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#1

• Continuer à créer des bases solides pour les écomusées basées sur une recherche valide qui connecte les besoins et opportunités culturelles au sein des communautés / régions à des stratégies spécifiques d'ecomusée, ciblées sur l'engagement public et des résultats culturels quantifiables (à différents niveaux - impact sur les individus, groupes, communautés, organisations locales, systèmes environnementaux, résilience et plus).

• Cela signifie recherche, débat et poursuite d'un programme éducatif, création de zones linguistiques et forums périodiques comme Milan.

• Il est crucial de créer une plateforme de renforcement des capacités pour les professionnels et les directeurs d'écomusée, ainsi que pour les communautés impliquées dans les projets d'écomusée. Dans le même temps, l'idée de proposer un projet dans plusieurs zones géographiques devrait être suivie d'un vérification régulière des activités ou, au moins, d'une comparaison des résultats des projets éducatifs.

#2

• Promouvoir de nouvelles écomusées, basées sur des méthodes valables d'implication communautaire, de conception / conception communautaire, de stratégies visant à accroître la valeur culturelle (culture au sens large de la façon dont les gens vivent leur vie), les mesures et leurs cycles de réponse.

• Cela signifie une approche collaborative qui offre à tous les projets d'ecomusée l'aide de collègues du même pays ou d'un autre pays, une sorte de «mentorat».

• Ce concept est lié à la première observation, en ce sens que le mentorat pourrait découler de projets éducatifs, qui pourraient être développés en collaboration avec des écomusées de la même région, nation et zone géographique. L'idée elle-même est intéressante, mais une étude approfondie est indispensable.

#3

• Soutenir les musées existants pour intégrer l'approche holistique des écomusées - par conséquent, en attirant l'attention des musées traditionnels sur des adaptations qui aideront à rééquiper et à redéfinir les musées conventionnels avec l'évolution des besoins culturels des communautés au sein de notre monde urbain de plus en plus pluraliste et mondialisé.

• Cela rendrait les ecomusées et les musées communautaires un outil utile, car ils sont des fournisseurs d'expérience et de méthodologie pour tous les types d'institutions sur le patrimoine culturel (musées, monuments, sites, parcs naturels, associations locales); qui fonctionnerait comme un lien structurel avec l'ICOM, l'ICOMOS, l'UNESCO.

• Il convient de promouvoir l'idée que les écomusées peuvent fournir de l'expérience et de la méthodologie aux institutions officielles, éventuellement avec la création, une fois établieé la plateforme DROPS, d'une publication sous l'égide de l'ICOM ou de l'UNESCO, dans le but d'offrir des conseils et de partager des expériences réussies en écomusées.

Peut-être existe-t-il d'autres façons d'imaginer l'éventail des activités nécessaires pour créer des changements dans le monde des musées; un changement qui entraînera des transformations culturelles positives au sein des communautés et des systèmes humains.

#4

• La Plateforme Drops deviendrait un outil de communication fonctionnelle pour trois autres objectifs.La Plateforme Drops, en tant qu'outil fonctionnel pour la communication, est un «coffret» dans lequel plusieurs sujets peuvent déposer des «trésors» de connaissances.