SUD / Orange DT & SI
SUD, un outil de lutte et de défense des salariés d'Orange.
Une force pour la transformation sociale, un engagement interprofessionnel solidaire
SUD, un outil de lutte et de défense des salariés d'Orange.
Une force pour la transformation sociale, un engagement interprofessionnel solidaire
A la une :
Elections au conseil d'administration
du 18 au 20 novembre
Le CA (Conseil d’Administration), c’est l’instance où sont réunis les dirigeants du Groupe multinationale, les « administrateurs », les représentants des propriétaires actionnaires (dont l’Etat) et des élu.es du personnel. Supposément, rien n’y est caché, tout doit y être dit. Voter SUD, c’est l’assurance que tout sera su, que la vérité des conditions de travail, du démantèlement de nos entreprises et par conséquent du service public et des écarts de richesse seront dénoncés !
Voter SUD, c’est s’approprier un outil au service du collectif !
Lire notre tract ci dessous
Le prix du profit : un sous-traitant meurt chez ORANGE
La fédération SUD PTT a appris avec tristesse le décès d’un sous-traitant chez Orange. Nous présentons à sa famille et à ses proches nos sincères condoléances.
Nous déplorons ce 3ième décès de sous-traitant lié à une intervention sur poteau sur le périmètre de la Direction Orange Grand Sud Est.
Que devient le devoir de vigilance chez Orange ?
Orange, donneur d’ordre, en imposant des baisses de coûts, porte la responsabilité de la mise en danger des salarié.es des entreprises sous-traitantes. La sécurité ne doit pas être une variable d’ajustement.
La cupidité d’Orange et de ses actionnaires tue les travailleurs.
Orange contribue au triste record d’Europe, détenu par la France, sur le nombre de morts au travail.
Grève et Blocage du 10 Septembre, SUD PTT s'engage pour une rentrée sociale militante
Externaliser la DSI n’est pas moderniser : c’est démanteler.
CSSCT annulée : la santé au travail sacrifiée !
Le bilan social 2024
Un pas de plus vers la casse sociale et la perte de souveraineté
Accéder a la newsletter ICI
Notre tract sur l’actualité de la Direction Technique et de la Direction des Systèmes d’Information !
Nous y décryptons les transformations en cours, leurs enjeux pour l’avenir de l’entreprise et leur impact sur notre quotidien de travail.
Lire le tract ICI
Au printemps, SUD dénonçait déjà l’accord NAO, conclu entre les deux Organisations Syndicales majoritaires et les dirigeants d’Orange, qui impose toujours plus d’austérité aux salarié·es, qui doivent se contenter de seulement 60 millions d’€ tandis que ruissellent, chaque année, 2 milliards d’€ de dividendes sur ses actionnaires.
Orange a présenté en instance centrale son « projet d’intention » de nouvelle réorganisation de grande ampleur, autrement désignée « Regain ». Les décideurs usent des mêmes subterfuges que l’état en présentant les réformes en été…
Les délégations syndicales y sont donc allées de leurs longues listes de questions tant le dossier restait imprécis, mais la direction n’a pas fait preuve d’une grande sincérité en retour, à part annoncer démarrer dès le mois de juillet une communication vers les salariées, commencer la conduite du changement en menant "des entretiens salariés/managers », en anticipation des séances institutionnelles d'information/consultation en CSE Central qui débuteront dès septembre.
Au printemps, SUD dénonçait déjà l’accord NAO, conclu entre les deux Organisations Syndicales majoritaires et les dirigeants d’Orange, qui impose toujours plus d’austérité aux salarié·es, qui doivent se contenter de seulement 60 millions d’€ tandis que ruissellent, chaque année, 2 milliards d’€ de dividendes sur ses actionnaires.
La direction d’Orange a prévu de présenter aux Organisations Syndicales (OS) les grandes lignes d’un nouveau projet de réorganisation baptisé « Regain ». Officiellement, il s’agit de « simplifier les modes de fonctionnement » et de renforcer la compétitivité. En réalité, c’est surtout une nouvelle vague de réorganisation qui va s’abattre sur des équipes déjà fragilisées par des années de restructurations successives. Lire notre tract ICI
Direction du Système d'Information, modernisation ou liquidation sociale ?
Genre et santé au travail : Orange doit ouvrir les yeux
Orange liquide sa filiale Océan
Arrêt maladie pour les fonctionnaires d'Orange
Le 5 juin : toutes et tous en grève !
ASC DTSI, pourquoi tant de haine ?
Orange Afrique et Moyen-Orient, un développement sous tutelle
Inapte, donc invisible ?
Amundi, nos placements ne doivent pas financer l’inacceptable !
Les résultats du dernier sondage CNPS sont alarmants. La baisse constante et rapide des effectifs combinée à la complexification des taches nous confrontent à une intensification du travail qui peut vite engendrer des risques pour notre santé.
A chaque dégradation des conditions de travail, les salariées femmes payent un plus lourd tribut pour leur santé que les salariés hommes.
