APPLICATIONS

CHROMODYNAMIQUE QUANTIQUE

( Gluons, quarks, saveurs )

Résumé

Le gluon est une particule d’action égale à 27 triplets.

La complétude d'action est égale à 3 gluons

Il existe trois particules gluoniques élémentaires, dites de couleurs rouge, verte et bleue, d’actions positives ou négatives de 27, 54 ou 81 triplets.

Les quarks et antiquarks sont des particules gluoniques de masse égale, de charges de complétude et d’incomplétude d’action et de couleurs opposées. L’antiquark « prend » ce que le quark « donne » et inversement.

L'ajout ou le retrait d’un gluon à une particule gluonique la fait changer de couleur.

Les charges de complétude et d’incomplétude d’action des quarks sont de 1, 2 ou 4 gluons soit 1/3, 2/3 ou 4/3 de l’action de complétude d’action neutre égale à 3 gluons ou 81 triplets. Ces charges « prises » ou « données » qualifient les six « saveurs » que la chromodynamique quantique attribue aux quarks.

Au coefficient 10-2 près, la constante de structure fine α est égale à 27/37 et est reliée aux gluons et aux complétudes d'actes et d'action par les relations :

3 * α / ( α + 1 ) = complétude d’action / complétude d’actes

α = 1 gluon / ( complétude d’actes – 1 gluon )

L’hydrogène vibre entre la complétude d’actes stable de son atome et la complétude d’action transitoire de sa molécule.

Une arithmétique quantique permet de relier les couleurs, les charges de complétude et les actions des particules élémentaires.

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Codes couleurs et conventions d’écriture

1 - Le principe de complétude

Toute action manifestée est une particule quantifiée par le nombre de triplets qui la compose. L’électron est une particule d’action de 80 triplets qui vibre entre la complétude d’actes de 64 triplets et la complétude d’action de 81 triplets.

Si nous considérons une particule d’action A quelconque, le nombre de triplets qui la constitue peut être décomposé en un nombre de triplets multiple de 81 triplets ( A81 = K81 * 81 ) plus un nombre n de triplets complémentaires. Le nombre n de triplets ajoutés est appelé charge de complétude d’action. Lorsque la particule « donne » ces triplets complémentaires, son action est unifiée et réalise la complétude d’action.

Selon les interactions possibles entre particules en présence, la particule peut aussi « prendre » des triplets aux autres particules plutôt que d’en donner pour réaliser une complétude d’action en unifiant son action sur une action égale à ( K81 +1 ) * 81 triplets. Dans ce cas, le nombre de triplets à « prendre » pour que la particule réalise une complétude d’action est appelé charge d’incomplétude d’action.

Sont définies de la même manière, les charges de complétude et d’incomplétude d’actes.

Qu'elle soit d'actes ou d'action, la charge de complétude est, par convention, positive lorsque la particule « donne » des triplets et négative lorsqu’elle en « prend »

Fif 1.a 3

Fig 1a – Charges de complétude et d'incomplétude

2 - Sphères RBF

Les électrons, dans leur recherche de complétude, constituent des particules de forme pseudo-sphérique leur assurant une stabilité de structure. Ces pseudo-sphères, dites « sphères RBF », sont constituées par empilage de n couches d’électrons autour d’un électron central. Le nombre d’électrons Nn de la sphère Sn, son action An et celle de sa couche électronique la plus extérieure Cn se calculent à partir des formules suivantes :

Nn = 1+ (( 20*n 3 + 30 * n 2 + 22 * n ) /6 )

An = Nn * 80

Cn = [10* n2 + 2 ] * 80 pour n > 0

La sphère S18 prise comme exemple, constituée de 18 couches électroniques autour d’un électron central, a une action de 1 690 160 triplets et sa couche périphérique C18 est comosée de 259 360 triplets.

La relation qui lie deux sphères consécutives est la suivante :

Sn = Sn-1 + Cn

On peut ainsi écrire : S80 = S79 + C80 = S78 + C79 + C80.

