Géographie

Empire Métropolitain 

 

Principauté de Castillon

" Ense & Aratro Salvs Popvli Est "

La Principauté de Castillon forme le cœur historique de l'État avarois. La capitale Impériale, Castillon-Villeroy, constitue sa plus grande & prestigieuse ville, et sa noblesse est assurément la plus raffinée de tout l'Archipel. La Principauté de Castillon est localisée au sud de la péninsule de la Nouvelle-Alexandrie. Son territoire est allongé & possède une large ouverture maritime sur le Golfe de Jade & la Mer d'Argentorate. L'estuaire de l'Hytre, un des deux grands fleuves traversant le territoire du Nord au Sud, est quant à lui l'espace maritime le plus fréquenté d'Avaricum. Nombreux sont en effet les navires qui, de l'Archipel méridional ou des Colonies de Sa Majesté, remontent son cours vers Acquæ-Victis, voire Castillon-Villeroy.

La Principauté possède plusieurs grandes villes, outre Castillon-Villeroy :

Principauté de Guysenval

" Adsumus Custodes Pacis "

La principauté souveraine de Guysenval est l'un des trois anciens royaumes qui composaient le comté historique. Devenu principauté souveraine à la suite de l'Harmonie des Nations de 1547, Guysenval demeure autonome et attachée à la famille royale ainsi qu'à sa culture et ses traditions. C'est aussi la principauté la plus étendue de Nouvelle-Alexandrie, et le centre religieux du sud de l'Archipel.

La capitale historique est Montfleury, remplacée aujourd'hui par Saint-Nicolas-de-Guysenval. Les Guysenvalois sont au nombre d'environ 9 000 000 répartis pour les deux tiers autour des grandes villes de l'est, et pour le reste dans les campagnes de l'ouest.

Se détachent les villes de Saint-Nicolas-de-Guysenval, capitale et ville la plus peuplée, Trembleterre, Saint-Sulpice, Ausembourg et Alzzio.

L'ordinaire syiste est l'archiexarque de Saint-Nicolas-de-Guysenval, par ailleurs primat d'Avaricum, c'est-à-dire chef de l'Église avaroise.

Gouvernement de la Principauté

Guysenval jouit d'un statut particulier au sein d'Avaricum, fixé par le traité de l'Harmonie des Nations de 1547. Cependant, Guysenval se situe au cœur d'un second ensemble : les Couronnes héréditaires de la maison de Fleury. Il s'agit là d'un ensemble non homogène et comprenant en outre la principauté d'Yrusalem et le gouvernorat héréditaire de Gallice.

Les institutions essentielles sont les suivantes :

Histoire guysenvaloise

L'histoire de Guysenval commence en 527, année qui voit la naissance de l'État guysenvalois sous l'égide de Saint Aymeric (Aymeric Ier). Cette première période va jusqu'en 1547 : Guysenval est un royaume indépendant et prospère qui mène une vie politique, culturelle indépendante. Ceci s'achève lors de l'Harmonie des Nations de 1547 lorque Guysenval devient une province avaroise, et dès lors, son histoire se confond avec celle d'Avaricum. Les historiens de la principauté se sont aussi intéressés particulièrement dernièrement aux temps anciens qui s'étendent avant 527, mais ces siècles obscurs demeurent mal connus et ne font pas à proprement parler partie de l'histoire de Guysenval.

Il y eu :

Principauté de Castelmaure

" Lux Æterna Luceat Castelmaris & Lux Perpetua Luceat Castelmaris "

Depuis que Castelmaure a quitté son état de Royaume au vu de la réunification sous l'égide de l'Harmonie des Nations, formant par la même l'Empire, Le Prince Castelmaurois devenant vassal de l'Empereur garda sous son contrôle sa Principauté Exarchale. Au vu de la Charte Fondamentale, le titre de Prince n'est guère plus qu'un symbole pompeux aux pouvoirs réduits ; toutefois il reste héréditaire, accoutumant par la même ses sujets à la lignée de leur Prince de même façon qu'à l'ancienneté et à la continuité de pouvoir, préservant l'ordre établi.