Lire notre tract ICI
En 2024, Amundi, gestionnaire de l’épargne salariale chez Orange a investi 2,84 millions d’euros dans Elbit Systems, un géant israélien de l’armement. Cette entreprise fournit des drones, des munitions, des systèmes de surveillance massivement utilisés par l’armée israélienne à Gaza. Des armes qui ont contribué à des bombardements meurtriers sur des populations civiles, dénoncés par de nombreuses ONG comme des violations du droit international.
Que cela signifie concrètement ? Que l’épargne des salariés d’Orange, issue de notre intéressement et de notre participation, peut aujourd’hui financer des outils de guerre. Que nous sommes pris en otage dans des investissements qui contredisent nos valeurs les plus fondamentales : respect de la vie humaine, paix, justice.
Orange ne peut pas ignorer cette réalité. En continuant à faire appel à Amundi sans conditions éthiques strictes, l’entreprise couvre des placements toxiques. Et met chaque salarié dans une situation intenable : comment accepter que l’argent de notre travail serve à alimenter des conflits ?
La fédération SUD PTT dépose un préavis de grève pour la journée du 13 mai prochain (de 0 h à 24 h). Ce préavis couvre l’ensemble des personnels, fonctionnaires et contractuel-les, du groupe La Poste ainsi que les agents appelés à les remplacer.
Lire le préavis Poste ICI
Lire le préavis Orange DTSI ICI
Le marché télécoms français est saturé, peu rentable, régulé. Alors Orange regarde ailleurs, et notamment vers l’Afrique et le Moyen-Orient, vue comme un nouvel eldorado, un gisement de profits à exploiter. Le satellite devient l’outil idéal pour connecter, tracer, vendre sans avoir à investir massivement dans des infrastructures locales ou des compétences durables.
En mars 2025, Orange Afrique et Moyen-Orient (OMEA) annonçait un partenariat pluriannuel avec Eutelsat, pour « réduire la fracture numérique » dans les zones isolées. Derrière les discours vertueux, il faut bien voir ce qu’est cette opération : une ouverture de marché pour Orange, à grande échelle.
Le 4 mai 2025, on apprend la nomination de Jean-François Fallacher, ex-directeur général d’Orange France, au poste de Directeur Général d’Eutelsat. Une annonce qui tombe juste après la signature du partenariat. Une coïncidence ? Il est permis d’en douter.
Avec Fallacher à la tête d’Eutelsat, Orange aura un ex dirigeant à la manœuvre. Un dirigeant qui connaît les rouages de la maison, les objectifs commerciaux, et qui pourra aligner les intérêts d’Eutelsat sur ceux d’Orange. Une manière discrète mais efficace de verrouiller une stratégie industrielle au profit d’un seul acteur, sur un marché en pleine expansion.
Ce qui se joue ici, c’est un néocolonialisme 2.0, où les grandes entreprises européennes imposent leurs solutions, leurs dirigeants et leurs réseaux, sans jamais véritablement intégrer les populations locales dans la réflexion ou la gouvernance. On leur vend du « développement numérique », mais sans droits sociaux, sans infrastructures durables, sans réelle souveraineté technologique.
Les riches sont de plus en plus riches tandis que nos salaires sont gelés. Alors que les entreprises du CAC 40 ont réalisé plus de 130 milliards d’euros de bénéfices en 2024, le gouvernment continue de vouloir faire les poches des travailleurs et travailleuses tout en coupant dans les budgets des services publics. Au prétexte des annonces et mesures délétères de Trump, il veut nous infliger la sanction supplémentaire d’un “effort de guerre” mené au détriment de nos acquis sociaux qui viendrait encore aggraver les politiques actuelles. Secteur social, éducation, hôpital, culture, petites lignes SNCF… les exemples de coupes budgétaires dans nos services publics ne manquent pas et cela concerne l’ensemble de la population qui en est usagère.
Le 1er mai doit marquer une première étape pour reprendre l’offensive toutes et tous ensemble :
pour l’augmentation des salaires et des pensions
pour le retrait de la réforme des retraites : 64 ans c’est toujours non !
pour un autre budget, qui prenne en compte les impératifs sociaux et écologiques
Alors que l’extrême droite est à l’offensive en France comme en Argentine, en Italie, en Hon-grie, en Israël ou aux États-Unis, le 1er mai doit également être l’occasion d’un grand moment de riposte antifasciste et populaire.
Profitons-en pour marquer notre solidarité avec les peuples victimes des guerres, en Palestine, en Ukraine et partout ailleurs. Tandis que les marchands de morts se frottent les mains, les populations souffrent. Il est hors de question d’accepter le sacrifice de nos droits sociaux au profit d’une “économie de guerre” qui enrichira toujours plus les plus riches.
Toutes et tous dans les manifestations du 1er mai
Sommaire :
Discipline : des sanctions en hausse, des effectifs en baisse… cherchez l’erreur !
Des mots creux, des applaudissements honteux
Les expertises se répètent, les drames aussi
Tolosa, un projet immobilier et des salariés malmenés
Couloirs, cafétérias, stress : bienvenue dans le flex office !
Nouvel accord handicap : de belles promesses…
Lire la news d'avril ICI
Sommaire :
Déclaration préalable SUD au CSEC de Mars en présence de Christel Heydemann
Le Rapport du Comité National de Prévention du Stress : Encore une Illusion de Prise en Charge du Mal-Être au Travail ?