Le rôle important joué par les sphères et les couches périphériques dans la constitution des quarks et l’élaboration des structures atomique et moléculaire sera amplement démontré notamment dans la structure de l’atome d’hydrogène, particule composée de trois sphères RBF S80, S78, S18 et d’un électron :

H = S80 + S78 + S18 + e = S78 + C79 + C80 + S78 + S18 + e

Les caractéristiques de ces sphères et couches électroniques périphériques sont données dans le tableau suivant. Constatons dès à présent que si l’atome d’hydrogène réalise la complétude d’actes, en revanche, il ne réalise pas la complétude d’action.

Tableau 2.a - Les particules du proton et de l'atome d'hydrogène

3 - Charge et complétude d’action

En physique, l’unité de charge électrique conventionnellement choisie est celle de l’électron prise comme charge négative et celle du proton comme charge unitaire positive, l’atome d’Hydrogène étant en conséquence de charge nulle.

Le tableau ci-dessus permet de constater la neutralité de charge de l’atome d’hydrogène dès lors que l’on assimile la charge électrique à la charge de complétude d’actes.

La théorie postule que l’électron est dans un état vibratoire permanent qui tend à faire passer alternativement son action, égale à 80 triplets, de 64 à 81 triplets : son action tend ainsi à « prendre » 1 triplet puis à en céder 17. Elle postule aussi que, à l’égal de l’électron, toute particule vibre entre une complétude d’action et une complétude d’actes, tendances opposées pour unifier l’action par ajout ou cession de triplets, l’une sur un multiple de 81 triplets, l’autre de 64 triplets. Cette recherche permanente entretient la dynamique de l’univers phénoménal.

Pour justifier le comportement des quarks au sein du proton, la mécanique quantique introduit une unité de charge fractionnaire égale à 1/3 de l’unité de charge conventionnelle. L'analyse conduit à assimiler les charges introduites en mécanique quantique aux charges de complétude d’action. Cette hypothèse sera validée par les structures des quarks, du proton et de l’atome d’hydrogène.

La charge de complétude d’action de la particule est égale à l’action qui doit lui être ajoutée ou retranchée pour qu'elle réalise la complétude d’action. L’unité de charge étant le triplet, si l’on prend 81 triplets comme unité de complétude d’action et de neutralité de charge, l’action de 27 triplets est porteuse d’une charge relative égale à 1/3 de l’unité de charge de complétude d’action et l’action de 54 triplets d’une charge relative de 2 /3.

De la même manière, si l’on prend 64 triplets comme unité de complétude d’actes, les actions de 16, 32 et 48 triplets doivent être considérées comme porteuses de charges relatives respectives de complétude d’actes égales à 1/4, 1/2 et 3/4 de l’unité de charge de complétude d’actes.

Le tableau ci-dessous, selon ces conventions, donne les valeurs des charges de complétude des sphères RBF impliquées dans la structure du proton.

Tableau 3a – Charges relatives d’actes et d’action

Dire que la charge relative d’incomplétude d’actes de l’électron est de - 3/4 et celle du proton de –1/4 ou dire que la charge relative de complétude d’actes de l’électron est de + 1/4 et celle du proton de + 3/4 c’est dire exactement la même chose. De même, les charges de complétude et d’incomplétude de l’atome d’hydrogène pourront être exprimées ainsi : pour l’action ( – 39, + 42 ) triplets et pour les actes ( 0,0 ) triplets.

4 - Particules élémentaires

Les propriétés de certaines particules permettent de valider les structures des quarks, du proton, de l’atome et de la molécule d’hydrogène. Ces particules sont dites « élémentaires » au sens de « particules à faible quantum d’action ».

4.1 - Gluon

L’action de 27 triplets, soit le 1/3 de l’action de complétude d’action, est l’unité d’interaction entre les électrons des particules dans leur recherche de complétude. C’est l’action relative de la force d’interaction assurant la cohésion des particules. Unité médiatrice entre complétude d’action et complétude d’actes, vecteur de l’interaction forte, cette action est appelée « gluon ».

La masse du gluon est de 0,0003187 u, son énergie de 297 keV et sa charge relative de complétude d’action égale à + ou - 1/3, Selon les conventions établies, cette charge est considérée comme positive lorsqu’elle est « donnée » aux autres particules et négative lorsqu’elle est « prise » à d’autres particules.

