Date de publication : Dec 19, 2010 10:1:45 AM
ut lire : « Notre époque n’est point malade ; elle est fatiguée, elle est
écœurée surtout. Étant fatigué et écœuré, l’homme aspire au néant ».
Cette école fonde un journal, le Décadent littéraire et artistique, qui se reconnaît trois hommes pour maîtres, MM. Barbey d’Aurevilly, Verlaine et du Plessys. Les débuts de cette école semblent assez lents et pénibles, mais, « Heureusement, nous avions soin de purifier notre esprit dans l’eau lustrale des bocks ou des verres d’absinthe, douce consolation qui nous dédommageait amplement ».
À contre courant des références très en vogue à la fin du XIXe siècle, du progrès scientifique, les fins de civilisations (Rome, Byzance, Babylone) et la notion même de décadence motive une partie de la génération montante… Article disponible dans : Futurs improbables).
[1] L. Vanier éd.
[2] http://www.bmlisieux.com/curiosa/jtellier.htm