Pour le seconder, le Prince de Castelmaure nomme selon son unique plaisir un Secrétaire Princier, qui l'aide dans les diverses tâches. La grâce & les privilèges Princiers se limitent en conséquence à la possession d'une armée composée de dix mil troupes soldatesques constituant une élite, étant tous médaillés de l'Ordre Princier de Sainte-Allégeance, et gardant la citadelle de Quevelles. La cour de Castelmaure se réunit au Palais de Vignerence, appartements privés du couple Princier.

Castelmaure est localisé dans l'archipel sud, sur le continent de Nouvelle-Alexandrie aux côtés de Guysenval et Castillon. Étant entourée d'eau, la Principauté est un haut lieu qui, grâce à de nombreux ports, est protégé & en relation avec de nombreux pays.

Principauté d’Yrusalem

" Oderint, Dum Metuant "

La principauté croisée d'Yrusalem est localisé au Nord, en dehors de la Nouvelle-Alexandrie, entre la Mer de Thezzalonique et la Détroit d'Orion. Elle est entourée d'une part par Nyvélia, et de l'autre par la Nouvelle-Caucasie.

Institutions

Le Prince

Le prince d'Yrusalem est la personnification de Sevan sur terre. Incarnation de la divinité, sa personne est hautement sacrée. Tenant son pouvoir de Dieu, et lui-même divin, le prince d'Yrusalem est donc absolu, autocrate. Son pouvoir est théoriquement sans limite aucune. Cette forme de gouvernement est bien une théocratie. Le prince est son propre chef de gouvernement. Néanmoins, il nomme de nombreux ministres pour l'aider dans sa tâche car ses possessions dépassent Yrusalem, sont nombreuses et diverses.

L'Aréopage Princier

L'aréopage a été formé par le prince d'Yrusalem pour superviser et accorder la politique menée dans chacune des possessions de la Couronne yrusolymitaine : Guysenval et Yrusalem. Il définit une politique commune plus ou moins étendue dans chacun de ses États, en fonction des prérogatives qu'y détient le prince. En Guysenval, le souverain n'est plus qu'une autorité locale, tandis qu’il reste très autonome en Yrusalem.

Il est présidé directement par le prince qui y invite traditionnellement le secrétaire princier de Guysenval et le Scribe d'Yrusalem. À ce cercle restreint s'ajoutent quelques conseillers, généralement des ministres. Dans tous les cas, la composition de l'aréopage est laissée à l'entière discrétion du prince

La politique menée par l'aréopage demeure nécessairement très générale, et il tient à chacun des gouvernements d'appliquer les mesures qui y sont décidées. Il peut d'ailleurs rendre des arrêts qui ont valeur légale dans chacun des États. Ces arrêts sont exécutoires et chaque officier dépendant de la Couronne d'une manière ou d'une autre est tenu d'y obéir. Ils sont enregistrés par l'ensemble des chancelleries.

Le gouvernement du Prince

Le gouvernement du prince d'Yrusalem à proprement parler est constitué de la sébastocratie et de différentes préfectures qui gèrent les affaires de l'Empire. L'ensemble de ses membres est nommé par le prince.

L'Office du Scribe

Il s'agit du principal organe du gouvernement ; et son titulaire, le Scribe, tient le second rang dans le gouvernement, après le prince. Les compétences de cet office comprennent notamment les affaires étrangères, l'enregistrement et la publication des actes princiers, la justice. Ses compétences sont, d'une manière générale, très étendues.