ASC, suppression du bonus location et spectacle vivant
Orange Roumanie victime d’une cyberattaque : SUD alerte sur les risques de l’externalisation
NAO : une farce orchestrée par la direction et ses alliés.
GARDENS FUTURE : Une réorganisation déconnectée des réalités !
Congé hormonal : une consultation qui met en lumière un besoin d’adaptation
Lire la news de mars ICI
Le procès historique de France Télécom-Orange a reconnu la responsabilité de plusieurs dirigeants dans le harcèlement moral institutionnel ayant conduit à des drames humains. Parmi eux, Nathalie Boulanger et Brigitte Dumont ont été condamnées. Pourtant, elles occupent toujours des postes de direction au sein du groupe, comme si de rien n’était !
Comment Orange peut-elle laisser ces dirigeantes continuer à exercer des responsabilités alors qu’elles ont été jugées coupables d’une politique de gestion toxique ? Cette situation est inacceptable. Lire notre tract ICI
Créé à l'initiative de SUD après la crise sociale de 2008 et rejoint par les autres syndicats, le Comité National de Prévention du Stress (CNPS) vient de rendre ses dernières conclusions.
Cette enquête constitue un véritable baromètre de la situation sociale au sein d'Orange. Elle doit servir d’outil d’analyse pour identifier les points critiques, mettre en lumière les problématiques rencontrées par les salariés et engager des actions d’amélioration concrètes. lire notre tract ICI
Début 2024, le bureau du CSE (secrétaire et trésorier CFDT) a décidé d'augmenter le pack liberté de 100€ pour les QF de 5 à 10, de manière à récupérer leur cœur de cible pour les prochaines élections.
Lire notre tract ICI
La consultation lancée par SUD sur l’impact de la vie hormonale sur la vie professionnelle au sein d’Orange est toujours en cours, et nous avons déjà reçu de nombreuses réponses. Loin d’être anecdotique, cette enquête révèle des besoins d’adaptation concrets ainsi que plusieurs freins qui pèsent sur la carrière et les conditions de travail des salariés concernés.
Pour rappel, le congé hormonal est une revendication portée par SUD visant à reconnaître les effets des variations hormonales (règles douloureuses, ménopause, parcours PMA, traitements hormonaux, etc.) sur la santé et la capacité à travailler. Il s’agit de permettre aux salariés d’accéder à un aménagement du temps de travail ou à des absences adaptées, sans pénalisation ni stigmatisation.
Nous poursuivons cette consultation sur l’ensemble des périmètres d’Orange afin d’appuyer nos revendications et d’exiger des mesures concrètes pour améliorer le bien-être au travail. Si vous ne l’avez pas encore fait, prenez quelques minutes pour nous faire part de votre témoignage !
Le sondage ICI
Les premiers retours confirment ce que nous dénonçons depuis longtemps : l’absence de reconnaissance de l’impact de la vie hormonale pousse de nombreuses personnes à s’adapter seules, sans soutien de l’employeur.
De nombreuses personnes doivent déjà s’organiser par elles-mêmes : certaines prennent des congés (JTL, RTT, congés payés), limitent leurs déplacements ou allègent leur charge de travail lorsque leur état le nécessite.
Le besoin d’adaptation est bien réel : selon les témoignages recueillis, plusieurs jours par an sont nécessaires pour mieux gérer ces périodes spécifiques.
Certains n’osent pas s’aménager du temps par crainte de la réaction de la hiérarchie, du jugement des collègues ou du risque de pénalisation professionnelle.
Des carrières impactées : certains salariés ont hésité à répondre à des opportunités professionnelles ou ont réduit leur temps de travail en raison de leur réalité hormonale ou procréative.
Après avoir obtenu la signature des 3 OS représentatives de l’accord GEPP 2025-2027, incluant un nouveau dispositif TPS de 1,5 milliard d'euros pour parvenir à réduire les effectifs de l'entreprise à 40 000 en 4 ans, le DRH du groupe, passé maître dans l'art du chantage, s’est assuré d'obtenir la signature de l'accord NAO 2025.
Pour cela il aura suffi d’octroyer un budget global, toujours moins disant, de 2,2 % de la masse salariale.
Lire notre tract ICI
L’égalité professionnelle s’inscrit dans un projet de société et nécessite une volonté à la fois politique et budgétaire. Les législations successives et la mise en place de l’index égalité pour tenter de corriger les écarts ne suffisent pas.
Ce constat que nous posons, année après année est largement admis et pourtant il n’y a aucune réelle volonté du patronat et des gouvernements successifs pour appliquer et faire appliquer la Loi et aboutir à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Toute l 'actu, les RDV des mobilisations sur : https://www.grevefeministe.fr/
Chaque année, le 8 mars est un combat universel, une journée de sensibilisation et de mobilisation pour dénoncer et lutter contre les discriminations, les inégalités et les violences patriarcales vécues par les femmes. Acceder a la page ICI
Faisons la grève au travail, dans nos foyers (des tâches ménagères, des courses, de la consommation…), sur nos lieux d'étude ! Interrompons toute activité productive et reproductive, formelle et informelle, rétribuée et gratuite.
