APPLICATIONS

LE PROTON ET L'ATOME D'HYDROGENE

Résumé

Les sphères RBF, particules électroniques élémentaires, structurent les atomes. Elles sont caractérisées par leurs plus ou moins grandes capacités à réaliser, par association, les complétudes d’action et d’actes, par le nombres de modules protoniques ou neutroniques qui la composent et par leur sensibilité au gain ou à la perte d’un électron dans la recherche de complétude.

Le proton est constitué par l'association des sphères S78, S80 et S18. La couches électroniques extérieures C80 et C79 jouent un rôle majeur dans la vibration et la stabilisation du noyau atomique.

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Les recherches de stabilité de structure, de complétudes d’actes et d’action sont à l’origine de la dynamique d’association des particules. Si le tétraèdre universel réalise les complétudes d’actes et d’action dans une structure élémentaire parfaite, en revanche l’électron, s’il manifeste une structure icosaédrique également parfaite, ne réalise cependant aucune des deux complétudes. Il manque à l’électron un triplet pour réaliser la complétude d’action de 81 triplets (80+1= 4 *4.52) et il doit perdre 16 triplets ou 4 tétraèdres (80-16 = 64 = 4*42) pour réaliser la complétude d’actes. Le triplet de complétude d’action qui manque à l’électron joue un rôle essentiel dans la structuration de systèmes électroniques stables qui soient assurés de leur survie dans le champ de l’Espace/Temps.

La théorie met en évidence des nombres et des modules d'actions remarquables sur la base desquels se structurent les particules électroniques :

80 : action de l’électron dont le nombre de l’action est égal 4.472

81 : module de complétude d'action dont le nombre de l’action est égal à 4.5. Tout système de particules dont l’action est un multiple entier de 81 triplets est dit système d’action neutre.

64 = 27+37, module de complétude d’actes dont le nombre de l’action est égal à 4.

27 = 81/3, le tiers du module de complétude d'action.

37 = 64 – 27 = 1 module de complétude d'actes - 1/3 de module de complétude d'action.

111 = 3*37 = 3*64 – 81 = 3 modules d’actes - 1 module de complétude d’action.

27/37 = 0. 729 729 729 7

(27/37) * 10-2 = 7.297 297 297*10-3 valeur très proche de la valeur de la constante de structure fine donnée par les Tables, 7.297 353 08*10-3 .

K81 = 81/80 ou coefficient de complétude d’action

K64 = 64/80 ou coefficient de complétude d’actes

module protonique : action de 1216 triplets = 19*64 = 15*81 + 1= 16*81 - 80 ; module porteur d’une charge électrique, qui réalise une complétude d’actes et, par ajout d’un électron, une complétude d’action de 81 triplets.

module neutronique : action de 5184 triplets = 64*81 = 4 modules protoniques + 4 électrons ; module non porteur de charge électrique, qui réalise à la fois les complétudes d’actes de 64 triplets et d’action de 81 triplets.

6400 : action composée d’un module protonique et d’un module neutronique qui réalise une complétude d’actes de 64 triplets porteuse de charge ; 6400 = 1216 + 5184 = 80*80 = 79*81 + 1

6480 : action composée d’un module protonique, d’un module neutronique et d’un électron qui réalise une complétude d’action de 81 triplets non porteuse de charge : 6480 = 6400 + 80 = 81*80 = 1 module protonique + 1 module neutronique + 1 électron

La divisibilité ou la non-divisibilité des actions des systèmes de particules électroniques en un nombre entier de modules protoniques et neutroniques rend compte de la structure des systèmes atomiques et de leur plus ou moins grande stabilité selon les degrés de complétude atteints par ces systèmes par ajout ou retrait d’un électron.

L 'atome est une structure électronique composée d'un noyau et d'électrons périphériques de complétude ou électrons de charge. Le noyau est un assemblage de modules protoniques et neutroniques.

