Lorsque les premières horloges mécaniques apparurent sur les places publiques, ces horloges n’étaient pas très fiables et avaient besoin d’être recalibrées en se servant d'une mesure étalon. Cette mesure étalon était donnée par un cadran méridien. Ce cadran, qui est toujours fonctionnel de nos jours, consistai en un disque troué qui laissait passer un filet de lumière. Ce disque était fixé sur un support faisant face au mur sud. Une ligne avait été tracée sur le mur et correspond au tracé du méridien du lieu. Lorsque le filet de lumière frappait cette ligne, un observateur sonnait un gong et le préposé à l’horloge pouvait faire la correction.