Lire le tract ICI
Les politiques de l’égalité professionnelle sont efficaces quand elles intègrent la santé des femmes au travail. A l’exemple de la proposition de loi d’un congé de cycle hormonal qui permettrait de prendre en compte les multiples étapes que peuvent connaître les femmes au cours de leur vie : les règles, le syndrome prémenstruel, la ménopause, les traitements hormonaux (transition de genre, contraception, ménopause, FIV…) etc. Cette proposition de loi a été rejetée par le Sénat, en février dernier. Le texte prévoyait un congé menstruel indemnisé par la Sécurité Sociale pour les femmes souffrant de dysménorrhées (règles douloureuses, menstruations incapacitantes) de deux jours par mois, chaque mois, valable un an. Et même si ce projet de loi n’était pas la panacée, il avait le mérite de mettre en lumière la douleur millénaire endurée par nombre de femmes. Le temps de l’obscurantisme et de l’indifférence est compté. Lire notre tract ICI
Après des mois de "négociation" à huit-clos, l'accord de Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels (GEPP) signé entre la direction et les partenaires sociaux (CFDT F3C, CFE CGC Orange et CGT Fapt), s'ajoute à toute la casse sociale organisée par la classe dirigeante de ce pays (300 PSE annoncés, près de 300 000 emplois menacés ou détruits)
Lire notre tract ICI
La newsletter février 2025
TPS 2025, la porte est ouverte
NAO : pour les actionnaires Mépris et aumônes pour les salariés, milliard pour les actionnaires !
Orange n'est plus la !
Intéressement et participation : une hausse en trompe-l’œil
Journée internationale des droits des femmes Nous voulons enfin des actes ! Samedi 8 mars, pas d'excuse pour ne pas manifester
Après pas moins de 24 386 emplois supprimés en 3 ans, chez Orange SA,maison-mère, la saignée dans ses effectifs se poursuit. Après des mois de négociations à huis clos, l'accord GEPP, signé, le 10 février dernier, entre la direction et les trois syndicats représentatifs (CFDT F3C, CFE CGC Orange et CGT Fapt), n'est autre qu'un permis de destruction massive d'emplois, un plan social boursier, pour combler l’appétit de parasites, tels que BlackRock et autres fonds de pension américains. Les trois quarts des emplois ne seront pas remplacés.
Le projet très contesté de transformation V360 de 2023, impulsé par Axelle Camus (directrice sortante de V360) qui supposait harmoniser les activités sur l’ensemble des supervisions, de manière à pallier les départs en TPS et réduire les brigades (faire plus avec moins) est enfin remis en question.
Lire notre tract ICI
La Cour de cassation a rendu, mardi 21 janvier, une décision historique en rejetant les pourvois de Didier Lombard, ancien PDG de France Télécom, et de Louis-Pierre Wenès, son bras droit à l’époque. Cette décision marque l’épilogue d’une affaire emblématique de la souffrance au travail. Ce rejet confirme les peines prononcées en appel : un an de prison, dont huit mois avec sursis, et une amende de 15 000 euros pour harcèlement moral institutionnel. Ces sanctions, bien qu’insuffisantes face à l’ampleur du drame humain, ont une portée symbolique forte
Iels n'ont eu de cesse de nier leur responsabilité dans l'organisation délétère du travail qu'ils imposaient à leurs subordonné.es. Leur défense lors de l'audience en cassation le 13 novembre 2024 était pathétique : "On ne savait pas que c'était interdit parce que le harcèlement moral, c'est entre des gens, et qu’on ne connaissait pas les victimes " ou encore "C'est pas nous, c'est l'ex-DRH"... La Cour n'a pas été dupe, et a enfoncé le clou dans son arrêt estimant que le caractère délinquant d'une telle politique était évidemment prévisible.
La situation
Le GSR IP est une équipe de supervision du réseau IP qui fonctionne en 24/7. Il fonctionnait par brigades de 3, il est passé en 2023-2024 en brigades de 2. Dans le même temps il y a eu, à Vision 360, une réorganisation des supervisions qui a rajouté au GSR IP une activité de supervision en Trans.
Comment aller en formation et acquérir des compétences en pratiquant sur une nouvelle activité quand on est déjà en effectif limite sur sa propre activité ? L'équipe est de plus inquiète sur son devenir. Les salariés ont alerté leur direction. Et rien n'est venu. Ils ont alerté plus fort avec une pétition, la direction de V360 est venue sur le site mais est restée dans le déni des problèmes. Cela a même engendré une alerte pour danger grave et imminent car des salariés de cette équipe ont très mal vécu cette réunion avec leur direction.
Grève et revendications
Les salariés du GSR IP ont décidé ensemble de faire grève, dans la durée. Ils se sont réunis avec les syndicats CGT et SUD qui les soutiennent.
Leurs principales revendications sont :
- la mise en place d'une 3° brigade
- des garanties sur le maintien de leur activité en 24/7
La grève est suivie à 100 % sur la quasi-totalité des nuits et des samedis.
La direction a attendu le 8 janvier pour entamer des négociations qui se sont poursuivies le 13. Si certains points ont avancé, nous sommes loin d'arriver à un accord sur la charge de travail (besoin d'une 3° brigade). Et la direction est loin d'avoir convaincu les salariés sur la pérennité de leur activité (elle ne s'est engagée que sur 2025).
