La majorité des divinités du panthéon romain a très tôt subi l'influence de la Grèce antique.
La mythologie grecque admet deux divinités nées de Chaos : Nyx (la nuit) et Erèbe (les ténèbres).
Le pouvoir de la lumière n’apparaît que plus tard, chez leurs deux enfants Héméra, déesse de la lumière du jour et du soleil et Ether, dieu de la lumière céleste.
Gaïa (la Terre), troisième enfant de Chaos, donne naissance à Hypérion titan de la lumière et Théia, titanide de la lumière brillante du ciel bleu.
Ils engendrent trois enfants, Séléné (la Lune), Éos (l’Aurore) et Hélios (le Soleil).
Ce dernier est représenté avec un char et une couronne, nourrissant l’imaginaire collectif religieux romain dès la fin de l’antiquité.
S’ajoutent à la liste, Augé, la déesse de la première lumière du matin, et Apollon, (Phébus en latin), dieu des arts et de la lumière.
Tous les dieux rencontrés sont en rapport avec la lumière, celle du soleil qui guide nos pas et avec le temps qui passe.
Hermès (Mercure) est absent de la 420, sans lui le parcours est « hermétique », la Lumière venant du ciel étant source de Vérité,
Apollon, fils de Zeus (Jupiter) et de Léto, est le dieu des arts, du chant, de la musique et de la divination.
Le coq est associé aux dieux romains Mercure et Apollon.
Apollon est aussi le dieu de la lumière et à ce titre il combattit les ténèbres : il tua d'une flèche Python, un serpent-dragon, fils de Gaïa (la Terre), ou bien d'Héra selon les traditions, qui veillait sur l'oracle de Delphes, plus tard il s’attaqua aux Gorgones, créatures de l'ombre.
Note : dans les jardins du palais impérial de Fontainebleau, la statue d'Apollon, dite « du Belvédère », est dépourvue d'arc.
Héphaïstos, le dieu forgeron a permis à Athéna de sortir du crâne de son père.
Cécrops serait le premier autochtone — mot qui signifie « enfant spontané de la terre »
— et serait né avec un corps mi-homme mi-serpent.
Érichthonios est également un autochtone, il est décrit comme un fils de Gaïa, né de la semence qui imprégnait le tissu avec lequel Athéna s'était essuyé la jambe, après avoir subi et repoussé les assauts d'Héphaïstos éperdu de désir pour elle.
Après le règne et la mort d'Erichthonios, devenu roi d’Athènes, on bâtit sur l’Acropole le temple de l’Erechtheion,
qui abrite l’olivier qu’Athéna avait fait jaillir du sol lors de sa dispute avec Poséidon.
Le fait que ce soit une chouette (thème choisi par Michel Becker m'arrangeait bien), il s'agit bien de la symbolique représentée par ce rapace.
Athéna fille de Zeus et de Métis, sa seconde femme légitime après Héra.
Déesse de la sagesse, elle tient une lance de lumière, ses attributs sont la chouette, l'olivier et le serpent.
Les mots : devin, sage et serpent (codifié phonétiquement) figurent dans l'énigme 530: ils confirment l'intérêt à porter aux enfants de Zeus.
