L' Historiens et les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale en France

Définition des termes du sujet:

L'Historien: personne étudiant l'histoire, c'est à dire les faits du passé, avec une vision objective (neutre).

Les Mémoires: personne ayant vécu l'histoire et ayant ainsi une vision subjective (pas neutre) et voulant parfois oublié leurs souvenirs à travers un refoulement de certains souvenir traumatisant.

Vu que ce sont les mémoires de la Seconde Guerre mondiale, cela se passe après l'avoir vécu, donc la période étudiée est de 1945 à nos jours uniquement en France.

Problématique: Quelles mémoires de la Seconde Guerre mondiale peuvent être identifiés au sein de la société française depuis 1945 ?

La société est un groupe d'humain organisé et hiérarchisé.

I. de 1945 aux années 1970, une mémoire surtout résistancialiste

(Rappel en bas de page)

Il y avait à l'époque environ 40 millions de Français. Ils avaient trois possibilités:

• La collaboration 2%
• La résistance 3 %
• L'attentiste 95 %

1. Le Résistancialisme

Résistance ne signifie pas résistancialisme, la résistance à lieu de 1940 à 1944 alors que le résistancialisme est une idée diffusé entre 1945 et 1970 selon laquelle les français auraient été tous résistant et uni dès les premiers jours de la guerre. C'est une idéalisation de la résistance. Le mot résistancialisme a été crée dans les années 1990.

Il existe deux résistance en France: la Force Française de l'Intérieur (FFI: les maquis, etc...) et la Force Française Libre (FFL: l'armée)

Les vecteurs : moyens de diffusion:

• les témoignages (radio, presse, télévision...) souvent uniquement des résistants
• les livres scolaires (ils ne sont jamais neutre: exemple du développement durable)
• le cinéma (1945 "La Bataille du rail", 1966 Paris Brûle t-il " René Clément, 1966 "La Grande Vadrouille" Louis de Funès, Bourvil)
• les commémorations (plaques de rue, cérémonie, mémoriaux (Ouradour sur Glane, Chassieux en Vercors(800 résistants tués), Les Glières...))

La panthéonisation de Jean Moulin en 1964 sert les intérêt politique de De Gaulle, qui revenu au pouvoir en 1958, veut réunifier les français après la Guerre d'Algérie.

Jean Moulin (1899-1943) avait été chargé par le général De Gaulle d'organisé la résistance française, qui était en France divisé entre les communiste obéissant à Staline, membre du Parti Communiste Français (PCF) (extrême gauche), ceux qui obéissaient au ordres des Américains, et les autres qui écouté le Général de Gaulle, afin qu'ils écoutent tous Charles de Gaulle.

De 1945 à 1970, deux parties politique se partage le pouvoir en France:

• Le Parti Gaulliste, de droite, qui sont en 1945 avec le général de Gaulle qui a été le "premier" résistant, mais qui n'a que le pouvoir légitime mais pas légal, voulant rétablir la démocratie.
• Le Parti communiste Français (PCF) qui est le parti révolutionnaire (comme l'URSS). Ce parti a un passé plus sombre car entre 1939 et 1941 il collaboraient avec les Nazie car le pacte de non-agression entre l'Allemagne Nazie et l'URSS faisait effet, puis une fois que les Nazies ont attaqué l'URSS, ils sont parti en résistance (son chef de parti M. Thorez avait déserté en 1939 les rangs des armées françaises pour rejoindre Moscou). Le parti a fait en 1945 26% de l'électorat français, il se faisait ainsi appeler le "Parti des 75 000 fusillés" pour représentait les 75 000 résistant du parti martyrs de la Seconde Guerre Mondiale, mais la réalité historique ne compte qu'entre 25 000 et 50 000 fusillés de tout parti et de toute religions confondue.

En valorisant la résistance, la France veut justifier sa victoire de la seconde Guerre Mondiale, et ainsi gardé une place importante dans le monde, car ceux sont les vainqueur de celle-ci qui ont les sièges au conseil de sécurité permanent de l'ONU (USA,Russie, Royaume-Uni, France, Chine)

Pour De Gaulle et pour le PCF, il y a une exploitation de la mémoire.