Les salariés du GSR IP ont donc décidé de continuer leur grève.
Pourquoi nous sommes toutes et tous concernés
Les inquiétudes sur la pérennité de l'activité du GSR IP sont réelles. Qui pourrait croire que si cette activité s'en va il n'y aurait pas de conséquence sur les activités du site ?
Car en fond se pose la question de la centralisation de l'activité pour faire des gains de productivité. Et une fois qu'une activité est centralisée, elle a des risques de partir ailleurs (GNOC ou filiale).
Les salariés du GSR IP sont en grève depuis un mois. Il faut d'une part les soutenir, leur montrer notre solidarité. Ensuite, par leur mouvement exemplaire, ils nous montrent la voie à suivre pour défendre toutes nos activités, l'emploi, les conditions de travail.
2025 : PAS DE VŒUX, MAIS DES EXIGENCES !
Plus d’un mois de grève pour défendre et améliorer les conditions de travail au GSR IP
La condamnation des bourreaux en col blanc confirmée
Alerte dans le service PFS/TV et Divertissement
Restructuration RH/Prévention : derrière la novlangue, une dégradation des conditions de travail annoncée.
Vers une dépendance aux GAFAM
Comité National de Prévention du Stress
Au lendemain du cyclone Chido qui a dévasté Mayotte, les habitant·es de Mayotte ont plus que besoin de notre soutien. Il n'est pour l'heure pas question de reconstruire, mais bien de survivre.
Plus d'eau, plus rien à manger, plus d'électricité, plus de toit, plus rien !
L'aide doit s'organiser le plus rapidement possible. Même les réserves en eau et en vivres se sont envolées.
Le bilan en pertes humaines sera certainement très important et il rappelle malheureusement à quel point la situation économique et sociale de Mayotte n'a pas grand-chose à voir avec l'hexagone.
Mayotte subit déjà les affres de la sécheresse, des restrictions d'eau depuis des années, mais aussi d'un écart de prix avec l'hexagone qui ne cesse de croître sur le panier alimentaire moyen en France (+ 54 %, source INSEE) et toutes les infrastructures (médicale, scolaire etc..) sont structurellement déficientes. L’État a préféré une politique répressive anti-migratoire plutôt qu’investir dans ce département.
Nous avons interpellé les entreprises et administrations de nos champs syndicaux pour qu'elles s'engagent et prennent les mesures immédiates qui s'imposent pour nos collègues sur place.
Mais notre union, nos syndicats et nos fédérations ne veulent pas en rester là face à la catastrophe pour la population toute entière.
L’Union Syndicale Solidaires, SUD PTT, Solidaires Douanes, SNJ, Sud Santé Sociaux, Sud Éducation et l'UNIRS lancent un appel à soutien financier qui sera transmis aux syndicats et associations sur place.
https://www.helloasso.com/associations/sud-ptt/formulaires/4
Vous l’avez sans doute déjà remarqué : les discours patronaux regorgent de mots et d’expressions qui, sous des dehors positifs, dissimulent des réalités bien moins reluisantes. Flexibilité, agilité, performance… Autant de termes qui, loin de favoriser le bien-être au travail, servent à justifier des mesures de plus en plus précarisantes pour les salariés.
Nous avons consacré un espace spécial sur notre site web pour analyser cette « novlangue patronale » et en décoder les intentions réelles. Vous y trouverez des articles, et des liens vers des ressources pour mieux comprendre les enjeux qui se cachent derrière ces mots.
Urgences sociales : mobilisations, grèves, rassemblements, manifestations le 12 décembre
Des moyens affichés, mais une prévention bafouée !
Bilan CSSCT DORs :
Une instance affaiblie, des enjeux minimisés
Amiante : un risque toujours ignoré
Enquête CNPS : Faites entendre votre voix
Congés de cycle hormonal
Lors d’une réunion avec les syndicats dans le cadre des négociations triennales sur la gestion des emplois et des parcours professionnels (GEPP), Orange a annoncé un revirement majeur. Le groupe a finalement décidé d’ouvrir la voie à un nouveau dispositif de Temps Partiel Senior (TPS).
Vincent Lecerf, directeur des ressources humaines d’Orange, justifie cette décision en affirmant que le nouveau plan répond à « une demande forte du corps social ». Cependant, il omet de mentionner que ce dispositif constitue également un levier stratégique pour réduire les effectifs, permettant à l’entreprise de diminuer ses coûts opérationnels. Et l’état actionnaire a donné son aval pour ce nouveau TPS estimé à 1,5Milliards d’€.
Le recours à un plan de départ volontaire (PDV) est politiquement délicat et pourrait susciter une controverse politique.
Faire : Il y a un peu plus d’une décennie, la direction d'Orange avait fait le choix stratégique de regrouper la Direction Technique et le Système d'Information. L’objectif déclaré de cette fusion : faciliter la prise de décision, améliorer l'expérience client et simplifier la chaîne de décision « en intégrant pleinement la vision globale des services techniques et informatiques ».
Défaire : Aujourd'hui, de manière paradoxale, la direction utilise les mêmes arguments pour justifier une séparation des deux entités. Il s’agirait d’un « retour à une meilleure efficacité décisionnelle et d’une amélioration de l’agilité des équipes ».