Iris : personnification de l'arc-en-ciel ;
Minerve ou Athéna pour les Grecs, demi sœur d'Apollon ;
Aurore : déesse de l'aurore ;
Phébus ou Phoebus : dieu du chant, de la musique, de la poésie, de la lumière et du Soleil (Apollon chez les Grecs) ;
Sol : ancien dieu-soleil (équivalent d'Hélios chez les Grecs);
Cupidon : dieu de l'amour (Éros chez les Grecs) ;
Janus : dieu des passages, du calendrier, une des seules divinités des premiers Romains ayant subsisté ;
Victoire (Victoria, æ) : personnification, déesse de la puissance des armées romaines ;
Vénus : déesse de la beauté et de l'amour ; Vénus Victrix sa déclinaison « victorieuse » (Aphrodite chez les Grecs) , absente de l'énigme 420 ;
Terra : déesse-mère, personnification de la Terre (équivalent de Gaïa chez les Grecs) ;
Mars : dieu de la guerre, du combat (équivalent d'Arès chez les Grecs) ;
Jupiter : roi des dieux et dieu du ciel (Zeus chez les Grecs) ;
Saturne, roi des Titans, plus tard assimilé à Cronos (à ne pas confondre avec Chronos dieu du temps), honoré durant les Saturnales ;
Uranus : personnification du Ciel (équivalent d'Ouranos chez les Grecs) ;
Neptune : dieu des mers et des océans (Poséidon chez les Grecs) ;
Pluton : dieu des Enfers (Hadès chez les Grecs) ;
Concernant Proserpine, la reine des Enfers (équivalent de Perséphone chez les Grecs), les dernières conversations avec le sculpteur Michel Becker en 2021
semblent infirmer son rôle dans la chasse : le mot-clé PROSERPINE s'obtient en agençant les noms des dix villes et en appliquant un savant décalage, il s'agirait d'un pur hasard.
Prométhée, avec la complicité d'Athéna, décide de voler le feu sacré de l'Olympe, pour le donner à l'homme afin de le rendre plus fort pour la survie de son espèce.
Le mythe de Prométhée est admis comme métaphore de l'apport de la connaissance aux hommes.
Symboliquement, le chasseur est un homme qui chercherait à s'élever par cette quête pour atteindre Zeus, le roi des dieux : Max Valentin !
Le caducée est son attribut, il se présente toujours sous la forme d’un bâton autour duquel s’enroulent deux serpents.
Cet objet naît d’un affrontement reptilien, Hermès a la sagesse de séparer chaque protagoniste à l’aide d’un bâton, apaisant ainsi le conflit et réconciliant les deux parties
qui s’enroulent autour de la mètis.
Mercure est une planète absente du visuel de l'énigme 420.
La civilisation sumérienne la nommait la « planète sautante ».
Dans l'Antiquité, les Grecs considèrent que Mercure visible avant le lever du soleil d'une part
et Mercure visible après son coucher d'autre part relevaient de deux astres distincts.
Ceux-ci sont appelés respectivement Stilbōn signifiant « celui qui brille » et Hermès en raison de son mouvement rapide.
Hermès est toujours le nom de la planète en grec moderne.
L'étoile du matin aurait également été appelée Apollon.
Les Égyptiens procédèrent de même en donnant le nom de Seth à l'étoile du matin et Horus à celle du soir.
Les Romains nommèrent la planète du nom du messager des dieux Mercure (latin Mercurius), équivalent d'Hermès pour la mythologie romaine,
parce qu'elle se déplace dans le ciel plus vite que toutes les autres planètes.
Le symbole astronomique de Mercure est une version stylisée du caducée d'Hermès.
La religion gauloise est l'ensemble des croyances et des rites propres aux peuples de la Gaule – du moins ceux qui étaient de culture celtique. Du fait de l'absence de sources écrites directes avant l'époque romaine, ses particularités d'avant la romanisation demeurent mal connues, et difficiles à distinguer de celles de la religion gallo-romaine.
Le panthéon mythologique et philosophique des Celtes est difficilement saisissable.
Jules César, dans la Guerre des Gaules, dresse le catalogue des divinités honorées par les Celtes, il les assimilait aux dieux romains :
« Le dieu qu'ils honorent le plus est Mercure. Il a un grand nombre de statues ; ils le regardent comme l'inventeur de tous les arts, comme le guide des voyageurs,
et comme présidant à toutes sortes de gains et de commerce.
Après lui ils adorent Apollon, Mars, Jupiter et Minerve… Apollon guérit les maladies ; Jupiter tient l'empire du ciel, Mars celui de la guerre ; Minerve enseigne les éléments de l'industrie et des arts.
