L’Académie
Fondée en 1705 par le Comte Philippe III, l’Académie avaroise est l'une des institutions les plus prestigieuses de l’Empire. L’Académie consigne en effet dans les rayons de sa gigantesque bibliothèque les ouvrages les plus rares, dont certains sont par ailleurs défendus par l’Église. Les incunables y sont précieusement conservés, et peuvent y être prêtés le temps de quelques heures à d’émérites intellectuels. Depuis sa fondation, l’Académie siège à Castillon-Villeroy, au Palais du Quadriglietto.
Elle dispose également de cénacles rédacteurs dans le reste de l’Empire dont le plus fameux reste assurément le Boudoir de Cystère, un influent lieu de rencontre des littéraires et philosophes avarois où se déroule la rédaction de l'Encyclopædia Universalis. L’hôtel particulier, propriété de Charles d'Arbeneige, se situe à Villestreux, capitale de la Principauté de Castelmaure, qui resplendit par son inégalable culture et sa transcendance antique dans les arts.
Grands arts académiques
Architecture
Héraldique
Littérature
Musique
Peinture
Sculpture
Théâtre
Organisation
L’Académie distingue, à l’endroit des établissements dont elle assure le patronage, plusieurs niveaux d’organisation :
Les Collèges
Les Collèges sont sous tutelle directe de l’Académie. Ils sont au nombre de trois et forment l’élite de l’Empire :
Le Collège Saint-Sevan (couramment désigné sous l’appellation d’Académie des Lettres)
Le Collège Saint-Landry La Galerie Prométhéenne, à l’Académie
Le Collège de l’Apostat
Les Lycées Impériaux
Les Lycées sont sous l’égide de la Couronne et de l’Académie. Ils sont disséminés dans les grandes villes avaroises et sont destinés aux garçons issus des plus grandes familles, en raison du coût élevé de la scolarité :
Le Lycée Impérial de Castillon-Villeroy
Le Lycée Impérial d'Yrusalem
Le Lycée Impérial de Luzzara
Le Lycée Impérial de Saint-Nicolas-de-Guysenval
Le Lycée Impérial de Villestreux
Le Lycée Impérial de Syracus
Les Congrégations Religieuses
Les Congrégations religieuses syistes, quoique fortement attachées à la Primature, n’échappent pas au pouvoir modérateur de l’Académie. Dans les faits, celle-ci ne s'est toutefois que rarement ingérée dans leur fonctionnement.