Pour réaliser la complétude d’action égale à – 81, 0 ou + 81 triplets, trois types de gluon sont nécessaires. Pour les différencier, à l’action positive de +27 triplets est associé le qualificatif de « gluon rouge », à celle de +54 triplets celui de « gluon vert » et à celle de +81 triplets celui de gluon bleu ; et inversement aux actions négatives de - 27, - 54 et - 81 triplets, les qualificatifs de « gluon vert », « gluon rouge » et « gluon bleu

Tableau 4.1a – Les gluons : charges de complétude d’action, masses et énergies

Entre la complétude d’action de 81 triplets et la complétude d’actes de 64 triplets, l’électron vibre selon la séquence : 3 gluons -> 64 + 17 -> ( 1 gluon + 37 ) + 17 -> 1 gluon + 2 gluons -> 3 gluons

4.2 - Arithmétique quantique

Il est possible de définir une arithmétique quantique, c’est-à-dire, les règles d’addition et de soustraction des gluons. Un gluon à qui on ajoute ou retranche un gluon rouge, vert ou bleu, change de couleur selon la séquence Rouge -> Vert -> Bleu -> Rouge si le gluon est ajouté ou Vert -> Rouge -> Bleu -> Vert s’il est retranché.

Tableau 4.2a – Arithmétique quantique

4.3 - Module protonique et module neutronique

Les modules sont des quanta d’action non électroniques, des actions transactionnelles constitutives des particules électroniques. Deux quanta d’action spécifiques de 1216 triplets ( 19*64 ) et 5184 triplets ( 81*64 ) participent activement à la structure des particules. Ils sont appelés respectivement, « module protonique » et « module neutronique ».

Le module protonique est le premier quantum d’action de complétude d’actes qui réalise une complétude d’action par ajout d’un électron : 1216 + 80 = 16 * 81

Le module neutronique, soit 4 modules protoniques + 4 électrons est le premier quantum d’action qui réalise à la fois une complétude d’actes et une complétude d’action.

Tableau 4.3a – Module protonique et module neutronique

5 - Particules électroniques

Les particules électroniques sont des particules constituées par assemblage d’électrons contrairement aux gluons qui ne sont que des quanta d’action actualisés dans le champ de l’Espace / Temps par la vibration des particules. Les sphères RBF sont des particules électroniques qui possèdent une stabilité de structure dans ce champ. L’électron, la première d’entre-elles, icosaèdre d’action égale à 80 triplets ou 20 tétraèdres est, par définition, l’unité constitutive de ces particules.

5.1 – Sphères RBF S1et S2

Les deux sphères S1 et S2 respectivement constituées de 13 et 55 électrons, d’actions égales à 1040 et 4400 triplets sont, après l’électron, les deux premières et plus petites particules électroniques manifestées dans le champ de l’Espace / Temps. Elles jouent un rôle majeur dans la structure des quarks élémentaires ( voir section 6.3 )

Tableau 5.1a – Sphères RBF S1et S2

5.2 - Particule protonique élémentaire

La particule composée par l'association de 80 électrons est appelée « particule protonique élémentaire ». Elle réalise une complétude d'actes. Son action de 6400 triplets est égale à la somme des actions d'un module protonique et d'un module neutronique.

C'est la première particule électronique protonique qui, par fixation d’un électron supplémentaire, réalise une complétude d’action : 6480 = 81 * 80 triplets, soit cinq modules protoniques plus cinq électrons, ou 240 gluons.

Tableau 5.2a – Particule protonique élémentaire

5.3 - Particule neutronique élémentaire et neutron

La particule dont l’action est égale à 25 920 triplets, c’est-à-dire, cinq modules neutroniques de 5184 triplets ou 4 particules protoniques plus 4 électrons, est appelée « particule neutronique élémentaire ». C’est la plus petite particule électronique qui soit neutronique, c’est-à-dire, réalisant à la fois les complétudes d’actes et d’action ; particule remarquable qui apparaîtra dans l’expression de la constante de structure fine ( voir section 9 )

La masse de la particule neutronique élémentaire est très précisément égale à 18 fois celle de l’électron, soit 0,00987444 u .

Tableau 5.3a - Particule neutronique élémentaire

L’ajout d’un ou de 27 électrons à la particule neutronique élémentaire lui permet de reconfigurer son action en sphères S1 ce qui laisse supposer l'efficacité probable et importante de cette particule dans la dynamique quantique car, comme nous le verrons ( section 6.3 ) l’action de 27 électrons constitue le premier quark gluonique élémentaire structurant les particules électroniques.

