Brève chronologie permettant de comprendre
pourquoi le maire a monté une opération de déstabilisation à mon encontre
26 janvier 2025 : réunion du groupe des adhérents orcéens du parti Les Écologistes, où un sondage montre une unanimité favorable à la présentation aux élections municipales de mars 2026 d’une liste autonome, concurrente de celle du maire au moins au premier tour. Une réunion est prévue le 16 mars pour entériner par un vote formel ce projet.
14 mars 2025 : le maire m’accuse (faussement) de « harcèlement » à l’encontre d’une agente, s’appuyant sur des éléments datant de plus d’un an, privés, hors contexte professionnel et ne relevant absolument aucune dérive, ni morale, ni a fortiori pénale.
Le maire me retire mes délégations « le temps de l’enquête ».
Le maire ayant obtenu rapidement l’assurance du soutien de certains conseillers municipaux écologistes, le retrait des délégations passe de transitoire à sine die et le maire diffuse une information me diffamant via le fil Facebook de la mairie.
16 janvier 2025 : la réunion constituante d'une liste écologique n’a jamais lieu, non plus que le projet de liste autonome tel qu’initié en janvier. Le maire a atteint son objectif, craignant sans doute de ne pas arriver devant une liste écologiste au premier tour, et risquant de voir ainsi le poste de maire lui échapper.
1er décembre 2025 : après un temps de sidération et de mise en ordre de ma défense sur le plan judiciaire, je relance le projet de liste, désormais citoyenne, sans étiquette politique.
Il est à noter :
- que l’agente n’avait jamais envisagé de signaler quoi que ce soit de cet épisode privé et ancien ; c’est sa convocation, quelques jours avant le 14 mars, par sa supérieure hiérarchique directe qui l’a amenée à contribuer à ce signalement ;
- que la vacuité de l’accusation empêche le maire de demander à la Préfète quelque sanction administrative à mon égard (le retrait des délégations sans motif étant de droit) ;
- que ma citation du maire pour diffamation l’a amené à comparaître devant le tribunal correctionnel d’Évry le 2 septembre 2025 (mais que le jugement risque de n’intervenir qu’après mars 2026).
Didier Missenard, le 4 décembre 2025.
Sommaire de la partie « élu » de ce site :
21 novembre 2025 : publication de mon analyse de la situation financière de la commune
30 septembre 2025 : le point sur les enquêtes, et mon activité municipale
10 juillet 2025 : une chronologie de cette affaire, pour mieux la comprendre
1er mai 2025 : "une bonne recette pour se débarrasser d'un adversaire politique…"