Projet TPS : une fuite pour certains, une charge pour les autres.
En finir avec l’impunité sur le harcèlement sexuel au travail
COMMUNIQUÉ DE PRESSE SUD du 15 Novembre
Enquête CNPS : Faites entendre votre voix
État des Lieux de l'Égalité Femmes-Hommes à la DTSI
Congés de cycle hormonal
Orange et le Néocolonialisme en Afrique
Le gouvernement veut cogner violemment sur nos droits
Leurs arguments ne tiennent pas la route
Leur seul objectif est de faire des économies sur notre dos
Toutes les fédérations syndicales de fonctionnaires et d’agents de la fonction publique appellent à une première grève jeudi 5 décembre !
C’est avec une immense tristesse que nous avons appris un nouveau suicide d’un de nos collègues d’Orange à Rennes. Nous tenons tout d’abord à présenter nos très sincères condoléances à sa famille, ses proches et à tous ses collègues.
Malgré les manoeuvres de la direction pour masquer la triste réalité, celle-ci s’est manifestée par le suicide de trois de nos collègues, d’OB SCE/GDO, marqué par le PDV en cours, DSI, en pleine réorganisation, et DTOF/COM/V360, en ce mois d’octobre 2024.
Orange : la déclaration préalable SUD au CSE N°21b ci contre
Nous déplorons le suicide de 3 collègues depuis le début du mois d’octobre 2024.
Il ne s'agit ni de fatalité ni de malheureuses circonstances. C'est le résultat direct du toxique management Lombardien, réactivé par la nouvelle Directrice Générale.
Suicides chez Orange : la crainte d’un retour de la machine à broyer
La presse en parle :
Grace aux communiqués de presse SUD, les médias commencent à faire écho à cette nouvelle crise sociale qui frappe Orange, (AEF Info et La Lettre). Plusieurs rapports internes et externes mettent en lumière l'ampleur du mal-être des employés. La multiplication des suicides et des appels à l’aide aux syndicats montre que cette crise ne peut plus être ignorée. La direction, tout en niant une responsabilité directe est contrainte par les elu-e-s SUD de mener des enquêtes pour éviter un scandale public comparable à celui de la décennie précédente.
Depuis de nombreux mois, la progressive « déstructuration » d'Orange prend forme au travers de nombreux dossiers de réorganisation présentés en CSE et en CSEC. Sous la férule de Christelle Heydemann, les activités sont méthodiquement dispersées, leurs composantes fragmentées, les directions misent en silo.
L'objectif des dirigeants actuels d’Orange est de booster la vente de l’entreprise, cela n’est pas sans rappeler les méthodes cyniques des spéculateurs immobiliers : la vente à la découpe. En fragmentant nos activités et en réorganisant. La suite dans notre tract ICI
La politique sociale à Orange : une crise qui résonne avec le passé
Prévention des risques : Notre lettre à Mme Heydemann pour une action responsable
La lutte paie !
PDV à Orange Business, où en est-on ?
Retour sur la commission de suivi de l’accord intergénérationnel
Le 23&25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
SUD 44/ 95 est en ligne ICI
CAP CCP UNE PARODIE DE PROCES
La CAP, Commission Administrative Paritaire est l’instance consultative, qui étudie certaines décisions relatives à la situation individuelle des fonctionnaires.
Les décrets ministériels de 2019 et 2021 l’ont vidé de sa substance : les fonctionnaires ne peuvent plus la saisir ni en matière de mutation et de mobilité, ni en matière d’avancement et de promotion. La suite dans notre tract ICI
L'info SUD N°79 Septembre 2024
Réorganisations en Cascade : Un Danger pour la Prévention et les Conditions de Travail chez Orange
Les réorganisations incessantes de nos unités, départements et services ont des conséquences alarmantes sur les documents de prévention et les conditions de travail.
Que se passe-t-il vraiment lorsque l’on passe de six à un seul document de prévention ? Comment assurer la sécurité de métiers spécifiques aux risques divers ? Pourquoi les bilans HSCT deviennent-ils incompréhensibles et les actions de prévention si éloignées du terrain ?
SUD demande des comptes sur le Programme Annuel de Prévention des Risques Professionnels et d'Amélioration des Conditions de Travail en CSE, Lire l'expression ci contre
L'info CSE DTSI de Juillet
La soi-disant "consultation" des elus sur les dossiers n'est plus qu'une formalité vide de sens. Les propositions et préoccupations des élus sont systématiquement ignorées ou minimisées. Ci-dessous, notre tract détaillant les principaux points abordés lors du CSE de juillet, ainsi que le bilan du 1er semestre.
l’écho du CSE DTSI :
POINT suivi de la présentation du sujet « astreintes pendant l'été
2024 » dans les CSSCT DTSI STRATEGIE D’évitement deloyauté
Projet ECRINS
Perspectives Emploi et Compétences—Bilan 2023
Bilan Développement des Compétences DTSI 2023
le suite dans notre tract
S’armer contre l’extrême droite
VISA est une association intersyndicale composée de plus de 150 structures syndicales :
la FSU et plusieurs de ses syndicats, l’Union Syndicale Solidaires et plusieurs de ses syndicats, des fédérations et des syndicats de la CGT, de la CFDT, de la CNT-SO, de la CNT, le Syndicat de la Magistrature…
Depuis 1996, VISA recense, analyse et dénonce les incursions de l’extrême droite et plus particulièrement du FN/RN sur le terrain social.
