas avoir été empoisonnée au moment de la prise du médicament. La Josacine n'est donc pour rien dans le décès de l'enfant, ce qui implique que Jean-Marc Deperrois a été condamné à tort. En savoir plus