Les Gaulois se vantent d'être issus de Dis Pater, tradition qu'ils disent tenir des druides. »
Toutefois, en Gaule romaine, ce n'était pas tout à fait au Mercure de Rome qu'on vouait un culte, mais à des Mercure gaulois.
Ce Lugus Mercurius assimile alors la plupart des aspects du dieu celtique Lug, issu des Dioscures : Castor & Pollux, agent de la déesse Aurore qui apporte la lumière.
Lug est la cause de la levée du soleil Bélénos pour Sol (Hélios) et de son coucher.
De nombreux temples de Mercure existent en France, citons les deux sommets du Puy-de-Dôme (Massif Central) et du Donon (Vosges), le mont de Sène, ou montagne des Trois Croix, sommet culminant à 521 mètres, à la limite des départements de la Côte-d'Or et de Saône-et-Loire, les Celtes y célébraient leurs cultes, puis les Romains y construisirent deux temples au sommet, l’un dédié à Mercure, l’autre à la divinité tutélaire de la source coulant au pied, le Terron.
On le retrouve dans la mythologie scandinave sous le nom de Wotan (Odin).
Dans la mythologie celtique, le dieu Teutatès, ou Toutatis est un dieu celte que l’on connaît par l’épopée La Pharsale de Lucain, un récit de la guerre civile qui opposa Jules César et Pompée .
On le retrouve de façon récurrente dans Astérix où il est régulièrement évoqué par l'exclamation « Par Toutatis ! ».
Son nom signifie : « père de la tribu, de la nation ».
Retenons enfin : Épona , déesse du cheval qui fut intégrée dans la religion romaine et reçut les titres d'Augusta et de Regina.
Le langage égyptien a une écriture à la fois figurative, le soleil pour Rê, symbolique : l’oiseau pour un dieu, et phonétique dans un même texte,
une même phrase, ou un même mot.
De l'air pour De l'r ont la même prononciation.
Tout comme : « Eau » et « haut » : ce sont des homophones.
On retrouve dans le jeu le soleil sous différentes formes figuratives et la consonne S servant pour des allitérations associées au serpent et aux dieux
Le hiéroglyphe associé au serpent montre toujours 2 reptiles dressés pour bien marquer le sifflement.
Ce hiéroglyphe a donné le Nv (nu grec) puis le N latin.
Le Louvre, 1er arrondissement est au centre de Paris, les 19 suivants sont disposés sur une spirale tournant dans le sens des aiguilles d'une montre.
On trouve la Bourse dans le 2ème, le kilomètre zéro et Notre-Dame dans le 4ème, l'Arc de Triomphe dans le 8ème.
Les départements des Hauts de Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val de Marne “prolongent” par une seconde spire, celle des 20 arrondissements.
« CINq CENT SOI XANte mille SIX CENT SIX mesures » est une allitération du son [s] qui vise une harmonie imitative avec la reproduction du bruit du serpent par redoublement des consonnes sifflantes : c et s.
Le point de départ choisi pour l'envol de la flèche du dieu solaire Apollon est le kilomètre zéro du parvis de Notre-Dame qui jouxte le 1er arrondissement.
Ce point central est préférable à l'arc de triomphe du Carrousel, érigé devant le palais des Tuileries, lieu où l'empereur "débarque" le 20 mars 1815.
Un serpent enroulé autour d'un bâton est une métaphore de la spirale des quatre arrondissements de Paris enroulés sur un bâton « planté » au milieu du parvis de Notre-Dame de Paris.
La Méduse est une frégate française qui fait naufrage le 2 juillet 1816 au large des côtes de l'actuelle Mauritanie,
Sur la partie supérieure du vase de Vix, les hautes anses enroulées s’ornent de bustes de la Méduse.
Ces monstres anguipèdes à queue de poisson sont entourés de lions et de serpents dressés qui fixent le spectateur.
