15 erreurs se sont glissées dans l’extrait.
Saurez-vous les retrouver et les corriger ?
Robinson sentait la vie est la joie qui entrer en lui et le regonflait. Vendredi lui avait enseigné la vie sauvage puis il était partie. Mais Robinson n’été pas seul. Il avait maintenant se petit frère don les cheveus, aussi rouge que les siens, commencaient à flanboyer au soleil. Ils inventeraient de nouveau jeux, de nouvelles aventures, de nouvelle victoires. Une vie toute neuve aller commencer, aussi belle que l’île qui s’éveillait dans la brume à leur pieds.
Corrigé:
Robinson sentait la vie et la joie qui entraient en lui et le regonflaient. Vendredi lui avait enseigné la vie sauvage puis il était parti. Mais Robinson n’était pas seul. Il avait maintenant ce petit frère dont les cheveux, aussi rouges que les siens, commençaient à flamboyer au soleil. Ils inventeraient de nouveaux jeux, de nouvelles aventures, de nouvelles victoires. Une vie toute neuve allait commencer, aussi belle que l’île qui s’éveillait dans la brume à leurs pieds.
Recopiez ce texte en conjuguant au présent les verbes en gras.
En ouvrant les yeux, Robinson vit d’abord un visage penché sur lui. Vendredi lui soutenait la tête de la main gauche et essayait de lui faire boire de l’eau fraîche dans le creux de sa main droite. Mais Robinson serrait les dents, et l’eau coulait autour de sa bouche, dans sa barbe et sur sa poitrine. L’Indien sourit et se releva en le voyant remuer. Aussitôt une partie de sa chemise et la jambe gauche de son pantalon, déchirés et noircis, tombèrent sur le sol.