Il faut noter ici, sans autre développement, que les caractéristiques de la particule neutronique élémentaire permettent d’ envisager un neutron constitué par 10 434 particules neutroniques, soit une action de 270 449 280 triplets et une masse de 1.00864396 u.

6 - Les quarks

6.1 – Particules gluoniques et quarks

Les particules électroniques dont l’action est un multiple entier de 27 triplets sont appelées « particules gluoniques ». Leurs charges relatives de complétude d’action sont égales à plus ou moins 1, 2 ou 3 gluons. Elles sont dites rouges, vertes ou bleues selon leurs charges et leurs comportements ( + ou - ). Un gluon ajouté à une particule gluonique la fait changer de couleur selon les règles de l’arithmétique quantique définies précédemment.

Seules quelques sphères RBF, particules électroniques dont la stabilité de structure est assurée dans le champ de l’Espace/Temps, sont des particules gluoniques, telles les sphères S14 ( rouge ), S40 ( verte ), S60 ( bleue ) et suivantes par incrément de 26 couches électroniques. D’autres sphères sont gluoniques uniquement par leur couche périphérique comme les couches C23 verte et C31 rouge. Les couches périphériques gluoniques du type C23 et C31 se reproduisent par incrément de 27 couches électroniques à partir des sphères S23 et S31, de façon singulière, imbriquée, selon une séquence répétitive que nous n’évoquerons pas ici mais qui peut apporter un éclairage intéressant sur les interactions nucléaires entre sphères RBF. La structure du proton nous montrera le rôle primordial joué par les couches périphériques des sphères RBF dans la réalisation des complétudes d’action.

Tableau 6.1a – Sphères et couches électroniques particulières

Les quarks sont des particules gluoniques résultant de l’assemblage de sphères RBF, de couches électroniques, d’électrons libres satellisés ou de tout autre assemblage de triplets pouvant faciliter la réalisation des complétudes d’actes et d’action des structures électroniques dans lesquelles elles sont impliquées. Par exemple, une particule quittera un état de stabilité relative ( une couche électronique quittera la sphère RBF à laquelle elle adhère ) pour s’associer à une autre particule afin de participer à l’élaboration d’une structure électronique plus complexe. L’étude des sphères S79 et S80 du proton illustrera ces comportements.

Chaque particule composant le quark peut « donner » ou « prendre » à l’autre particule des gluons afin de consolider, par leur complétude d’action ainsi partagée, la stabilité de structure de la particule électronique complexe dans laquelle elles sont impliquées. La charge de complétude d’action des quarks est la combinaison des charges de complétude et d’incomplétude des particules qui les constituent. Comme les gluons, les quarks sont dits de couleur verte, rouge ou bleue et respectent les règles de l’arithmétique quantique.

Toutes les associations de particules ne présentent pas le même intérêt pour l’élaboration et la consolidation des structures atomiques. Prenons, à titre d’exemple (voir tableau ci-dessous) l’association des sphères S1 et S2. Si cette association réalise une complétude d’actes totale, en revanche, elle ne présente guère d’intérêt en ce qui concerne la complétude d’action.

Tableau 6.1b – Quark S1 + S2

Les quarks, par « échange » de gluons, sont les médiateurs de l’interaction, les particules essentielles à la réalisation des complétudes d’action pour la structuration et la cohésion des particules et des noyaux atomiques.

Le tableau ci-dessous représente les quarks vert S79+S18 et rouge C1+C2. Imaginons de façon tout à fait gratuite, le face à face de ces deux quarks au sein d’un noyau atomique. Le premier quark peut donner au second deux gluons qui sont accueillis favorablement par ce dernier lequel, après avoir « récupéré » les deux gluons donnés peut, à son tour, en prendre un.

Tableau 6.1c – Echange de gluons entre quarks

L’échange de gluons entre ces particules va installer un régime vibratoire dans le champ de l’Espace / Temps des deux particules. Ces échanges « fictifs » de gluons sont la manifestation de la force électroforte entre une complétude d’actes perdue et une complétude d’action à réaliser . Ils se font grâce à la vibration du champ entre le mode de l’action neutre de 81 triplets, soit 3 gluons et la complétude d’actes de 64 triplets, amplitude de 17 triplets soit 2 gluons moins 37 triplets. Les nombres 17, 27 et 37 seront mis en évidence dans l’expression de la constante de structure fine a ( voir section 9 ).