Declaration intersyndicale & communiqué de presse SUD PTT
Depuis quelques semaines, celui proposé par le portail d’Orange nous renvoie vers celui de CNews, chaîne de télé du grand patron Bolloré, qui étend son empire médiatique au service de sa propre idéologie, et au grand dam de journalistes de métier, qui n’adhèrent pas à sa ligne éditoriale.
Cette chaîne vient de détrôner en audience la très macroniste BFMTV (dont Drahi, de SFR, est encore patron). Elle promeut et banalise des idées néo-libérales, réactionnaires et racistes des politicien.nes d’extrême droite.
La suite dans notre tract
Si l’on regarde de près le «travail» de leurs membres élu·es au sein du Parlement européen lors de la mandature 2019 - 2024, on se rend compte que, d’une part, les eurodéputé·es FN/RN brillent par leur absence régulière et leur manque flagrant de travail de fond, mais aussi par des votes qui contredisent leur affichage social. Le bilan est disponible ICI
L’extrême droite, plus que jamais un danger mortel
Réorganisation DISU : SUD EST allé LEUR PARLER DU TERRAIN
les modifications horaires
évolutions de l’organisation des chaines de soutien et des évolutions de métiers
SUD tire le signal d’alarme sur les questions d’organisation et de conditions du travail à LA DISU.
La suite dans le tract ci contre
Alors les organisations d'extrême droite viennent d'obtenir. Sans réel surprise, parce que historique, lors des élections européennes du dimanche 9 juin. C'est dans ce contexte que Macron a annoncé une dissolution de l'Assemblée nationale. Et ouvrir la porte à un éventuel gouvernement dirigé par Bardella. H dans le 50 électoral qui s'annonce, il pourrait s'enrouler à certains que les organisations syndicales doivent garder une certaine réserve. La Fédération sud-ptt pense que le mouvement social, le mouvement ouvrier, a des choses à dire et à proposer. Sans se faire les chantres d'une liste ? Ou d'une autre où nous tenons à exprimer clairement une chose. Le RN est consort. Ce sont les ennemis des travailleurs et des travailleuses.
La suite dans notre tract ci-contre
Le journal DTSI Mai-Juin 2024
Orange; une entreprise du CAC 40 dont la préoccupation première est de contenter l’actionnariat, au détriment de l’emploi et des conditions de travail décentes. Cette priorité accordée aux profits des actionnaires se traduit par des décisions managériales qui négligent gravement le bien-être des employés. La quête incessante de la rentabilité maximale entraîne des suppressions d'emplois, une augmentation de la charge de travail, et une dégradation des conditions de travail.
Chez Orange, cette politique d'entreprise a eu et a des conséquences dramatiques. Des suicides ont été recensés parmi les employé ces 2 derniers mois , un triste phénomène qui a mis en lumière les effets dévastateurs du retour des pressions et du stress induits par les méthodes de gestion. Comme à l'époque Lombard, la direction de l'entreprise s'efforce systématiquement d'éviter de faire le lien entre ces tragédies et les politiques internes...
Plutôt que de reconnaître l'impact de ses choix stratégiques sur la santé mentale et physique de ses salariés, la direction préfère minimiser ces incidents ou les attribuer à des causes personnelles. Cette attitude irresponsable non seulement ignore la souffrance des employés, mais empêche également la mise en place de mesures correctives indispensables pour prévenir de futurs drames.
Il est crucial de souligner que l'accent mis sur la satisfaction des actionnaires se fait au détriment d'une gestion humaine et responsable de l'entreprise. Les employés sont considérés comme de simples variables d'ajustement dans une équation financière, et leurs besoins et leur bien-être passent au second plan. Cette approche conduit à un environnement de travail toxique où la pression constante et le manque de soutien peuvent avoir des conséquences irréparables.
SUD exige un changement de paradigme dans la gestion de notre entreprise. Il est impératif de replacer l'humain au centre des préoccupations, de reconnaître les liens entre les politiques d'entreprise et la santé des employés, et d'agir en conséquence pour créer un environnement de travail sain et respectueux. Les dirigeants doivent assumer leurs responsabilités et mettre en place des mesures concrètes pour améliorer les conditions de travail et prévenir de nouvelles tragédies.
En fin de compte, une entreprise ne peut prospérer durablement que si elle prend soin de ses employés. Les bénéfices financiers ne devraient jamais être obtenus au prix de la vie et de la santé des travailleurs. Il est temps de remettre en question les priorités actuelles et de construire un avenir où le bien-être des salariés est une véritable priorité.
Jeux Olympiques : Orange fait croire aux salariés que l’important est de participer
Communique de presse SUDPTT Orange
L'actu SUD au CSE DTSI Orange
Séparation SI et Réseau
Le rapport de la médecine du travail est à nouveau alarmant !