Z = nombre de modules protoniques du noyau ou charge du noyau atomique

n = nombre de modules neutroniques du noyau

19*64*Z = action protonique du noyau de l’atome

64*81*n = action neutronique du noyau de l’atome

80*Z = action des électrons de complétude

Action du noyau = action protonique + action neutronique

= (19*64*Z) + (64*81*n)

Action de l’atome = action du noyau + action des électrons de complétude

= (19*64*Z) + (64*81*n) + 80*Z = 16*81*(Z + (4*n))

Les sphères RBF, particules électroniques élémentaires structurantes des atomes, sont caractérisées par leurs plus ou moins grandes capacités à réaliser, par association, les complétudes d’action et d’actes. Leurs structures sont caractérisées par les nombres de modules protoniques et neutroniques qui les composent et par leur sensibilité au gain ou à la perte d’un électron dans leur recherche de complétude.

Plusieurs remarques concernant les sphères RBF peuvent être faites :

- aucune sphère RBF ne peut accéder seule à la complétude d’actes;

- un électron, ajouté ou retranché à une sphère RBF lui permet d’accéder à la complétude d’actes ; quatre sphères RBF successives (n, n+1, n+2, n+3 …) décrivent un cycle de complétude d’actes.

- la sphère S5 est la première sphère qui, en perdant un électron réalise une complétude d’actes ;

- la sphère S18 est la première sphère qui, en gagnant un électron, peut réorganiser son action en modules protoniques :

S18 + 1 électron = 1 390*(19*64) = 1 390 modules protoniques. Il faut attendre la sphère RBF S75 pour retrouver une telle propriété.

- la sphère S18 en fixant un électron et une sphère S1 réalise une complétude d’action de 81 triplets :

S18 + S1 + 80 = 1390*(19*64) + 1 040 = 20 880*81 = 1305*16*81

- les sphères S74 à S80 montrent une fluidité remarquable qui laisse imaginer le rôle important que ces sphères pourraient jouer dans la réorganisation des actions des particules en modules protoniques et neutroniques.

L’atome d’hydrogène est composé de deux particules, un noyau et un électron périphérique ayant chacun une stabilité de structure, qui trouvent par leur association une complétude d’actes.

Les propriétés particulières de l'association de la sphère S18 et des sphères S74 à S80 sont à remarquer :

- un électron fixé sur la sphère S18 transforme cette sphère en une structure protonique.

- un électron fixé sur la sphère S78 lui permet d’accéder à la complétude d’actes de 64 triplets et à la complétude d’action de 81 triplets, son action étant alors composée d’un nombre entier de modules neutroniques de 5184 triplets. La sphère S78 est la première sphère à réaliser les complétudes d’actes et d’action par ajout d’un électron.

- un électron fixé sur la sphère S79, intermédiaire entre les sphères S78 et S80, permet à cette sphère d’accéder à la complétude d’actes de 64 triplets, son action étant alors divisible par 6400. De plus, la sphère S79 étant composée d’un nombre entier de sphères S1, plus petite sphère RBF après l’électron, bénéficie d'une grande fluidité ce qui lui donne une grande capacité d’association.

- lorsque la sphère S80 libère ou partage un électron, elle accède à la complétude d’actes.

Ces diverses propriétés permettent de concevoir une première structure pour le proton:

Dans cette structure, la sphère S18 joue un rôle de liaison entre les sphères S78 et S80 et favorise la vibration des électrons des sphères qui, tout en conservant leur intégrité, trouvent une complétude d’actes par la perte (sphère S80) ou le gain (sphères S78 et S18) d’un électron, la sphère réalisant, de plus, une complétude d’action par le gain d’un électron.

Il faut souligner que la migration d’un électron de la sphère S80 vers la sphère S78, relayée par la sphère S18, n’est que théorique puisque chaque sphère RBF résiste à la perte ou au gain d’un électron qui remet en cause sa structure. La sphère S18, prise en tenaille entre les sphères S78 et S80, assure la liaison entre les sphères en se convertissant, par le partage de l’électron excédentaire de la sphère S80, en une action protonique qu’elle perd aussitôt, l’électron partagé étant immédiatement récupéré par la sphère S78 pour lui permettre d’accéder à la complétude d’action. Remarquons ici qu’il faut voir la complétude, plus comme une Vibration que comme le gain ou la perte physique d’électrons.

Si, maintenant, un électron extérieur est capté, le système se stabilise, chacune des sphères partageant l’électron sans jamais l’aliéner.