Les préfectures

Les préfectures sont au nombre de quatre. Elles comprennent, avec la Sébastocratie princière, l'ensemble des affaires qui sont donc ainsi réparties :

L'Échiquier d'Yrusalem

L'Échiquier est composé des Illustres d'Yrusalem, qui sont les descendants des héritiers des chevaliers qui participèrent à la conquête de la principauté, les personnes que le prince a gratifié de cette dignité, les archiexarques et exarques du royaume, les membres mâles de la famille royale. La composition de l'Échiquier est exclusivement masculine. Ses compétences sont diverses :

Le prince peut trouver cette assemblée trop ombrageuse et décider d’en suspendre les réunions.

Histoire

Jusqu'en 1704, la cité sainte d'Yrusalem et l'ensemble de ce qui forme aujourd'hui la principauté d'Yrusalem et le comté de Carmélide était aux mains des califes de la dynastie Banoupha. Le calife décida cette année-là d'interdire l'accès aux fidèles syistes et zorthodoxes des lieux saints d'Yrusalem. Cela eut pour conséquence immédiate de mettre sur pied une croisade dont le prince Louis IV de Gysenval prit la tête. Le comte d'Avaricum, trop content de se débarrasser d'un vassal si remuant décida de lui prêter les subsides nécessaires. Aussi, après un siège de deux mois, la cité sainte d'Yrusalem tombait aux mains des Avarois le 26 avril 1704. Or, le prince de Guysenval, ruiné par les dettes, dut se résoudre à vendre sa conquête au comte d'Avaricum.

Lorsqu'éclatèrent les révoltes et que le comté parlementaire fut établi, Yrusalem demeura possession personnelle du comte et fut pour ainsi dire oubliée. On notera simplement sous cette période que la ville eut à se défendre contre des incursions du calife Homard IV qui tenta de reprendre sa capitale. Il fut d'ailleurs par la suite contraint de faire face à l'invasion d'une aventurier sidonais, Lord Puisay, qui conquit toute la partie continentale du califat et se proclama comte souverain de Carmélide le 13 janvier 1706.

Entretemps, après la proclamation de l'Empire et la restauration de Louis-Auguste de Fleury sur le trône guysenvalois, l'Empereur d'Avaricum décida d'accorder pour dot la ville d'Yrusalem à ce prince lors de son mariage avec Hildegarde-Hortense de Valois. La maison de Fleury reprenait le contrôle de son ancienne conquête qu'elle proclama royaume. Louis V de Guysenval devenait Louis Ier d'Yrusalem.

Le 12 juillet 1706, le prince Louis-Auguste de Guysenval abdiqua et devint archiexarque primicier d'Alcanthe, chef de l'Église syiste. Il céda donc sa seigneurie d'Yrusalem à son premier fils, Charles d'Yrusalem. Celui-ci devint rapidement prince de Guysenval. Des difficultés intérieures le retinrent, et enfin, en 1707, il était fin prêt à conquérir le reste des terres du calife. La commençait mal : avant que n'arrivent les troupes guysenvaloises, Yrusalem retombait aux mains du calife Homard V. Mais le généralissime des troupes guysenvaloises était un militaire de renom, le prince d'Argentorate qui fit un brillant siège au cours duquel il fut secondé habilement par l'exarque de Castillon-Villeroy qui revêtit une armure à cette occasion. Après un siège mémorable, la ville tombait le 2 mars 1707, le calife, sa famille, ses ministres, tous étaient pris.

Après cet étêtement du gouvernement yrusolymitain, les petits et grands seigneurs, désemparés, se replièrent sur eux-mêmes et leur désunion permit aux troupes guysenvaloises de prendre l'ensemble de la principauté. Le 26 avril 1708, la campagne s'achevait sur un succès complet et la colonisation du royaume par des Avarois débuta. De nombreux généraux audacieux s'étaient distingués, tel Ysgaran Sabrevoix qui conquit Adesse en une journée seulement. 

En 1715, peu après la fin de la Régence et suite aux lourdes conséquences de la Guerre de la Ligue d’Ausembourg, le royaume d'Yrusalem est dévolu au rang de principauté, prenant ainsi la place du Skotinos dans l'organisation de l'Empire.