2. Des mémoires occultés jusqu'à la fin des années 1960

De la fin de la Seconde Guerre Mondiale à la fin des années 60, il est tabou en France de parler de la collaboration et des juifs qui en sont sorti traumatisé, ils ne peuvent pas s'exprimer afin de garder une mémoire nationale de la France résistante.

a) Les mémoires de la collaboration, de sa liquidation à son occultation.

Les français préfèrent oublier la collaboration car elle est considérée comme une honte nationale, de plus, on considère que les collabos ont été puni à la fin de la guerre lors de Épuration de 1944 à 1946.

L'Épuration est la punition des collaborateurs qui sont considérés comme des traitres.

Il existe deux types d'Épuration:

• La Spontanée (ou extra-judiciaire, ou sauvage) : environ 9 000 morts (chiffres officiel mais on peut aller jusqu'à 30 000 selon certains historiens). Elle est caractérisé par une vengeance directe du peuple envers ceux qu'il considère comme collaborateurs, il n'y a pas de jugement. Les miliciens sont les plus recherché, mais il y a aussi 20 000 femmes humiliés en public (rasé,tondu,violé...) auquel on reproche une collaboration horizontale, c'est a dire d'avoir couché avec des allemands (il y a eux entre 100 000 et 200 000 naissance de ces relations nés après la guerre).
• La Légale (ou officielle) : Lorsque de Gaulle revient en France, il fait en sorte que cette vengeance soit encadrer, il y a ainsi 125 000 personnes jugé, 1 600 à la peine de mort, 13 000 en travaux forcé, 25 000 en prison et 50 000 privé de leurs droit de vote. Le procès de Pétain à lieu en Juillet 1945, Pétain qui avait été rapatrié en Allemagne par Hitler revient en France afin d'être jugé. Dedans ce procès, Pétain, âgé alors de presque 90 ans, rappelle qu'il n'est pas à l'origine de la défaite française et qu'il avait le pouvoir légal. Il se présente comme victime des Nazies : la théorie du Glaive et du Bouclier, où De Gaulle et le Glaive attaquant l'ennemi et Pétain et le Bouclier protégeant le peuple français. Pétain été condamné à mort mais De Gaulle lui donne la prison à perpétuité. Pierre Laval, premier ministre de Pétain, est quand à lui fusillé.

L'Épuration n'a satisfait personne: trop de morts pour les uns mais pas assez pour les autres. De plus certains français l'on subit plus que d'autres : les gens du peuple (sans-grades), les intellectuel de droites ayant mis leurs talent au services des collabos,... Les patrons français qui ont collaborer pour les affaires ont peut été touché: ils n'avaient pas le choix sinon leurs entreprises été délocaliser en Allemagne et les employer faisait le S.T.O.. Renault a été nationalisé en 1945 sous prétexte que sa production a été donné Allemand, mais en réalité afin de redonner de la richesse à l'État. La haute administration n'a pas été épurée, car pour refondé économiquement un pays, il faut des personnes capable de gérés un État, par exemple, sur les 46 000 policiers, 1800 sont chassés de la polices, mais les Juges servent De Gaulle comme ils ont servi Pétain. En 1951 et 1953 il y a une amnistie des français collaborateurs, ils sont pardonnés afin de tourné la page de l'histoire. Le film "Nuit et Brouillard" 1953 de Alains Resnais est par exemple censuré afin de ne pas faire polémique sur la vision des policiers français au côté des forces allemande.

b) La mémoire de la déportation Juive

La "Shoah" (Catastrophe en hébreux) ou "Solution Finale au problème juif" est le nom donné au génocide juif de la seconde guerre mondiale. Un génocide est une destruction planifié d'un groupe pour des raison politique, religieuse... Après la Seconde Guerre mondiale, on ne parle alors en France que des déportés en Allemagne sans en précisé l'origine ethnique de des populations déportés. Les juifs rescapée ne veulent pas en parler (ils ne veulent pas se distinguer des autres victimes de la guerre) et ne peuvent pas en parler (événement traumatique qui donne un refoulement car on ne peux pas les comprendre). Cependant des écrivains juif comme l'italien Primo Levi "Si c'est un homme" 1947 ont essayé de parler de leurs déportation mais la société française n'est pas prête à parlé de ça. Pour réconcilier la nation on dis alors qu'ils ont tous été victime sans distinction.

