Qu’est-ce que la catégorie lexicale ?

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De a király nem hallgatott rájuk, megparancsolta, hogy többet szó se essék erről a dologról (Szűz Mária leánya).

« Mais le roi l’aimait si tendrement qu’il n’en voulut rien croire et qu’il ordonna à ses conseillers de ne plus reparler de cela sous peine de la vie. » (L’enfant de Marie)

le roi furieux

Le chapitre précédent a révélé que la spécification des groupes syntagmatiques ne dépend que de la catégorie lexicale des mots qui les composent – et évidemment, puisqu’il s’agit de syntagmes, de l’ordre de ceux-ci. On pourrait penser qu’une définition intuitive des catégories lexicales devrait suffire à trancher sur les syntagmes, et ce dans n’importe quelle langue. Hélas, encore une fois la tradition de la philosophie grecque (.eng) nous en empêche parce que ses catégories sont trop étroitement liées au grec ancien. Comme les catégories lexicales sont l’outil de prédilection de la description grammaticale, chaque langue devrait avoir son propre système de classification. Pourtant, ce n’est peut-être qu’en Suisse qu’on utilise dans les écoles une telle définition pratique pour l’enseignement de l’allemand qui soit parfaitement adaptée aux particularités de cette langue-là.

C’est grâce au linguiste suisse Hans Glinz (.deu) qui révisa les grammaires scolaires des langues les plus courantes dans les écoles d’un point de vue purement didactique. Il parvint ainsi à simplifier les catégories lexicales de l’allemand (.ppt.deu) de façon à les définir exclusivement par des critères morphosyntaxiques (c’est-à-dire sur les niveaux grammaticaux numéros 1 et 2), ce qui permet de les déterminer sans l’ambiguïté habituelle des catégories venant de la sémantique et de l’analyse textuelle (numéros 4 et 5). Son système est fondé uniquement sur la flexion et les paradigmes flexionnels typiques de l’allemand.

Mais le hongrois ne connaît que des paradigmes de suffixes comme celui des suffixes pronominaux qui constituent – à l’échelle morphologique – des paradigmes agglutinants. La langue est par ailleurs linéairement syntagmatique, ce qui fait qu’il n’y ait que l’ordre linéaire qui importe pour la syntaxe. Ce sont donc ces deux critères incontournables qui sont les plus qualifiés pour classifier les mots hongrois. En étant plus précis :

    • La catégorie lexicale est une catégorie grammaticale non marquée* qui regroupe des mots qui ont en commun le manque de certains suffixes ou d’un rôle syntagmatique dans un des groupes syntagmatiques d’une priorité moindre de sept, et qui forme un champ sémantique incontestable.
    • Tout ce qui n’est pas couvert par la définition ci-dessus n’est pas une catégorie lexicale, mais une fonction syntaxique.
    • Puisque ces catégories n’ont pas de signaux univalents, la connaissance du champ sémantique des mots peut s’avérer indispensable (ce qui est d’ailleurs le cas, même dans le système de Glinz, des particules de l’allemand [.deu] qui ne sont pas marqués non plus).

Qu’est-ce qui ne l’est pas ?

En ce qui concerne la syntaxe, le Big Bæng (7) est, tout comme le groupe d’agglutination (8), une parenthèse sans fonction syntaxique propre, ce qui fait qu’il soit inutile de considérer les articles qui en font part comme une catégorie lexicale. Par contre, examinons de plus près le groupe syntagmatique qui est peut être le plus fréquent dans le hongrois puisqu’on le rencontre dans presque toutes les phrases : celui du prédicat dont un exemplaire est souligné dans la citation du début.

Ce groupe syntagmatique se forme autour d’un prédicat verbal (ver, verbum), qui est typiquement suivi par un autre syntagme qui se nomme la postposition verbale (verp, postpositio verbi), et qui joue un rôle important dans la signification de l’ordre des mots. Le supplément principal du verbe est la préposition verbale (pver, præpositio verbi) qui le précède au sein du groupe proprement dit du Prædicatum, et qui est formée par un syntagme d’une catégorie lexicale quelconque, qui peut être le cas échéant – mais uniquement en position initiale dans la phrase – même vide.