Culture

Société

La société d'Yrusalem est d'un type particulier en ce sens qu'elle fait cohabiter deux types de société : l'ancienne d'essence halawite, et la nouvelle, conquérante, originaire d'Avaricum et particulièrement de Guysenval.

La première est assurément sur le déclin. Partiellement réduite en esclavage, elle a été très réduite par la guerre, les persécutions, les maladies. Primitive, hérétique, elle continue d'adorer ses faux dieux. Elle a déserté les villes pour se réfugier dans les campagnes fertiles où la présence avaroise est moins forte. Elle est essentiellement composée de paysans qui cultivent la terre dans de grandes propriétés de seigneurs d'origine avaroise. La figure paternelle et l'autorité religieuse déterminent la vie de la famille et de la communauté. Ces populations tentent de résister aux pénétrations syistes. Des révoltes éclatent épisodiquement.

La seconde prospère partout. La société des villes est très brillante, comparable à la société avaroise. Haute aristocratie et principaux dignitaires du clergé syiste dominent une société où la bourgeoisie, qui cherche à s'ennoblir, a du mal à paraître. La cour est particulièrement fastueuse et dispose d'un grand rayonnement au niveau régional. Ce rayonnement est relayé par les sociétés et académies royales. La bourgeoisie de la capitale et des villes est prospère et fort riche. Elle vit principalement du commerce car Yrusalem se situe à un point de rencontre des grandes routes maritimes.

Dans les campagnes, les chevaliers qui ont participé à la conquête ont reçu de grandes exploitations dont ils tirent des revenus confortables. Ils se servent de la main d'œuvre locale. Ils entretiennent, souvent avec des riches investisseurs venus des villes, des manufactures qui produisent un artisanat très réputé.

Arts

L'activité artistique sous la dynastie Banoupha est considérée comme hérétique, primitive. Il s'agit d'art figuratif qui utilise avec un grand raffinement les figures géométriques. Il a beaucoup souffert des destructions, notamment au niveau des lieux de cultes. À présent, la ville d'Yrusalem est une ville neuve qui ne dépareillerait nullement si elle était sise en Nouvelle-Alexandrie. Hôtels particuliers et palais aux façades sulpiciennes, opéras, théâtres, bibliothèques, tout a été reconstruit dans le plus pur style guysenvalois. Le style artistique se confond donc avec celui de la principauté avaroise de Guysenval, si ce n'est que c'est à présent en terre croisée qu'il connaît sa plus excellente perfection.

Religion

Sa capitale, la cité d'Yrusalem, est un lieu saint ancestral où, paradoxalement, ne s'attache foncièrement aucune religion au détriment d'une autre. Le Syisme comme la Zorthodoxie y sont profondément ancrés, de même que l'Hallawisme, hérésie turcose. C'est un lieu d'effervescence spirituelle, où les archives font état de plusieurs miracles, et où les croyants se recueillent. Mais depuis la conquête du royaume par les Guysenvalois, de nombreux fidèles des autres confessions croupissent en prison.

Économie

L'économie yrusolymitaine est essentiellement basée sur le commerce et le négoce maritimes d'une part, et d'autre part sur la production des manufactures. Les navires du royaume se rendent en Nouvelle-Alexandrie, en Ys, à Nautia et jusque dans le lointain Syracus. Des compagnies royales maritimes aident ce commerce et sont des concurrentes redoutables qui paient leurs propres mercenaires pour établir, par la force, des comptoirs sur les côtes de l'Archipel.

L'artisanat ancien, halawite, a considérablement diminué, et il ne fait plus que survivre. La relève a été prise par des manufactures où les employés sont regroupés, et où ils effectuent des travaux selon des normes standards et scrupuleusement définies. 