1945: Pas de distinction entre les déportés (tabou), mais il y a 1,5 millions de prisonniers de guerre, 600 000 personnes du STO, des déportés politique et raciaux.

c) Les autres mémoires

Par exemple les Alsaciens Lorrains, qui sont appelés "Les Malgrès-nous" car ayant été à la Prusse (ancienne Allemagne) de 1870 à la fin de la première guerre mondiale puis sont récupérés comme territoire allemand en 1940. Ils sont ainsi envoyés sur le front russe de 1940 à 1941;

Il y a aussi les français victimes des bombardements alliés. En effet, vu que les USA bombardent les lieux stratégiques de jour, mais en très haute altitude, ils ne pouvaient être que très peu précis et leurs bombes touchaient souvent des maisons, ce qui fit 70 000 victimes au total. Les britanniques bombardant quant à eux de nuit, mais en basse altitude, pouvaient être plus précis pour viser les usines, etc...

II. La reconnaissance de la pluralité des mémoires depuis les années 1970

1) La reconnaissance de la mémoire de la "Shoah"

En 1940, il y a 330 000 juifs en France dont 190 000 sont des juifs français, les autres viennent ce réfugié en France et arrivent d'Europe centrale et Oriental. Sur les 80 000 déportés entre 1941 et 1944, il y a 69% de juifs étranger, mais seulement 2 500 reviennent vivant en 1945.

- Les Acteurs

Le principal acteur de la reconnaissance de la mémoire des juifs est l'État d'Israël, pays fondé en 1948 par l'ONU qui est créée sur les terres palestiniennes au moyen orient, ce qui fait crée des tensions entre Israël et le monde Arabe. En effet, en plus d'avoir une différence de religions entre juif et le moyen orient, ils ont récupéré ces Terres et possède la défense internationale car le peuple juif est pris comme faible car ayant été ceux qui ont le plus subit la Seconde guerre mondiale.

Cependant, en 1967 l'État Israélien, ayant été informés par les USA d'une possible attaque de la part des pays du monde arabes qui l'entoure, prend l'offensive: c'est la "Guerre des 6 jours". L'Israël qui gagne cette guerre s’empare de l'État Palestiniens, du Sud Liban, de la Syrie et du Sinaï Égyptiens, mais cette victoire affaiblie la situation internationale d'Israël. En effet, le pays avait été construit afin de recueillir les rescapés juifs de la seconde guerre mondiale alors qu'ils sont capables de gagner une guerre. L'ONU condamne les récupérations des territoires qu'a fait Israël et lui demande de rendre les terres confisqués. De Gaulle déclara même: " les Juifs, un peuple sûr de lui-même et dominateur ".

En 1961 a eut lieu le procès Eichmann en Israël, Identifié en Amérique Latine, il était un Naziste responsable des génocides juif. Son procès, hautement diffusé, fait libéré la parole. En effet lors de celui-ci, les juifs témoignent leurs malheurs, victimes de Eichmann. Il fut pendu le 31 mai 1962. Cela fit rappeler leurs mémoires sur la seconde guerre mondiale à l'ensemble des juifs.

Les enfants de déportés sont aussi des acteurs de la mémoire de la Shoah, par exemple Serge et Beate Klarsfeld ont crées en 1979 une association : "fils et filles de déportés juifs de France" dont la mission est de reparler de la Shoah, de traquer les criminels ayant tué des juifs pendant le guerre et faire un travail de dédommagement financier. Ils veulent par exemple que la France dédommage les enfants victimes de la Shoah, comme en 2014 lorsque la SNCF a du payer 60 millions de dollars aux déportés. La revendication est mémoriel et/ou financière.

Lors du Procès de Nuremberg, 1945-1946, on fit deux condamnement:

• Les Crimes de Guerres, comportement contre la convention de Genève de 1929, qui sont, au bout de 20 ans, prescriptible (c'est à dire non punissable)
• Les Crimes contre l'humanité, le Génocide, il est quant à lui imprescriptible (l'exemple de Klaus Barbie dont le procès à lieu en 1987 et meurt en 1991 à 77 ans)

À partir des années 70, les médias aussi s'empare de la Shoah, tout d'abord avec des documentaires, puis des films tel "Chagrin et la Pitié" 1971, "Shoah" 1985,"Nuremberg à Nuremberg" 1989, ... et aussi au cinéma, avec "le Journal d'Anne Franck" dès 1959, "Mr Klein" 1976, "La liste de Schindler" 1993 Spielberg,... Il peut ainsi y avoir une obsession mémorielle.

