Résumé

La loi de Hubble-Lemaître exprime la relation entre les mouvements relatifs et les distances relatives des galaxies; la constant H de la loi traduit la constance du produit mouvements relatifs x distances relatives des galaxies.

La dimension de la constante H est le Temps, dimension inverse de celle qui lui est actuellement attribuée. En conséquence, et contrairement à l'interprétation donnée, plus les galaxies sont éloignées du système solaire, plus leur vitesse relative par rapport à celui-ci est faible.

La valeur de la constant H est égale à 16 / u_ν , soit 2,317 009 *10^-18 s , u_ν étant l'unité de fréquence absolue.

L'univers est fini, stable et en vibration dans le champ de l'espace-temps.

La loi est à l’origine de l’idée d’un univers en expansion, loi emblématique des conclusions hâtives qui peuvent être tirées de données expérimentales lorsque l’approche métaphysique des concepts est négligée par des théories qui ne s'interdisent pas, pour autant, de délivrer une vision philosophique de l’univers ; la Théorie de la relativité n'échappe pas à cette critique.

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V_fuite = Vitesse de fuite des galaxies = H * d_AB

La loi de Hubble-Lemaître établit la loi de proportionnalité entre la vitesse de récession ou "vitesse de fuite" des galaxies et leur éloignement d_AB. Le coefficient de proportionnalité est appelé constante de Hubble H.

Dans la présente théorie, les vitesse relative V_AB et distance relative d_AB de deux particules et leur rapport s’écrivent :

V_AB = c / ( N_A * N_B ) ^1/2

d_AB = N_A * N_B * u_λ’

V_AB / d_AB = u_ν’ / ( N_A * N_B ) ^3/2 = n_AB = Vibration relative des deux particules.

Ce rapport ne pouvant être constant, la vitesse de fuite ne peut être une vitesse relative. En conséquence, l’expression de la vitesse de fuite dans le système d’unités SUN ne peut être que de la forme ( N_A * N_B ) pour que le rapport de cette « vitesse de fuite » par la distance relative soit constant.

Le mouvement relatif de deux particules M_AB s’écrivant : c²/( N_A * N_B ) et son inverse égal à ( N_A * N_B ) /c² , permet, pour rendre compte de la constante de la loi, de faire l’hypothèse que la vitesse de fuite est proportionnelle à l’inverse du mouvement relatif. Dans un premier temps, cela nous conduit à mettre chacun des deux membres de la loi sous la forme :

V_fuite = 1 / M_AB =( N_A * N_B ) /c² (1)

H * d_AB = H * N_A * N_B * u_λ’ (2)

Et, pour rendre compte de leur égalité, à vérifier leurs dimensions. Pour cela, un constat et une relation fondamentale nous mettent sur le chemin.

En effet, en constatant que la valeur de :

16 / u_ν = 2,317 009 *10^-18 s

est très proche de la valeur expérimentale attribuée à la constante H :

H = 71 km/s/Mps = 2,300 952 *10^-18 s^-1

et, bien que les dimensions de ces deux constantes soient strictement opposées, nous conduit à retenir la dimension 16 / u_ν pour la constante H au risque de devoir, ultérieurement, invalider cette hypothèse.

H = 16 / u_ν

Les expressions (1) et (2) peuvent alors s’écrire :

V_fuite = 1 / M_AB =c *N_A * N_B /c³ (3)

H * d_AB = 16 * N_A * N_B * u_λ’ / u_ν = 16 * N_A * N_B *c /( u_ν * u_ν’ ) (4)

et, en prenant en compte la relation fondamentale liant les systèmes d’unités absolu et relatif c ³ = 16 *u_ν * u_ν ’ :

V_fuite = 1 / M_AB = c *N_A * N_B /c³ (5)

H * d_AB = 16 * N_A * N_B *c /( u_ν * u_ν’ ) = 16² * c *N_A * N_B /c³ (6)

Ce qui permet, en rapprochant les égalités (5) et (6) de définir plus précisément la "vitesse de fuite" :

V_fuite = 16² / M_AB = H * d_AB

= 16² / Mouvement relatif = H * Espace relatif

Ainsi, la loi de Hubble-Lemaître ne fait qu'exprimer la relation remarquable liant les grandeurs d'espace et de mouvement relatifs entre particules :

Espace relatif * Mouvement relatif = Constante

Cette constante est égale à 1 dans les systèmes d'unités SUN et Shc, et à 16 * u_ν dans le système SUM et dans la loi car, en effet 16² / H est égal à 16 * u_ν .

Il apparait ainsi que la dimension de vitesse donnée à la "vitesse de fuite" est erronée et qu'elle est corrigée par la constante H. Comme la constante de gravitation universelle, la constante de Hubble-Humason n'est qu'un artifice dimensionnel utilisé pour dissimuler une erreur d'analyse des phénomènes.

Erronée aussi l'interprétation de la loi, interprétation donnant une image fausse de la réalité : plus les galaxies sont éloignées du système solaire, plus leur vitesse relative par rapport à celui-ci est faible. Une remarque doit être faite : vitesse relative ne signifie pas que cette vitesse soit constante et entraîne un éloignement permanent et sans limite des galaxies ; elle n’est que l’expression de la vibration relative des galaxies dans les divers lieux qu’elles occupent dans l’univers. Si l’on considère que la vibration propre de notre galaxie est constante (ce qui est peu probable), lorsque la vibration propre d'une galaxie augmente, sa distance par rapport à notre galaxie diminue ; inversement, si sa vibration propre diminue sa distance par rapport à notre galaxie augmente : dans le premier cas, la galaxie pourrait être dite en contraction, dans le deuxième, en dilatation, sans induire pour autant que l'univers soit dans sa globalité en contraction ou en dilatation.

La loi ne permet pas d’affirmer que l’univers soit en expansion ou, s'il l'est, cela ne peut être que par la manifestation de nouvelles particules et non par une espèce très particulière d'extension de l'espace, un espace relatif qui ne serait pas associé aux particules. La constance du produit « mouvement relatif * espace relatif » des particules milite pour un univers stable et en vibration. La vibration du champ métaphysique est égale à c³ dans les systèmes d'unités Shc et SU.