Mais la définition d’une structure de relation est Relt = ⁕ + post, ce qui veut dire qu’une « postposition » (postpositio) commune peut être ajoutée non seulement à un verbe, mais à toute catégorie lexicale, comme par exemple le « nom » qui serait plus habituel (et le seul connu des langues indo-européennes) dans un syntagme de relation. Mais la postposition elle-même n’est pas que de la catégorie adverbiale non plus : elle peut en effet aussi appartenir aux adjectifs (« haragos szavú » – aux mots coléreux), aux négations (« királyt sem » – ni [le] roi) ou aux conjonctions (« királyt is » – [le] roi aussi). En mettant les points sur les i, la postposition n’est pas une catégorie lexicale du hongrois.

Qui plus est, le nom est un mot qui peut bien recevoir des suffixes pronominaux, et qui peut aussi servir à lui seul en tant que postposition verbale. Cette description plutôt inclusive qu’exclusive laisse entrevoir que le nom non plus n’est pas une catégorie lexicale ☺.

Le cas des noms

La tradition grammaticale française ou anglo-saxonne désigne par le terme du « nom » (nomen) uniquement le substantif (subs, substantivum). Mais à l’origine, dans les grammaires latines c’étaient toutes les catégories lexicales déclinables qui étaient appelées nomina, c’est-à-dire l’adjectif (adj, adjectivum), le numéral (num, numeralis) et le pronom (pron, pronomen) qui peut les représenter tous – ce sont ces mêmes catégories qui donnent les attributs du hongrois. Le grec ancien y comptait aussi les articles qui n’existent pas dans le latin.

En fait, ces catégories lexicales se comportent syntaxiquement d’une manière semblable, ce qui justifierait leur classification dans un même groupe. Mais dans le hongrois, c’est tout aussi vrai des adverbes comme l’illustrent les exemples suivants :

    • Il existe certains substantifs d’origine adverbiale :
    • reggel (le matin) = rėg + vAl (« avec le commencement »), nappal (le jour) = nap + vAl (« avec le soleil »), éjjel (la nuit) = éj + vAl (« avec les ténèbres »);
    • este (le soir) = ☨ estve, körte (la poire) = ☨ körtve (tous les deux : en faisant …).
    • Les pronoms adverbiaux peuvent aussi être des prédicats nominaux :
    • Amilyen az éjjel, olyan a reggel (Le matin est comme la nuit).
    • Les adverbes qui se terminent en -n peuvent aussi être des adjectifs :
    • Nem minden körte jó, de mind ehető (Toutes les poires ne sont pas bonnes, mais [elles] peuvent toutes être mangées).
    • Les adverbes peuvent aussi être munis d’un attribut qualificatif interne, tout comme les noms adverbiaux :
    • jó gyorsan, nagy sebességgel (très vite); szép reggel (le beau matin).

Le dernier point ci-dessus démontre en même temps que la séparation des cas circonstanciels des autres adverbes n’a aucune influence sur la syntaxe. En fait, cette distinction artificielle n’est que le résultat d’une contemplation plutôt paradigmatique. L’attribut (apad, appositum adjectivum) d’un adverbe n’est rien d’autre que la conséquence de l’associativité de la syntaxe de concaténation :

Attradv = (apad + radx) + ragadv = apad + (radx + ragadv) = apad + adv

Le névszó (nomn – le nom) est donc une fonction syntaxique qui regroupe les rôles syntactiques des catégories lexicales suivantes :

nomn = subs | adj | num | adv | pron = apad | adv

La liste des catégories lexicales

Les catégories lexicales sont déterminées progressivement par élimination – puisque la procédure est algorithmique – c'est pourquoi l’accomplissement des critères de définition par un mot donné devra être impérativement vérifié dans l’ordre stipulé ci-dessous. La classification à base de ces critères se fait sur les niveaux de description grammaticale numéros un à quatre.