L'État est aussi influencer par l'opinion public, ce sont les lobbyings: ce sont des groupes de personnes qui font pressions pour faire triomphé leurs intérêts. Il indemnise, restitue et instaure la mémoire dans les programmes scolaires (3éme, 1ére et Terminale).

2) Le resurgissement de la mémoire de Vichy et de la collaboration

Il y a des conflits mémoriels depuis les années 70. En effet le resurgissement de la collaboration est une conséquence du réveil de la mémoire de la Shoah car cela fait parler les Juifs sur les policiers/collabos Français. De plus, la mort du Général de Gaulle libère les paroles de son aura, le résistancialisme meurt avec lui.

La nouvelle génération issus du "Baby Boom" sont contestataire de l'autorité, de tel façon que dans le monde à lieu de nombreuse manifestation de jeunes étudiant comme mai 68. Ils remettent en cause toutes les choses dites par leurs parents, l'école,... Le mouvement de 68, ayant pour slogan "Interdit d'interdire" était menée par Daniel Cohn Bendit.

Il y a aussi, à partir des années 70, une nouvelle génération d' historiens qui font des mémoires, ils n'ont pas connu la guerre et en parle sans en être influencer. Par exemple Robert Paxton écrit en 1973 "La France de Vichy" qui présente de manière épouvantable le régime de Vichy: régime antisémite, très répressif car il pourchassé ces ennemis, selon lui Pétain n'a pas réussis sa mission de bouclier. Il y a aussi Marcel Ophuls avec sa réalisation "Le chagrin et la pitié" 1969, qui est un documentaire, de 4h30 avec 36 témoins, sur la ville de Clermont-Ferrand sous l'occupation. Ce documentaire est censuré et interdit de diffusion à la télévision de 1971 à 1981 mais est autorisé au cinéma, il met en valeur les gens influent de Clermont-Ferrand qui étaient plutôt en bon termes avec les Allemands, une partie des français étaient antisémites. Il interviewe aussi d'ancien collaborateur ce qui brise le mythe du résistancialisme français.

La conséquence de ce réveil des mémoires est que l'on passe d'une légende dorée de la seconde guerre mondiale, à une légende sombre: d'une "France des héros à une France des salauds"

3) Une approche historique plus équilibrée

A) La Résistance

La résistance se renforce tout au long de la guerre. En 1940, on ne comptabilise presque aucun résistant, De Gaulle lors de son appel le 18 juin est considérée comme le premier résistant français. En 1941, le communisme, qui était alors avec Hitler car l'URSS était en pacte de non agression depuis 1939 avec l'Allemagne Nazie, bascule dans la résistance suite à l'attaque allemande de l'URSS. En 1943, avec la victoire de l'URSS à Stalingrad, l’Allemagne est en mauvaise position, elle crée alors le STO et les jeunes qui ne veulent pas y allez rejoignent les maquis, ce qui fait qu'en 1945, il y a 3% de la population résistante.

La résistance agissez de marnière de plus en plus élaboré, elle a commencer par de l'espionnage pour les alliés, des filières d'évasions, de la contre propagande comme par exemple via radio Londres, car les médias étaient contrôlait par les allemands et le gouvernement de Vichy. À partir de 1943, il y a des sabotages fait par exemple sur des voies Férée ou des ponts et en 1944 la résistance se mets a attaqué les allemands.

B) La collaboration

Le collaborateur n'est pas la même personne que le collaborationniste, le collaborationniste est l'idéologie de la collaboration, ce sont des Nazis français, comme par exemple Doriot ou Laval, qui était de gauche.

Il y a eu aussi une collaboration d'État: collaboration policière, militaire (légions des volontaires) des français contre le bolchevisme (LVF) qui ont fini dans les SS dans la division Charlemagne.

Hitler faisait du chantage à Pétain car il possédé de nombreux prisonniers de guerre. La France et l'économie française travaillait pour l'Allemagne Nazis. Pétain à mis un régime réactionnaire, c'est à dire hostile à la république, tel était la devise "Travail, Famille, Patrie".

Beaucoup de français ont collaborer par opportunisme, afin d’améliorer leurs vie quotidienne pour obtenir plus de tickets de rationnement, en échange de service.