Une explication possible du choix Al-Mar dans l'énigme 600 : des chiffres arabes venus de Mauritanie
(litt : Mauri les Maures + Tanie) : et l'anagramme de TANIE est ETAIN.
Etain tire son nom de la route du vin aux temps anciens, sont alignés, les lieux suivants :
SOMMET DU PUY-DE-DÔME - VIX - ETAIN
CLERMONT-FERRAND - CHATILLON-SUR-SEINE - ETAIN
Dans la mythologie égyptienne, l'uræus est encore l'œil de Rê (et sa fille), une déesse solaire.
On retrouve le serpent, mais aussi le scorpion représenté sur la coiffe de pharaon dont il est l'un des attributs, symbole de protection.
En Grèce archaïque, le scorpion est un animal chthonien, venant des profondeurs de la terre.
La déesse Artémis envoie un scorpion pour tuer le chasseur géant et demi-dieu, Orion qui l'avait offensé.
L'animal fut transformé en constellation, celle du Scorpion qui continue à « poursuivre » celle d'Orion.
Cette constellation a donné son nom à l'un des douze signes du Zodiaque, faisant partie des « signes d'eau »
Q : Vous est-il possible de nous dire si le titre de la 560 nous est utile avant, pendant ou après le texte de cette même énigme ?
R : Avant : non. Pendant : oui. Après : je ne peux pas vous le dire.
ad augusta per angusta signifie : Vers les sommets par des chemins étroits.
On l'utilise durant la résolution de l'énigme et peut-être encore après.
Un voyage initiatique, c’est la quête de la Lumière, source de Vérité,
C’est le voyage, semé d'embuches qui nous serait proposé par Hermès, qui donnera le mot « hermétique ».
Plusieurs sommets des différents massifs anciens ont vu la construction de temples dédiés aux dieux.
Cherche l'Ouverture qui révèle la Lumière Céleste.
Ne t'attarde pas, ne demande pas ton reste,
On a appris le fait que le reste ne se demande pas pendant le parcours sur l'eau, il s'obtient avant d'en sortir et permet d'obtenir la “révélation” .
L'énigme suivante 650 s'intitule : “Quand tout est révélé”.
Ce titre peut désigner deux choses :
le résultat obtenu après décodage complet de l'énigme 650
les conditions à réunir maintenant, dans l'énigme 560, pour aborder cette énigme 650 avec un "TOUT".
Il faut trouver une utilité immédiate au trait tiré.
C'est parce le tracé du TANPR permet d’obtenir le reste avant de quitter l'énigme 560 qu’on ne le regrette pas.
Il permettra dans l'énigme qui suivra de "tout révéler", en sachant que toutes les conditions auront été réunies à la fin de cette énigme 560.
Q: Dans la 560, si je ne demande pas mon reste, il me manque quelque chose, non ? Faut-il que je m’en inquiète ? Je pense que oui !
R: Il ne faut pas demander son reste, justement !
Imaginons que on trouve ce mot en Lumière Céleste : L E P H O E B U S T I E R.
On regarde dans le dictionnaire : Phébus ou Phœbus (du grec ancien Φοῖβος / Phoíbos) est le nom latin d'Apollon dans la mythologie romaine. Signifiant « le brillant », il est le dieu du soleil personnifié, qui avait dirigé Sol étant enfant. Ce terme est utilisé comme épithète d'Apollon, qu'on peut d'ailleurs nommer « Phébus ». Fils de Léto et Zeus, il est le frère jumeau de Diane.
On se dit que la lumière Céleste c'est PHOEBUS qui sera utile pour la suite et les restes : LE et TIER sont mis de côté voire oubliés.
Q: « Ne t'attarde pas, ne demande pas ton reste » : cela a-t-il un caractère d'urgence ou puis-je m'attarder contrairement à votre conseil ?
R: Cette phrase signifie simplement qu'il faut continuer et ne pas se satisfaire de ce que vous avez trouvé à ce stade-là.