Pour ce qui est de la morphologie, c’est l’usage possible des suffixes pronominaux et des suffixes des cas fondamentaux qui doit être examiné. Pour ce qui de la syntaxe, ce sont les fonctions de la postposition verbale↑ et des groupes syntagmatiques nominaux et adverbiaux qui importent.

Une observation sémiotique peut en plus servir d’orientation : la lettre terminale des lexèmes a souvent un rapport plus ou moins étroit avec une certaine catégorie lexicale. Ce rapport peut être exclusif si la terminaison n’apparaît que dans une seule catégorie, ou inclusif autrement. La description des suffixes exige les archiphonèmes suivants :

A=a,e; (Á=á,é); À=A,Á; Γ=g,k; J=i,j; O=o,ö,e; Ó=ó,ő; U=u,ü; Ú=ú,ű et V=A,O.

Enfin, on pourrait même, en désespoir de cause, avoir recours au champ sémantique couvert par la catégorie lexicale qui reflète tout simplement le rôle sémantique classique des mots regroupés, que l’on pourrait résumer en un mot par l’action, la connexion, la désignation, la modification, la négation, la qualification, la quantification ou le remplacement.

Præd
Le corbeau de Poe

Minden elszállt, ez is elszáll –

nem örök a csoda sem –

A madár szólt : „Sohasem”.

(POE Allan Edgar : A holló,

Kosztolányi Dezső fordításában)

« D’autres amis déjà ont pris leur vol – demain il me laissera comme mes

Espérances déjà ont pris leur vol. » Alors l’oiseau dit : « Jamais plus. »

(Allan Edgar Poe : Le Corbeau, traduit par Stéphane Mallarmé)