Les "Vichysto-Résistant" sont ceux qui ont changé de camps pendant la guerre, par exemple François Mitterrand, 1er candidat de gauche à être élu en 1981 était collaborateur au début de la guerre, ayant même reçu sous Vichy la Franciscain en 1943, mais il est avec la résistance en 1945.

La Seconde guerre a mondiale est une réalité complexe. C'est une guerre idéologique: système de penser cohérent déterminant le comportement de ces adeptes, ceux qui ne la partage pas sont des ennemis du régime. Il y a aussi un traumatisme de la défaite. La Seconde guerre mondiale s'inscrit dans l'histoire longue de notre pays.

4) Une approche sociétale non-apaisée: Procès, lois mémorielles et repentance

social (en rapport des richesse) ne signifie pas sociétale qui est une évolution de la société en fonctions des mentalités.

A) Les Procès

Quelques exemples de procès: 1972: le milicien Paul Touvier, 1979: Jean Leguay, 1983: Klaus Barbie, 1993-94 René Bousquet, Paul Touvier

Maurice Papon, dont le procès a eux lieu de 1981 à 1997 était un vichysto-resistant. Il était en 1942 secrétaire général à Bordeaux et sous son gouvernement, 1600 juifs de Bordeaux ont été déportés via 12 convois vers Drancy. Il fut par la suite en 1945 et 1946 préfet de Corse et reçu en 1961 la légion d'honneur de De Gaulle et finalement de 1978 à 1981 il était ministre du budget. Des associations décident de mettre Papon à la Justice en 1981, en 1983, il est inculpé de crime contre l'humanité et on ne juge pas qu'il a aidé des juifs en 1944. Il meurt en 2007.

Ces procès ont fait polémiques, des associations de déporté disent qu'il faut les jugés, et d'autres disent que le temps est passé et que l'on peut oublier ces crimes.

B) Les lois mémorielles

Ce sont des lois voté par le parlement pour sanctionner certains propos. En 1979 Robert Faurisson, professeur de lettre, ne croyais ni au chambres à gaz ni au génocide juif. Il était révisionniste, c'est à dire qu'il était dans une position idéologique qui tend à minimiser le génocide des Juifs par les nazis et prétend réviser l'histoire sur ce point. On le trouve aussi comme négationniste, car il nie ainsi les crimes contre l'humanité.

La Loi Gayssot de 1990 interdit de nié l'histoire des génocides, elle a tendance à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe. C'est une loi contre le négationnisme. Cette loi fit polémique sur les lois liberticide gênant la liberté d'expression. Par la suite d'autre lois mémorielle ont été signé, comme la loi Taubira en 2001 qui reconnaît le génocide Arménien, et qui reconnaît que l'esclavage a été un crime contre l'humanité.

C) La Repentance

Ce sont des excuses faites pour ce qui s'est passé dans le passé, par exemple des présidents s'implique dans des conflits mémoriels. Le 1er est François Mitterand, qui en 1992 lors de la première commémoration de la Rafle du Vel d'Hiv de 1942, reconnaît la République responsable du régime de Vichy. Puis en 1995 c'est au tour de Jacques Chirac de faire cette commémoration. Il en suit une surenchère des discours mémoriels. En 2005 est construit, en plein Paris, un mémorial de la Shoah.

Conclusion

La Seconde Guerre Mondiale a traumatisé le peuple français. De 1945 à 1970, le peuple français adopte une mémoire résistancialiste. Ce n'est qu'après 1970 qu'une pluralité des mémoires apparaît. L'historien pour reconstitué une histoire objective est obliger de tenir compte des mémoires.

Les problèmes de mémoire ne sont pas encore tous réglé, il y a un certains nombres de chose de l'histoire qui pose des conflits mémorielles: la colonisation, la décolonisation (Guerre d'Algérie), l'esclavage ... La mémoire peut-être récupérer a des fins financière et politique. Plus une société est constitué de groupes avec une mémoire différente, plus il t a des conflits mémoriel, par exemple en 2017 a eu lieu une manifestations à Charlottesville en Virginie, des groupes d'Américains voulait enlever une statue d'un militaire américain sudiste lors de la guerre de Sécession, c'est a dire qu'il était pour l'esclavage, mais il a aussi été un héros de guerre pour le peuple sudiste, il y a eu 1 mort.

Traumatisme→ résilience (refoulement) → Anamnèse (= retour brutal du souvenir traumatique)→ Obsession mémorielle