Cette citation interpelle, avec ses vérités, une vérité simpl(ist)e (on a qu'une vie, qu'elle soit une ou 2) ou des vérités plus complexes résultant du coté absurde de l'énoncé (si on se rend compte qu'on a qu'une vie, la 2m n'existe pas!): pour concilier l'absurde des mots et pensées, on hésitera entre 3 situations qu'on pourra même co-accepter dans un esprit de philologie quantique.
Si on se rend compte qu'on n'a qu'une vie, (a)soit on meurt (l'énoncé est faut ou la 2me vie c'est la mort), (b)soit on continue la 1r vie (mais éclairé qu'il y en a qu'une et l'acceptation du faux dans l'énoncé, qu'on aurait 2 vies), (c)soit enfin on commence en effet une seconde vie (en acceptant un mensonge dans l'énoncé (qu'on a qu'une vie) pour mieux tenir à la 2eme vie). Dans les 3 cas, se dessine un raison de vivre:
(a)la prise de conscience qu'on n'a que la mort comme 2eme vie (de l'ame?) et que ca peut nous aider à mieux vivre la 1r(seule) vie;
(b)la prise de conscience amène similairement à mieux profiter de sa vie et en faire fructifier du mieux pour l'avenir (à défaut de la mort), mais en acceptant que la vie est complexe et non totalement saisissable (accepter du faux)
(c)la prise de conscience amène à profiter mieux de la 2m vie que de la 1re, avec l'acceptation que la vie est double, si ce n'est multiple: double dans le temps séquentiellement, mais aussi peut être parallèlement dans des sphères différentes (intellectuel/émotionnel; personnel/relationnel ou social; intime/publique;...)
Avec un peu de recul (ou de largueur d'esprit), les 3 acceptations sont 3 facettes de la vie:
(a)-une seule vie et une vie-mort de conscience pleine, attitude très rigoriste
(c)-2 vies distinctes avec une évolution de consciences, attitude croyante, religieuse
(b)-1 vie avec 2 vie-périodes séparées par cette prise de conscience, mais allons au delà:
(b2)-1 vie duale entre des moments d'inconscience et d'autres de consciences, voire multiple entre des poles distincts extrem(ist)es tels que (a) et (c).
L'acceptation b/b2 est analogue à une superposition de vérités (a et b) qui sont des quantités discretes (finies, comprehensibles, sensibles) contenues par des mots ou des pensées. L'acceptation de sens profond (b) se fait plus simplement et naturellement en acceptant que les mots peuvent prendre plusieurs sens (il y à 2 vies psychologiques, mais 1 vie organique, 1 esprit de Vie,...).
&citations& &philo& &vie&
[R1125]