    1. Conjonction (conj, conjunctio)
  1. Aucun mot jouant un rôle de « connexion » (dans la citation : is – aussi) ne peut porter un suffixe pronominal quel qu’il soit :
    1. jamais : -⁕m | -⁕k, -⁕d | -⁕l | -⁕sz, -(J)(A) | -⁕n, -(U)(n)k, -⁕tOk, -(n)⁕k
    2. Les mots qui appartiennent à cette catégorie n’ont aucun signe distinctif, mais ils peuvent par contre donner des postpositions. Leur catégorie lexicale est la conjonction qui contiendrait des sous-catégories si on se tenait à la sémantique ou l’analyse textuelle classiques. Comme ces mots ne peuvent pas être suffixés, ils restent toujours neutres du point de vue syntaxique. Ce sont en fait des particules invariables qui sont souvent dérivés d’adverbes (cf. « hogy » – que ← « hogyan » – comment).
    3. Verbe (ver, verbum)
  2. Le champ sémantique du verbe est naturellement l’« action » (p. ex. elszáll – s’envoler, szól – dire). Il ne peut pas utiliser le suffixe adverbial de référence qui est le -n, bien qu’il puisse bien sûr se terminer en -n dans la 3ᵉ personne du singulier :
    1. jamais : -⁕n3. sing
    2. La majorité des mots se terminant en -(s)z appartiennent à cette catégorie, mais les autres terminaisons typiques d’un verbe ne sont pas aussi explicites : le -d, le -l, le -t, et comme nous venions de le dire, occasionnellement le -n (par exemple « elillan » – se volatiliser).
    3. Il n’y a aujourd’hui plus de postpositions verbales dont la catégorie serait aussi verbale, mais les auxiliaires des temps composés disparus « volt – [il] fut » et « vala – [il] était » étaient de telles postpositions invariables, c’est-à-dire non conjuguées : par exemple « ☨ szállnak vala – [ils] volaient », « ☨ megszálltak volt – [ils] étaient descendus », etc.
    4. Négation (neg, negatio)
  3. Les mots dont le champ sémantique s’appelle « négation » (p. ex. nem – non, sem – non plus) ne peuvent pas servir en tant que postpositions verbales, et ils n’ont pas de signes distinctifs à part d’un n- éventuel qui n’est pas exclusif :
    1. jamais : verp
    2. Le modèle du prédicat↑ avait déjà démontré que la préposition (præp) et la postposition (post) ne sont pas des catégories lexicales, mais seulement des positions relatives par rapport à un mot donné. Cette conclusion permet de classifier les mots de négation (ind, indicativus – l’indicatif; imp, imperativus – l’impératif; cf. vígy – porte[-moi]!, végy – prends!, etc.) :
    1. Les pronoms négatifs qui sont composés d’une négation et d’un interrogatif à l’instar de s⁕+int (int, interrogativum – l’interrogatif) comme par exemple senki – personne, semmi – rien, semennyi – aucun (quantité), semelyik – ni l’un ni l’autre, soha – jamais, etc. ne sont pas des négations parce que d’une part ils ne suffisent pas à exprimer à eux seuls la négation ☹, et d’autre part ils peuvent conduire à des propos comme « Nem történik semmi (sem) – Il ne s’y passe rien » (dans le même poème de Poe [.hun]) qui s’opposent à la description de la catégorie lexicale.
    2. Les suffixes pronominaux qu’on voit encore sur les négations sont les vestiges d’une conjugaison de négation qui est un trait caractéristique de chaque langue ouralienne à l’exception du hongrois (.hun). En outre, comme le destin de l’enfant de Marie « dépendait d’un non », l’équivalent hongrois « egy nemen múlott » offre aussi un exemple pour l’usage du suffixe adverbial de référence.
    3. Adverbe (adv, adverbium)
  1. Le champ sémantique de l’adverbe est le domain de la « modification » (p. ex. minden – [en] tout, sohasem – jamais), que l’on ne peut pas exprimer par le nominatif, ce qui fait en tour qu’un tel mot ne sera ni à l’accusatif, ni au datif non plus – sauf si la notion de modification est utilisée en tant que nom (p. ex. mindennek elmondja – [il] le traite de tous les noms) :
    1. jamais : -(V)t, -nAk
    2. Un adverbe peut servir de postposition et même d’adjonctif verbal, mais l’exercice de classifier la catégorie lexicale plus en détail – quoique sans aucun rapport avec des critères morphosyntaxiques (.hun) – revient à la sémantique et à l’analyse textuelle.
    3. La terminaison adverbiale -n, qui peut aussi être un suffixe pronominal, ne marque pas que les adverbes, tout comme les lettres -l et -t. Par contre, les voyelles sont un tel signe exclusif.
    4. Substantif (subs, substantivum)
  2. Le substantif sert à « désigner » quelque chose (p. ex. csoda – la merveille, madár – l’oiseau). Puisque normalement aucun adverbe ne peut le précéder au sein du même groupe syntagmatique, il ne peut pas former le noyau d’une modification adverbiale (genericum adverbiale) :
    1. jamais : gene adv