Tableau 6.1d – Vibration des particules par échange de gluons dans le champ de l’Espace / Temps

6.2 – Antiparticules, antiquarks

Pour réaliser la complétude d’action, la particule doit « donner » aux autres particules sa charge de complétude ou « prendre » la charge d’incomplétude qui lui manque. Si elle adopte un comportement opposé, si elle « donne » ce qu’elle devrait « prendre » et « prend » ce qu’elle devrait « donner », ce comportement « miroir » est qualifié d’antiparticule. A l’exception des particules dont la charge de complétude d’action est nulle, toute particule a son antiparticule sans que, pour autant, ce comportement soit obligatoirement toujours manifesté. Cela n’est affaire que d’alliances et d’optimisation des interactions entre particules. L’antiparticule a une masse égale à celle de la particule et ses charges de complétude et d’incomplétude d’action sont opposées. Les antiparticules gluoniques sont des antiquarks.

6.3 – Quarks élémentaires

Les quarks constitués à partir des deux premières sphères RBF, S1 et S2, sont appelés « quarks élémentaires ». Ils revêtent une importance particulière car ce sont les plus petites particules électroniques gluoniques.

L’action de 6480 triplets repérée section 5.2, constituée de 240 gluons, peut être considérée comme l’association de 3 particules gluoniques élémentaires de 80 gluons soit 2160 triplets. Or, 2160 triplets est exactement l’action représentée par l’association de deux sphères S1 se partageant un électron : 2 * S1 + 80. Cette particule électronique gluonique est appelée « quark élémentaire vert » comme sera dite « quark élémentaire rouge » la particule composée par l’association de deux quarks élémentaires verts soit 4320 triplets. Or, là encore, 4320 triplets représentent l’action du quark constitué par l’association des couches périphériques C1 et C2 des sphères S1 et S2, soit ( 12 + 42 ) * 80 = 4320 triplets.

L’association d’un quark vert et d’un quark rouge donne un « quark élémentaire bleu » composé d’une sphère S2 et de deux sphères S1.

Tableau 6.3a – S1, S2 et quarks élémentaires

Le tableau suivant illustre la capacité d’association et de réalisation des complétudes d’actes et d’action des trois quarks élémentaires, particules électroniques à partir desquelles se structure l’univers. L’ajout respectif de un, deux ou trois électrons aux quarks élémentaires vert et rouge et bleu leur permet de réaliser la complétude d’actes. Cette capacité des quarks élémentaires à s’adjoindre un, deux ou trois électrons augmente encore leur efficacité opératoire dans les interactions entre particules. Par association, les quarks élémentaires structurent les particules gluoniques, ou quarks, dont les actions se calculent à partir des formules suivantes :

Action gluonique verte = ( 6 * n + 2 ) * S1 + 240 n + 80

= n * S2 + 2 * ( n + 1 ) * S1 + 80

= n * quark élémentaire bleu + 1 quark élémentaire vert

Action gluonique rouge = ( 6 * n + 4 ) * S1 + 240 n + 160

= n * S2 + 2 * ( n + 2 ) * S1 + 160

= n * quark élémentaire bleu + 1 quark élémentaire rouge

Action gluonique bleue = ( 6 * n + 6 ) * S1 + 240 n + 240

= ( n + 1 ) * S2 + 2 * ( n + 1 ) * S1

= n * quark élémentaire bleu

Tableau 6.3b – Quarks élémentaires

Le quark rouge C79 + C80 qui jouera un rôle déterminant dans la structure de la molécule d’hydrogène, est composé de 1560 quarks élémentaires bleus et d’un quark élémentaire rouge, soit 1560 sphères S2, plus 3124 sphères S1, plus deux électrons satellisés. De même, le quark vert S79 + S18 est composé de 20939 sphères S2, plus 41880 sphères S1, plus un électron satellisé.

