Le sacrement des malades

Les maux du corps, de l’âme et de l’esprit sont nombreux. 

La purification que Dieu offre par le sacrement des malades a pour but 

de libérer du mal et des liens mauvais. 

Il permet d'établir la présence de Dieu (salut) et de donner parfois la guérison du corps.

Sacrement des malades février 2024


AUTUN : Il sera donné lors de la messe de 9h30 à St Jean le 11 février. Pour recevoir ce sacrement, prière de s’inscrire au secrétariat. Un prêtre vous appellera pour une préparation le vendredi 9 février.


LA DREE : Il sera donné le 18 février au cours de la messe, mais aussi l’après-midi à domicile. S’inscrire avant le 13 février au 06 26 09 95 45 (V. Davienne) et passer à la maison paroissiale d’Épinac le mercredi 14 février entre 15 et 17h, pour se préparer.

L'onction rappelle la tendresse de Jésus-Christ envers les personnes malades.

"L’un de vous se porte mal ? Qu’il prie. Un autre va bien ? Qu’il chante le Seigneur. L’un de vous est malade ? Qu’il appelle les Anciens en fonction dans l’Église : ils prieront sur lui après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. Cette prière inspirée par la foi sauvera le malade : le Seigneur le relèvera et, s’il a commis des péchés, il recevra le pardon. Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres afin d’être guéris..." (Jc 5,13-16).

Cette mention de la maladie et de la guérison, dans la lettre de Jacques, atteste d’une expérience déjà traditionnelle dans la toute première Église. A la suite du Christ et de Saint Paul, la guérison comme signe du Royaume est une invitation à davantage de foi. La guérison n’est pas une fin en soi, mais elle dit la tendresse de Dieu pour qui le suit et se convertit.

Dans les versets précédents, nous avons 3 étapes différentes. Le mal est à surmonter par la prière (1), l’onction d’huile prolonge la prière de l'Église et rend efficace le Salut (2), la confession des péchés et l’intercession de l’Église peut obtenir la guérison (3).

L’oppression peut conduire au découragement et à l’esprit de suicide. Une maladie qui mène à la mort ou une maladie pénible et longue peuvent nous désespérer. Un esprit de mort lié à une histoire difficile (blessures, liens ésotériques, etc...) peut faire aussi bien des dégâts. Quel que soit notre âge ou notre condition, le mal porte en lui une désespérance ; la foi porte en elle la vie et l’espérance. Ce sacrement n’est donc pas une préparation à la mort, mais une victoire de la foi sur l’adversité. Il est donc utile aux mourants comme aux vivants.

Pour demander le sacrement des malades, contactez le secrétariat au 

06 36 16 39 89 : un prêtre vous recontactera pour la préparation.

Témoignage 


"En 2006, j’ai reçu pour la première fois le sacrement des malades suite au diagnostic d’une première maladie qui rendait difficile voire impossible une grossesse. J’étais alors persuadée que ce sacrement était réservé aux personnes en fin de vie et ai découvert au travers d’une retraite à la Flatière que ce n’était pas le cas. Le jour où je l’ai reçu, j’ai ressenti une chaleur profonde m’envahir, une vraie plénitude sans prendre réellement la mesure de ce qui se passait. Un an et demi après, nous avons eu l’immense joie d’accueillir notre fils : une véritable grâce.

Les années passent et s’en suivent le diagnostic d’autres pathologies. J’ai reçu à nouveau ce magnifique sacrement et à chaque fois de nouvelles forces m’ont été données. Ce n’est pour moi pas uniquement la guérison physique, mais une force spirituelle, morale, un soutien sans faille qui me porte, moi ainsi que ma famille, dans ces épreuves de la maladie.

Je l’ai à nouveau reçu il y a quelques semaines et depuis, mon état physique s’est dégradé, et pourtant je me sens pleinement vivante, pleine de vie intérieure car je ne suis pas seule : IL EST AVEC MOI, il me porte chaque jour et me permet de supporter physiquement et moralement toutes ces douleurs. N'AYONS PAS PEUR."

Une paroissienne