Ceci infirme quelque peu le fait d'oublier définitivement le reste, dans le cas d'un reste lexical, il vaut mieux garder le reste pour plus tard.
Le temps qui passe concourt à la façon de traiter le fait se hâter puis de gérer le reste.
Le dieu romain Janus intervient à propos : dans le calendrier grégorien, le jour de la lumière est la Sainte-Lucie (etym. Lucis, Lux, lumière)
fêté le 347ème jour de l’année.
Lucie vient du nom latin Lucia, féminin du nom Lucius, provenant du mot lux, lucis, qui signifie « lumière ».
Le vase de VIX, en concordance avec ARVIEUX, on tire un trait sur les trois lettres : V I X et on considère les lettres restantes.
En terme de jours de l'année, il reste 18 jours pour aller du 347ème jour au 365ème de l’année, 18 jours comme le département du Cher où se situe l'ouverture.
Q : Lorsque l'on a tiré le trait important: la nef a-t-elle encore un rôle à jouer ?
R : Oui.
1 2 3 4 5 6 7 donne : 1 2 5 6
A R V I E U X A R E U
A R E U n'est pas un lieu, une récurrence consiste à trouver E ou Eu dans une énigme, puis de faire une déduction.
AR=Ar=Argon (18, Bourges, ouverture) et EU = Eu= Europium (63, Puy-de-Dôme)
L'énigme 470 se formulait comme suit : “Trouve mon tout, et par l’ouverture, tu verras la lumière”.
Il y était question de “voir” la lumière elle-même, alors que l'énigme en cours demande de “révéler la lumière céleste” et révéler n’est pas voir.
Le mot “céleste” renvoie à Dieppe, lumière céleste dans l'énigme 420. Depuis Dieppe :
on a tracé une ligne Dieppe - Angers - sud-ouest pour asseoir le point de rendez-vous en mer Cantabrique.
si on prolonge une ligne DIEPPE - OUVERTURE -prolongée vers le sud-sud-est afin d'obtenir la révélation au travers de l'ouverture.
un sommet notable éligible au titre de Domaine des Dieux (ad augusta) qui se profile est le Puy-de-Dôme (culmen 1465m).
l'équilibre des lignes passant par l'ouverture fait penser au visuel de l'Express : les grandes lumières sont faites de petites lueurs : voir la page Cartographie.
Mercure est la divinité principale du temple situé au sommet du Puy-de-Dôme, point de vue idéal sur la capitale de la cité Augustonemetum (Clermont-Ferrand).
Le temple était principalement dédié au protecteur des voyageurs et des commerçants, Mercure Dumias (du Dôme), divinité ainsi nommée après la conquête romaine mais déjà vénérée avant, sous d'autres appellations. À ce Dieu était associé l'empereur régnant (Numen Augusti) dont le culte se développe progressivement dans tout l'empire.
Ce dieu est connu par des inscriptions sous la forme « Totatus » retrouvées au sanctuaire de Beauclair, à Voingt (63), en territoire arverne.
Blaise Pascal, mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français.
Dans les célèbres Pensées de Pascal, on a pu lire : " Un méridien décide de la vérité. Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au-delà. ".
Le voici de retour, en 1647, avec l’expérience de Torricelli à plusieurs endroits entre la place de Jaude de Clermont-Ferrand et le sommet du Puy de Dôme. Il utilise du mercure, seul métal liquide suffisamment dense pour permettre d’observer les résultats de l’expérience à partir d’un dispositif de taille « humainement » manipulable, l'eau aurait exigé des tubes de 15 mètres de haut.
Puy-de-Dôme : on y rencontre une espèce de serpent venimeux de la famille des Viperidae, la vipère péliade (Vipera berus), partiellement protégée, et l’Apollon (Parnassius apollo), papillon expressément protégé et dont la population est maintenue par l’homme sur le site.
Le Mercure gallo-romain du Donon recouvre sur le plan régional, un dieu gaulois, un Teutatès, dieu protecteur du peuple et la communauté.
