Citations de Rousseau
La mort de Socrate, philosophant tranquillement avec ses amis, est la plus douce qu’on puisse désirer ; celle de Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout son peuple, est la plus horrible qu’on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d’un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. […] Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d’un sage, la vie et la mort de Jésus sont d’un Dieu.
Combien misérables et méprisables sont les paroles de nos philosophes, avec toutes leurs contradictions, comparées aux saintes Ecritures.
Je suis chrétien, non comme un disciple des prêtres, mais comme un disciple de Jésus-Christ.