Consultation sur le Projet de création d’astreintes temporaires pour l’été 2024
Orange aux JO : Travailleurs partout, droit du travail nulle part
toute l'actu dans notre tract !
Le 22 mai, chez Orange on gréve !
Salariés d'Orange, vous n’appréciez pas la déflation galopante des effectifs, ni la cession des boutiques Orange ni la vente a perte d'OCS, ni le plan de depart volontaire imposé chez OB
Vous êtes scandalisés par les NAO 2022, 2023 et 2024
Depuis la nouvelle direction, vous avez la très nette impression que la spéculation boursière se fera au détriment des salariés et de l’intégrité de l'entreprise...
N’hésitez pas, rejoignez nous !
GREVE le 22 mai
Jeux Olympiques :
Orange fait croire à ses salariés que l’important est de participer
Orange promoteur de la surveillance de masse
Nos craintes sont légitimes
Des contraintes supplémentaires
A qui profitent les Jeux
SUD refuse que nos droits soient piétinés au profit des Multinationales !
Quand Orange découvre enfin le code du travail
En déposant un préavis de grève, SUD ré-affirme son engagement
à protéger les droits et la qualité de vie des salariés d'Orange.
Retour sur le 1er Mai
Lors des manifestations du 1er mai, notre syndicat SUDPTT était largement représenté. Nos membres ont été parmi les premiers à prendre la rue, portant haut nos revendications pour la paix, les salaires, nos conditions de travail et une juste répartition des richesses.
Les pancartes, les chants et l'énergie étaient palpables, témoignant de notre engagement envers la justice sociale et le respect des droits des travailleurs.
Si vous n'avez pas pu être présents, on vous encourage vivement à jeter un œil aux photos qui ont été prises lors de cet événement. Elles capturent parfaitement l'esprit de solidarité et de résistance qui anime notre syndicat. Retrouvez toutes les photos ICI
Ensemble, nous sommes plus forts. Ensemble, nous pouvons faire entendre notre voix et défendre nos intérêts. Merci à tous ceux qui ont participé!
Le 1er mai
journée internationale des travailleurs, est l'occasion par excellence de nous unir pour revendiquer nos droits fondamentaux. Rejoignez-nous pour manifester et faire entendre notre voix pour des conditions de travail justes, des salaires décents et une société plus équitable pour tous.
La lettre d'info Orange SUD DTSI
NAO -Petition
La délocalisation du travail vers la Roumanie : quand la charge de travail des salariés du CSRH devient une excuse pour l'externalisation
Expression SUD au CSEC sur le dossier de réorganisation
DTSI sans lendemain
les échos du CSEE
Retour sur la CSSCT du 10 mars
1ER MAI, MOBILISÉ-ES CONTRE L’AUSTÉRITÉ, POUR NOS SALAIRES, POUR LA PAIX !
On continue à détruire le réseau des boutiques Orange !
Expression SUD au CSEC Orange sur le dossier de réorganisation
vous trouverez dans le document ci-contre, la voix de SUD portée au CSE Central portant les préoccupations et les défis rencontrés par les collègues de DTSI et d'autres secteurs touchés par les réorganisations en cours. Un regard critique sur les pratiques d'Orange, mettant en lumière l'absence de transparence, les pressions constantes sur les employés et l'impact négatif sur la qualité du travail et le bien-être des travailleurs.
Des questions et arguments pertinents, présentés avec engagement pour défendre les droits des travailleurs et garantir des conditions de travail justes et dignes.
SUD se tient aux côtés des collègues concernés dans ce contexte de changement tumultueux et de précarité croissante.
NAO Orange
SUD tient à saluer les collègues rassemblé-es, le mardi 26 mars 2024 à l’occasion u meeting de C.Heydemann, à Lyon, Rennes, Nantes, Montpellier, Toulouse, Blagnac, Lannion, Rouen, Issy-les-Moulineaux... et les milliers d’autres qui ont boycotté son allocution. Cette mobilisation est un désaveu cinglant pour toute la direction d’Orange qui conduit un plan de destruction massive de l’entreprise, au pas de charge. (voir notre tract ci dessous )
Avec seulement 34 000 personnes du groupe connectées le 26 mars et 47 likes obtenus, la côte de la DG a pris une claque !
Signer le pétition pour la ré-ouverture des NAO chez Orange : ICI
Orange : Heure d’Information Intersyndicale
Après la réussite de l'action du 26 mars, construire la suite de la mobilisation
Le congé de cycle hormonal n’est
pas une sinécure !
Les politiques de l’égalité professionnelles sont efficaces quand elles intègrent la santé des femmes au travail. A l’exemple de la proposition de loi d’un congé de cycle hormonal qui permet aux femmes de mener leur vie professionnelle avec une vie hormonale et procréative tout au long sa carrière (cycles hormonaux, ménopause, bouleversements hormonaux des périodes procréatives, effets des procréations et post-procréations, etc…) Ce nouveau droit a été rejeté par le Sénat en février dernier...
Orange : 2 Milliards pour les actionnaires, des miettes pour les
salarié-es
SUD dénonce fermement l'échec des négociations annuelles obligatoires (NAO) et la distribution d'actions gratuites aux 1300 exécutives /leaders de l'entreprise et de la Direction Générale
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