Le nom du faussaire de ce cadran ne nous est pas connu; et on ignore tout de la date de fabrication. Mais la signature suspecte permet de dater le cadran quelque part entre la fin du XVIIe siècle et 1724, l'année de la mort de Michael BUTTERFIELD, installé à Paris en 1677. Selon la Justice française, l'utilisation sans autorisation du nom de Butterfield, du temps de son vivant, aurait été une contrefaçon frauduleuse, punissable de la peine de mort... Les disciples avaient intérêt à signer leur nom, et non celui du maître...sur leurs cadrans! Pour en savoir plus sur ce cadran, il faudrait aller voir le numéro de Septembre 1988, in American Collector's Journal, un texte d'Edmund A. Fortier, intitulé A Little Brass, et reproduit dans Compendium, Vol 2 No 3, Sept. 1995, pp. 10-011, la revue trimestrielle de la North American Sundial Society.