“Une seule chair” est un documentaire exceptionnel de Sabrine et Steven J. Gunnel qui s’adresse aux jeunes et moins jeunes et qui montre, par le témoignage de plusieurs couples, que l’Amour est possible malgré les difficultés et les possibles chutes !"

Dans notre société, on arrive à dire que l’Amour pour toujours est idiot. Et bien non ! C’est possible, car avant de croire à l’Amour, c’est l’Amour qui croit en moi. Et l’Amour, c’est Quelqu’un : Jésus qui a aimé jusqu’à mourir sur la Croix pour nous sauver. Ce film est plein d’espérance et nous encourage à aimer le Sacrement du mariage. Chaque couple peut vivre des moments très difficiles, mais la question à poser : est-ce-que je veux me donner à il/elle pour toujours ? Est-ce-que je veux le/la recevoir ?... Malgré le fait que notre société se soit acharnée pour déconstruire et banaliser la beauté de l’amour du couple, le don reçu par le Pape Jean-Paul II par la Théologie du corps est un repère formidable la signification de l’amour dans la création. Dieu nous a crée pour le don désintéressé de soi-même à l’autre. C’est un vrai chemin de sanctification : ‘Je crois à l’Amour pour me réaliser, pour me donner sans retour’.

Voici une phrase très belle de Jean Paul II dans sa Theologie du Corps : « L’époux et l’épouse dans le don, le plus intime d’eux-mêmes, sont icône de la communion divine qui existe dans le cœur même de la Trinité ».

Venez voir, vous n’allez pas vous repentir car le film est vrai, puissant et renversant qui ne laissera personne indifférent !

Les travaux d'aménagement du trésor de la Cathédrale, entrepris depuis deux ans, seront bientôt terminés. Ils ont fait l'objet d'un accord entre l'Evêché et la direction régionale des affaires culturelles. Les lieux restaurés concernent l'ensemble du bâtiment adjoint vers 1520 au bras ouest du transept , côté orgues.

Cette peinture à l’intérieur de la cathédrale d'Autun près de l'Orgue représente Saint-Symphorien, jeune martyr chrétien né à Autun environ en 159 et mort en 179. Il est fêté le 22 août ! 

A l’époque, notre ville pratique encore le culte des dieux gaulois, il aurait alors troublé une procession en l'honneur d'une déesse. Aussitôt arrêté, il est conduit auprès du gouverneur de la province. Interrogé sur son comportement, Symphorien répond qu’en tant que chrétien, il n’adore que le vrai Dieu. 

Comme on le conduit hors de la ville au supplice, sa mère du haut des remparts l’exhorte à rester fidèle jusqu’au bout : « Mon fils, mon cher Symphorien, souvenez-vous du Dieu vivant et soyez courageux jusqu’à la fin : élevez votre cœur vers le Ciel et considérez Celui qui y règne. Ne craignez pas la mort, elle vous conduira à la vie éternelle. »