- l'institution Jeanne d'Arc

C'était autrefois le Pensionnat Sainte-Marie géré par les Sœurs de Nevers....

(Col. JPC)

(Col. JPC)

(Col. JPC/net)

Vue extérieure de la chapelle (Doc. delcampe.net)

Le couvent de Sainte-Marie (Doc. delcampe.net)

La tour du couvent Sainte-Marie (Doc. delcampe.net)

....  avant  de  devenir  l'Institution 

La Grotte de la Vierge, au Pensionnat Sainte-Marie

(Doc. delcampe.net)

Jeanne d'Arc

(Col. JPC)

L'entrée par la rue Soliers (Col. JPC/net)

(Col. JPC/net)

La Chapelle (Col. JPC)

(Col. JPC/net)

Vue des bâtiments coté cour de récréation

(Col. JPC/net)

(Col. JPC)

(Col. JPC/net)

Le réfectoire (Col. JPC/net)

La classe enfantine (Col. JPC/net)

Un dortoir (col. JPC/net)

(Doc. delcampe.net)D'autres images de la chapelle de l'Institution Jeanne d'Arc se trouvent dans notre page

(Doc. delcampe.net)

"Lieux de Culte". C'est ici : CLICK.

(Doc. delcampe.net)

"BONUS 1" 

Pendant la guerre de 1914-1918, un hôpital auxiliaire, portant le numéro 2, a été implanté dans les locaux de l'Institution Jeanne d'Arc. Géré par le comité de Brive de la Société de secours aux blessés, il y a fonctionné du 12 août 1914 à octobre 1916, avant d'être transféré dans les locaux de l'ancien petit séminaire, c'est à dire à l'hôtel de Labenche.

Une vue des invalides et du personnel soignant dans la cour d'honneur, devant l'entrée de la chapelle

(Doc. delcampe.net)

Une autre photographie de l'hôpital auxiliaire n° 2 installé dans les locaux de Jeanne d'Arc.

(Doc. delcampe.net)

 

"BONUS 2"

L'AGRANDISSEMENT DE L'INSTITUTION JEANNE D'ARC EN 1938    

L'hebdomadaire "La Croix de la Corrèze" raconte dans son numéro 2348 du 4 septembre 1938 (AD19 - cote 68Pr 35), cette page d'histoire, au sujet de l'Institution Jeanne d'Arc :"Lorsque, il y a quelques années, les Sœurs de Nevers acceptèrent d'en reprendre en main la direction, les anciennes élèves qui restent unies à l'école par tant d'attachants souvenirs en conçurent une grande joie. Elles ne doutaient pas en effet que sous l'impulsion de ces si dévouées religieuses, leur chère école ne connût un nouvel essor. Cet espoir a été comblé au-delà de ce qu'elles pouvaient imaginer.Les religieuses, en effet, ne se sont pas contentées d'insuffler à la vieille maison une vie nouvelle; bravant les difficultés de l'heure, elles ont aussitôt entrepris de remplacer les bâtiments vétustes par un nouvel immeuble, mieux adapté à sa destination et doté de tout ce qui peut permettre aux élèves de poursuivre leurs études sainement et, je dirai même joyeusement.Au premier abord le nouvel immeuble parait luxueux. Mais bien vite l'on constate que ce qui en fait la beauté c'est l'harmonie de ses proportions et bien plus encore la lumière, la lumière qui inonde sa façade, qui, par de vastes baies, pénètre jusque dans les plus petits recoins. Du luxe, non ! Mais rien n'a été négligé de ce qui, suivant les dernières données de l'hygiène, était nécessaire à des enfants. Les classes, les salles d'étude, le réfectoire, les dortoirs pourraient sans peine contenir des effectifs doubles de ceux prévus, et partout les heureux occupants peuvent s'emplir les bronches du grand air vivifiant, cependant qu'en hiver le chauffage central leur dispense partout la chaleur."

(15 juillet 2021)