6.4 - Quarks, saveurs et charges de complétude d’action

Une particule ne pouvant « prendre » ou « donner » que 27 ou 54 triplets, les charges de complétude et d’incomplétude d’action du quark constitué de deux particules en interaction ne peuvent en conséquence prendre que les valeurs positives, négatives ou nulles de 0, 27, 54, 81 et 108 triplets correspondant à des charges relatives de plus ou moins un tiers, deux tiers, un ou 4 tiers soit plus ou moins un, deux, trois ou quatre gluons.

Les quarks de complétude d’action égale à – 3 gluons, 0 ou + 3 gluons, c’est-à-dire neutres, étant strictement équivalents dans le champ de l’Espace / Temps qui tisse sa toile sur les mailles de 64 et 81 triplets, six « saveurs » peuvent être associées aux quarks pour qualifier, à la fois leur charge et leur comportement ( les qualificatifs « charme », « bas », « haut » ,… sont évidemment interchangeables ).

Tableau 6.4a – Les six saveurs des quarks

Un quark « charme » qui « prend » trois gluons au lieu des deux qui lui sont nécessaires pour réaliser une complétude d’action, devient « beauté » ; s’il en donne deux, se comportant ainsi en antiquark, il devient « étrange ».

Les saveurs prises par les quarks sont dictées par l’optimisation réciproque des complétudes recherchées par les particules les composant et par les particules électroniques ( noyaux atomiques, molécules ) dans lesquelles ils se trouvent impliqués ; par exemple, le quark C79 + C80 est impliqué dans les sphères S79 et S80, pour la stabilité de structure et dans l’atome et la molécule d’hydrogène pour les complétudes d’actes et d’action comme nous le verrons.

6.5 - Electron, positron et rayonnement gamma

Au sein des particules, l’électron vibre entre une complétude d’action égale à 81 triplets et une complétude d’actes égale à 64 triplets ; il « prend » un ou « donne » 80 triplets. Lorsque deux électrons en mouvement, échappant aux particules, électrons en leur lieu propre ( voir l’ouvrage cité pour la définition du lieu ) se rencontrent dans le champ de l’Espace / Temps, chaque électron cherche à prendre chez l’autre le triplet qui lui manque.

Le rayonnement gamma est le résultat de la mise en vibration du champ de l’Espace / Temps lors de la rencontre de deux électrons « égarés » dans le champ dont les comportements sont perturbés au point qu’alternativement chacun accepte de faire le contraire de ce qu’il devrait faire : prendre ce qu’il devrait donner et donner ce qu’il devrait prendre, afin que par un sacrifice alternativement consenti, vibrant par le don de l’autre, ils entrent en vibration dans le champ pour se donner l’illusion de réaliser, à deux, la complétude d’action. Le rayonnement gamma est la traduction de la « fébrilité » qui saisit les électrons livrés à lui-même !

Tableau 6.5a – Rayonnement gamma

7 - Le proton et l’atome d’hydrogène

7.1 – Le proton

Selon le modèle retenu, le proton est constitué de trois sphères RBF, S18, S78 et S80, la sphère S80 pouvant elle-même être considérée comme une seconde sphère S78 entourée de deux couches électroniques périphériques C79 et C80 ; sur ce modèle, la masse du proton est de 1,007 188 609 u.

Tableau 7.1a

Les caractéristiques des particules composant le proton ainsi que certaines de leurs associations actives dans les structures du proton, de l’atome et de la molécule d’hydrogène sont données dans le tableau suivant.

Tableau 7.1b – Particules composant le proton

On peut constater :

- la capacité de certaines particules à remodeler leurs actions en sphères S1 ou S2. tel le quark C78+C79 qui, en perdant ou en gagnant un seul électron, passe d’une « structure S1 » à une « structure S2 ». L’importance des sphères S1 et S2 dans la structure des quarks élémentaires et celle des gluons dans les forces quantiques donnent une idée du rôle que peuvent jouer dans la dynamique quantique du proton, les sphères S78 et S79 ainsi que le quark C78+C79 qui les relie.

- la sphère S78, par gain ou perte d’un électron, oscille entre les complétudes d’actes et d’action ; en perdant deux électrons, elle restructure son action en sphères S2.