Ce sommet visible de loin, qui a servi à la construction de la carte Cassini de 1744, fut un point de contact entre trois peuples celtes :
au nord, celui des Médiomatriques capitale Divodurum (Metz) ; à l'est, les Triboques, capitale Brocomagus (Brumath) ; au sud, les Leuques, capitale Tullum (Toul).
Son temple est situé à 1009m, au sommet du col.
Un Anguipède est une créature légendaire de la mythologie gauloise dont le corps finit en queue de serpent.
Équivalent du démon grec Abraxas, ce personnage symbolise les formes du mal issues de la Terre, ce terme gnostique, désigne en effet les 365 émanations du dieu suprême.
Le cavalier à l'anguipède représente un groupe sculptural de l'époque gallo-romaine, typique du panthéon gaulois, figurant un étrange guerrier divin
(également assimilable au dieu du Ciel et de l'Orage de la mythologie celtique gauloise: Taranis), dressé sur son cheval cabré qui foule sous ses sabots
un géant difforme dont les jambes, atrophiées, se finissent en queue de poisson ou de serpent.
De telles statues sont très présentes dans l'est de la France : à Grand, sur le site du Donon (cinq cavaliers à l'anguipède, trois autres sur colonnes).
Deux autres colonnes se trouvent à chaque extrémité de la liaison terrestre entre la Saône et la Moselle : à Corre et à Portieux.
note : D'après une lettre de Léopold Hugo à son fils Victor, celui-ci aurait été conçu au sommet du Donon.
Une plaque gravée, rappelant ce fait, se trouve apposée sur une roche du sommet, versant Nord-Est : « En ce lieu le V floréal An IX fut conçu Victor Hugo ».
Sanctuaires : des traces d'occupation datent de plus de 5000 ans, des vestiges associés à Jupiter, à Toutatis, à Hécate et à Taranis.
L'empreinte celte est importante entre Saverne et le Donon.
Wotan est le principal dieu de la mythologie germanique et nordique.
Ce dieu était à l'origine, le dieu de l'orage.
Il était représenté sous la forme d'un cavalier vêtu d'un ample manteau, coiffé d'un chapeau aux larges bords et monté sur un cheval tantôt tout blanc tantôt tout noir,
parcourant les airs, à la poursuite d'un gibier.
Son cheval, nommé Sleipnir, est le plus agile et le meilleur étalon qui soit. Il a huit pattes et aucun obstacle ne peut l'arrêter.
Wotan, également nommé Odin, est au fil du temps devenu le dieu qui dispensait l'héroïsme et la victoire et qui décidait du sort des hommes.
Il est le dieu de la guerre et de l'intelligence.
Il est accompagné de deux corbeaux, Hugin (la pensée) et Mugin (la mémoire).
Tous les matins, ces corbeaux parcourent le monde et interrogent les vivants et les morts.
De retour avant le premier repas du matin, ils rapportent à Wotan les nouvelles du monde. Wotan a son trône dans une vaste salle nommée le Walhalla.
C'est au Walhalla que sont appelés les héros, tombés sur les champs de bataille.
Au sud de Saverne, un petit plateau porte le nom de Wustenberg, la montagne de Wotan, plateau d'environ 1000 m de longueur nord / sud pour une largeur comprise entre 20 et 100 m.
De nombreux lieux permettent un rapprochement avec la mythologie germanique.
Dans la mythologie scandinave, le corbeau est porteur d'un sens positif, car il joue un rôle de messager et de gardien.
Plusieurs rochers portent le nom de « Rocher du(des) Corbeau(x) » (ou « Krappenfels ») dans la région en référence à la mythologie scandinave puis germanique et au dieu Wotan :
les deux Krappenfels (rocher du corbeau) situés l'un au sud du Wustenberg et l'autre au nord sur le plateau du Brotsch,
le rocher du Corbeau qui surplombe Lutzelbourg dans la forêt du Burgerwald et qui offre un point de vue sur le château de Lutzelbourg
le Rocher des Corbeaux au nord-ouest de Dabo, dans le secteur du Ballerstein
Un autre lieu associé à Wotan est le Geisfels (rocher de la chèvre).