    2. Les lettres terminales -A, -c, -cs, -m, -U et -v ne se trouvent que sur les substantifs. En revanche, les terminaisons -t, et -t ne sont pas des marques exclusives limitées à cette catégorie lexicale. Par ailleurs, tous les suffixes cités comme critères d’exclusion peuvent bien sûr être joints à un substantif.
    3. Numéral (num, numeralis)
  3. Le numéral décrit une « quantité » (p. ex. « több – plus de » dans le conte en haut), donc il n’a pas besoin des suffixes pronominaux singuliers : pendant que « egyikünk – l’un de nous » est bien valable, « *egyikem*l’un de l’un ⁈ » ne l’est pas (mais il y a bien « egyetlenem – mon [ma] seul[e] et unique [chéri[e]] » ☺ qui n’est pas forcément un numéral…). Le numéral laisse donc de côté les suffixes suivants :
    1. jamais : -(V)m, -(V)d, -(j)A
    2. La catégorie lexicale du numéral n’a pas de signe exclusif, donc elle ne se reconnaît qu’aux terminaisons inclusives dont la liste a été établie pour le substantif, c’est-à-dire le -d (p. ex. ötöd – la cinquième part), le (ötödik – le cinquième) ou le -t (öt – cinq).
    3. Adjectif (adj, adjectivum)
  4. L’adjectif détermine toujours la « qualité » de quelque chose (p. ex. örök – éternel), ce qui lui interdit de former un noyau (genericum) qui soit indéterminé (ndef, indefinitum) dans un groupe syntagmatique nominal :
    1. jamais : gene nomn ndef
    2. L’adjectif peut utiliser les terminaisons connues et -t, mais ses marques vraiment distinctives sont le -i, le -s, le (qui forme d’ordinaire une postposition) et le . Ce dernier n’est un signe exclusif que si le mot en question n’est pas minimal.
    3. Pronom (pron, pronomen)
    4. La tâche du pronom est de « remplacer » des noms (p. ex. ez – celui-ci, sohasem – jamais) ce qui est rendu possible par le fait qu’un pronom, à la différence de tous les autres noms, n’est associé à une notion précise que par le biais du nom qu’il remplace – sa signification réelle est indéterminée. Pour en donner l’exemple, le pronom démonstratif substantif « ez » n’est pas une réponse à la question « mi – quoi ? », mais à « melyik … – quel … ? », ce qui n’est pas exactement la même chose ☺.
    5. Donc, même en tant que noyau d’un groupe syntagmatique, le pronom ne pourrait être défini (def, definitum) :
    6. jamais : gene nomn def
    7. Le pronom ne connaît que deux terminaisons typiques qui sont toutes les deux non exclusives, le et le -t. De plus, s’il est utilisé comme postposition, il détermine une position relative (ou la direction de celle-ci).
  5. Comme illustré par la figure ci-jointe, le pronom peut remplir la fonction de chaque nom, jusqu’à jouer son propre rôle – c’est tout simplement ce cas particulier de la récurrence qui aboutit aux pronoms personnels. Pour cette raison, le pronom est en même temps le rassemblement fonctionnel des catégories lexicales du nom :
    1. pron = subs | num | adj | adv | pron
    2. Le pronom démonstratif (pron dem, pronomen demonstrativum)
    3. C’est par le signifié de la voyelle initiale qu’un pronom devient un pronom démonstratif. En effet, ce signe spécifique permet d’avoir des paires de pronoms clairs (sonora) et sombres (surda) qui peuvent apparaître dans chacun des cinq rôles nominaux :
Le rapport des pronoms entre eux
    1. Le tableau ci-dessus montre que le suffixe adverbial de référence↑ se retrouve aussi dans les pronoms personnels de la 1ᵉ et 3ᵉ personnes du singulier. L’opposition des deux proviendrait selon ce schéma du changement phonétique d’un « *í » antérieur supposé en un « *ű », une voyelle fermée qui serait devenue plus tard un « ő » mi-fermé. Cela expliquerait aussi pourquoi le í long – par contraste à é – est considéré comme une voyelle sombre dans beaucoup de mots minimums qui font part du vocabulaire le plus ancien du hongrois.
    2. Le pronom démonstratif substantif est en même temps l’article défini dont la forme générale est de ce fait A(z). Son pendant indéfini est le numéral « egy – un ». Tous deux servent à la détermination initiale des groupes syntagmatiques, un rôle dans lequel l’article – qu’il soit défini ou indéfini – se distingue du pronom par le fait qu’il est toujours prononcé inaccentué.

Summa summarum

La définition des catégories lexicales est résumée ailleurs sous forme de tableau (.pdf).

À présent, nous savons presque tout sur la syntaxe en principe, sauf ce qu’est l’objet central de son investigation, la →phrase

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* Remarque :

Puisque les catégories lexicales ne sont pas des fonctions syntaxiques, il n’y a pas de signes qui leur soient dédiés, comme c’est le cas par exemple dans l’espéranto (.hun) avec les suffixes -o (subs), -a (adj), -e (adv), etc. : vespero – le soir, vespera – du soir (vespéral), vespere – le soir venu.

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