- l’imbrication forte et le rôle « catalyseur » de la sphère S18 dans ses interactions avec les sphères S79 et S80 et leurs couches périphériques C79 et C80 ;

- le rôle d’intermédiaire et vibratoire entre les deux sphères S78 des couches électroniques C78, C79 et C80 ;

- la structure naturelle de la sphère S79 sur le module S1 et la complétude d’actes de sa couche périphérique ;

Le tableau ci-dessus met ainsi en évidence la vibration dans le proton de deux sphères S78 arbitrée par la sphère S18 et les couches périphériques C79 et C80, alors que le proton semble figé dans un comportement stérile, ne réalisant par lui-même aucune des complétudes d'actes ou d'action.

7.2 – L’atome d’hydrogène

Cette stérilité apparente du proton, constitué de 269 810 800 triplets, est vaincue par l’annexion d’un électron supplémentaire qui change son destin et fait éclore l’atome d’hydrogène dans l’univers. Nous pourrions dire que, grâce à l’ajout de cet électron, réalisant désormais une complétude d’actes dont il était incapable jusque-là, le proton « sous hydrogène » respire plus librement !

Tableau 7.2a – L’atome d’hydrogène

Le tableau ci-dessous met également en évidence l’importance de la couche électronique C80 qui, ôtée à l’atome, le transforme en une particule gluonique.

Tableau 7.2b – La particule C80 dans l'atome d'hydrogène


7.3 – Les quarks dans l’atome d’hydrogène

Il manque encore la complétude d’action à l’atome d’hydrogène. Les possibilités qui s’offrent à lui pour réaliser cette complétude sont présentées dans le tableau ci-dessous. Il montre les interactions qui se manifestent à l’intérieur de l’atome d’hydrogène, entre sphères et couches électroniques, permanentes, éphémères et/ou possibles ( les sphères S80 et S79 ne peuvent exister en même temps à l’intérieur du proton ).

Tableau 7.3a – Interactions entre particules dans l’atome d’hydrogène

Le tableau met en évidence quatre quarks gluoniques : un quark vert S79 + S18, deux quarks rouges C79 + C80 et S80 + e et un quark bleu S78 + e. L’électron fixé sur S78 ou sur S80 permet à ces sphères d’accéder au statut de particules gluoniques et ainsi d’améliorer considérablement leur capacité d’association et de dialogue avec les autres particules gluoniques par échange de gluons ; le quark C79+C80, charnière entre les sphères S78 et S80, vibre entre - 2 et + 4 gluons et le quark S79+S18 entre + 2 et – 4 gluons.

7.4 – L’atome d’hydrogène dans sa complétude d’actes

Les caractéristiques individuelles des sphères, couches électroniques et quarks qui composent ainsi l’atome d’hydrogène et les observations qui peuvent être faites concernant leur complémentarité ( quarks C79+C80 et S79+S18 ) permettent de construire un modèle reflétant la vibration harmonieuse de l’atome d’hydrogène dans sa complétude d’actes. Le tableau suivant présente ce modèle où l’on voit la vibration alternative des deux sphères S78 dans la complétude d’action et le rôle médiateur des sphères S79, S18 et du quark C79 + C80.

Tableau 7.4a – Vibration de l’atome d’hydrogène

8 - La molécule d’hydrogène

8.1 - Entre complétude d’actes et complétude d’action

Si l’atome d’hydrogène vibre dans une parfaite complétude d’actes, en revanche, la complétude d’action n’est partiellement, égoïstement et alternativement partagée que par les sphères S78 grâce, là encore, à l’électron annexé par le proton.

Le tableau suivant donne les charges de complétude et autres caractéristiques des associations d’atomes d’hydrogène combinées avec les particules C80 et C79. Il montre, notamment, la difficulté de l’atome d’hydrogène à réaliser la complétude d’action par association simple avec d’autres atomes d’hydrogène.

Pour réaliser une complétude d’action mieux partagée tout en préservant sa structure, l’atome d’hydrogène exploite les caractéristiques de la couche périphérique C79 de la sphère S79. En effet, la capture de la particule C79 par un atome d’hydrogène confère à ce dernier un statut tout à fait remarquable puisque, grâce à cette annexion, il devient gluonique par la réalisation de la complétude d’action. De plus, l’action de la particule H+C79 peut être reconfigurée en particules neutroniques élémentaires de 25920 triplets ( quatre quarks élémentaires bleus ). Cette capture ne pouvant se faire au détriment des autres atomes d’hydrogène, les atomes s’associent deux à deux pour vibrer dans l’échange réciproque de leur particule C79 et donner ainsi naissance à la molécule d’hydrogène.