Baldr (Baldr, Ƀalđraz, Paltar, Bealdor, et en latin : Balderus), également connu sous le nom de Balder, Baldur, ou encore Bældæġ, est un dieu du panthéon de la mythologie nordique.
Appartenant au groupe des Æsir, il est le dieu de la lumière, la beauté, la jeunesse et l'amour.
Le hameau du Ballerstein au nord-ouest de Dabo est à mettre en rapport avec le dieu Baldur, fils de Wotan, à côté de l'imposant rocher des Corbeaux, la dalle sommitale de Baldur était déjà habitée vers l'an 1500 avant JC.
Le serpent égyptien à la langue fourchue mène aux attributs des divinités Athéna (Minerve) ou Hermès (Mercure) et aux actions d'Apollon (Python, Gorgones).
Son hiéroglyphe introduit la lettre romaine N désignant un nord prêt à trahir : à un moment donné, l'aiguille de la boussole va nous "mentir".
Quant au mot : ETERNITE, il renvoie au serpent qui se mord la queue.
Sans queue ni tête : il ne reste RIEN (ERNI), une fois la TETE coupée du serpent qui se mord la queue.
Baerenthal ou Bærenthal (57230), est une commune française située dans le département de la Moselle, un ours blanc figure sur son blason.
La plaine aux serpents se situe au sud de la D1062, aux limites nord séparant Moselle et Bas-Rhin.
Commentaires des randonneurs :
Grand Arnsbourg : érigé vers le 13ème siècle, il a été détruit pendant la Guerre de Trente Ans, et aujourd’hui, il est fermé aux marcheurs.
Descente dans le Schlangenthal, je peux vous dire que je regardais où je mettais les pieds, avec un nom pareil.
Roppeviller (57230) est une commune française située dans le département de la Moselle.
Le village fait partie du pays de Bitche à la frontière avec l’Allemagne.
Le Rocher de Diane, également appelé Dianabild, est un rocher avec un relief de l'époque romaine est sculpté dans une paroi rocheuse en grès rouge.
Il nous montre une triade de divinités romaines : Mars, Diane et Mercure (ou Silvanus) fortement patinée au cours des siècles.
La position médiane est occupée par la déesse chasseuse Diane.
Elle prend une flèche de son carquois avec sa main droite tout en tenant l'arc dans sa main gauche.
Un instantané dynamique, juste avant que la proie chassée ne soit abattue, qui puise ses origines dans l'art grec.
A sa droite un chien lui fait face, un second est à sa gauche.
Doute et supplice sont inscrits dans l'énigme 520.
Une faute a été commise : la faim et la soif pour l’éternité furent les peines infligées à Tantale par son père Zeus.
Tantale déroba le nectar et l’ambroisie, plats réservés aux dieux, afin de les faire goûter aux mortels.
Une offense qui valut à son auteur d’être attaché sous des arbres fruitiers et attaché jusqu’au cou au milieu d’un fleuve.
Tenaillé par la faim et la soif, Tantale tenta en vain de se saisir des fruits de l’arbre qui pendaient au dessus de sa tête et de se courber pour boire de l’eau.
Tantale est également un métal lourd de symbole atomique 73.
Ce nombre s'inscrit dans la série de nombres : 71,72,73,74,75.
Prométhée, avec la complicité d'Athéna, décide de voler le feu sacré de l'Olympe, pour le donner à l'homme afin de le rendre plus fort pour la survie de son espèce.
Le mythe de Prométhée est admis comme métaphore de l'apport de la connaissance aux hommes.
Symboliquement, le chasseur est un homme qui chercherait à s'élever par cette quête pour atteindre Zeus, le roi des dieux : Max Valentin.
Bibliographie