Empire Méridional

Colonies de Sa Majesté

Selon les termes de la Charte Fondamentale, les Colonies de Sa Majesté sont composées de tous les territoires d'Outre-Mer qui n'appartiennent pas aux seigneuries d'Yrusalem ni de Gallice. Ce sont, par conséquent, les immenses terres du sud de l'Archipel, au large de l'Océan de Mésogée. L'on a coutume d'appeler également ces territoires Empire Méridional, par opposition à l'Empire Métropolitain, qui regroupe la Nouvelle-Alexandrie et les Terres Croisées. L'on divise souvent les colonies en deux entités géographiques distinctes : la Péninsule de Syracus, à l'ouest, et les Hæbrides Nycéennes, à l'est. Il faut enfin ajouter à ce tableau les Comptoirs coloniaux qui jalonnent la route maritime ralliant la Nouvelle-Alexandrie et les Indes Avaroises, autre nom, plus poétique, des terres du sud. Le plus célèbre de ces comptoirs est la fameuse cité portuaire d'Absalon.

Administration

Les Colonies dépendent directement de l'Empereur. Aucune noblesse ne peut y être rattachée, à la différence de toutes les autres terres de l'Empire. Le pouvoir de l'Empereur s'y exerce par le biais de son représentant direct : le Connétable de Syracus. Il s'appuie sur un Chef de Cabinet et le Chef de sa Maison Militaire dans son gouvernement. Le champ de compétence du Connétablat de Syracus est très important. Le peu de contrôle qu'exercent les autorités métropolitaines en raison de l'éloignement lui laisse les mains assez libres. Évidemment, cela ne saurait aller à l'encontre des intérêts de l'Empereur. Les services du Connétable de Syracus siègent au fameux Palais des Trivandérum.

Villes

Il y a treize villes dans les Colonies :

Économie

L'Économie coloniale est essentiellement basée sur la culture. La plupart des colons sont fermiers ou planteurs. Les Colonies sont en effet l'unique fournisseur de la métropole en produits exotiques. L'on peut notamment citer la production de sucre de canne, thé, tabac, fruits, fourrures, ainsi que l'extraction de matières et de pierres précieuses. La force de ces productions vient du fait que la main-d'œuvre locale est bon marché : la traite indigène est en effet omniprésente. Les nombreuses peuplades barbares qui vivent à l'intérieur des terres sont un inépuisable foyer de tâcherons. L'exploration de terres inconnues, ainsi que le commerce intracolonial (et notamment la traite d'esclaves), sont confiés à la Compagnie de Syracus, la compagnie de commerce coloniale impériale, qui détient le monopole sur ce commerce. Après une période assez difficile, la Compagnie a été remise sur pied par le Baron Louis-Nicolas Sabrevoix d'Adesse, son Gouverneur. Elle est aujourd'hui le symbole du dynamisme du commerce avarois et de la réussite de son entreprise coloniale.

Protectorats & autres territoires

Îles de Gallice

La Gallice est un territoire insulaire formé de six îles annexées par Avaricum au moment de la fondation de l'Église Syiste avaroise, hégémonie ensuite confirmée par la signature du Concordat d’Acquae-Victis offrant une large autonomie aux États Pontificaux. Elle est administrée par un Gouverneur Héréditaire, représentant impérial auprès du Saint-Siège. La charge de Gouverneur-Héréditaire a été attribuée à la Maison de Fleury par Sa Sainteté Turmwächter. Elle appartient aujourd'hui à la personne de l'Archiexarque de Fleury. La tradition exige de la céder non pas à l'aîné de la branche, mais au cadet entré dans les ordres.

 

Enclaves

Les enclaves en territoire avarois forment juridiquement des parcelles autonomes. Cependant, leurs statuts sont presque toujours régis par des accords (des traités diplomatiques, par exemple), passés entre l'autorité agissant sur les enclaves et l'État avarois.

Beaucoup plus nombreuses autrefois, il ne subsiste aujourd'hui qu'une seule enclave en Avaricum : la Cité Caristie, rattachée au Saint-Siège par le Concordat d'Acquae-Victis.

Enclaves actuelles

Enclaves passées