Tableau 8.1a – La complétude d’action de l’atome d’hydrogène

De plus, la molécule ainsi constituée, toujours avide de la particule C79 que chaque atome ne peut annexer individuellement, va à son tour constituer la particule éphémère 2H + C79 pour restructurer son action en sphères S1 assurant ainsi le maximum de « fluidité » aux atomes d’hydrogène. Par ailleurs, la particule 2H + C79 en retrouvant temporairement les charges de complétude d’action de l’atome ( -39 ; + 42 ) participe plus encore à la vibration équilibrée de l’ensemble des atomes et molécules d’hydrogène. On mesure ainsi l’importance de la particule C79 dans les structures du proton, de l’atome et de la molécule d’hydrogène et dans celle du quark qu’elle constitue avec la particule C80.

Mieux qu’un long développement, le tableau ci-dessous présente le modèle vibratoire de la molécule d’hydrogène entre complétude d’actes et complétude d’action et montre le jeu gluonique des particules, les échanges de gluons entre les deux quarks S79+S18 et C79+C80 , le rôle transactionnel et médiateur de la sphère S79 entre les sphères S78 et S80 ainsi que la mobilité du quark C80-C79,

Tableau 8.1b – Vibration de la molécule d’hydrogène

8.2 - Electrovalence de la molécule

La particule C79 de la sphère médiatrice S79 du proton, d’action égale à 4 992 960 triplets et de masse égale à 0,137048415 u, permet à deux atomes d’hydrogène de vibrer ensemble dans la complétude d’action. Cette particule est le vecteur d’électrovalence de la molécule d’hydrogène.

9 - Retour sur la constante de structure fine α

La valeur de la constante de structure fine α est postulée par la théorie développée par l’auteur égale à 27/37 soit 0.729 729 729 proche, au coefficient 10-2 près de la valeur expérimentale donnée par les tables 0.729 735 308 * 10-2 ).

Comme il a été montré, les gluons élémentaires d’actions égales à 27, 64 et 81 triplets gouvernent les interactions entre sphères RBF et donnent aux particules une structure vibratoire entre complétude d’actes et complétude d’action. Ces nombres remarquables sont reliés entre eux de la manière suivante :

64 triplets = complétude d’actes = 27 + 37 = 1 gluon + 37 triplets

81 triplets = complétude d’action = 54 + 27 = 3 gluons

17 triplets = complétude d’action – complétude d’actes

37 triplets = 2 gluons - 17 triplets = 2 gluons + complétude d’actes - complétude d’action

Il est ainsi possible d’écrire les relations liant la constante de structure fine a aux complétudes d’actes et d’action :

111 * α = 3 gluons = complétude d’action

α = 1 gluon / ( complétude d’actes – 1 gluon )

α = 1 gluon / ( 2 gluons + complétude d’actes –complétude d’action )

3 * α / ( α + 1 ) = complétude d’action / complétude d’actes

Il est également possible d’exprimer la valeur de la constante de structure fine α à partir de l’action de la particule neutronique élémentaire de 25 920 triplets, soit quatre quarks élémentaires bleu, et de l’action de la couche périphérique C1, soit 960 triplets, de la première sphère RBF S1 :

α = particule neutronique élémentaire / ( 37 * C1 ) = ( 25 * S1 – 80 ) / ( 37 * C1 )

La couche périphérique C1 qui réalise une complétude d’actes, confère à la sphère S1 une grand attractivité ( rappelons que 2 sphères S1 plus un électron constituent la première particule gluonique ou quark vert ).


En conclusion, il serait sans doute illusoire de vouloir enfermer la dynamique du proton, de l’atome et de la molécule d’hydrogène dans un modèle étroit qui donnerait de cette dynamique une image parfaitement circonscrite et figée. Tous les électrons qui agissent au sein de la particule le font avec la même liberté de mouvement, chacun créant des trous que les autres comblent. L’électron ajouté au proton pour constituer l’atome d’hydrogène n’est que l’expression d’une incomplétude ; une fois annexé par le proton, il abandonne toute personnalité. Tous les électrons obéissent aux principes universels de complétudes d’actes et d’action qui gouvernent la dynamique quantique et dont la constante de structure fine est l’expression.