Radier

Pour des informations techniques sur les fondations : cliquer ici

12 juin

Après avoir encore dû refuser une première toupie de béton qui ne possédait pas la bonne granulométrie (les gars commencent à avoir l’œil et ne font plus de cadeaux !), le rattrapage du radier a pu être effectué, en fin de journée (18h30 au lieu de 15h45 !). Avec le bon béton, le tapis roulant, le débulleur et le commercial qui donne également un coup de main, le travail avance vite et le résultat est bien lisse. Pour finir, un produit de cure est pulvérisé pour ralentir la prise du béton et ainsi minimiser l'apparition de fissures.

Les efforts ont été concentrés sur la périphérie du radier, sur lequel vont reposer les murs d'ossature. Le centre de la dalle n'est pas repris car il est déjà un peu trop haut à cause des irrégularités et nous n'avons pas assez de béton pour relever l'ensemble ; il fera de toute façon l'objet d'un ragréage avant de mettre les revêtements de sols définitifs. Le résultat final est donc un peu inesthétique et nécessitera quelques petites adaptations sur la suite du travail, ce qui est décevant pour nous mais le travail sur l'ossature bois va enfin pouvoir commencer ce week end, c'est le principal !

7 juin

Suite à discussion avec le fournisseur, la solution suivante a été négociée : une nouvelle toupie de béton sera livrée mercredi 12 juin pour rattraper la dalle sur environ 5 cm supplémentaire. Le béton sera cette fois auto-plaçant (croisons les doigts), fibré (ce qui est mieux que ce qui était prévu initialement), et déposé avec un tapis roulant (12 mètres) pour faciliter le travail. Nous faisons déduire la différence de coût entre les toupies de béton auto-plaçant et le béton normal coulé en début de semaine mais un léger surcoût reste malgré tout à notre charge (environ 200 euros). Au total, le chantier accuse un retard d'une semaine environ mais le résultat devrait être satisfaisant. Nous pourrons repartir la semaine prochaine sur de bonnes bases ! (au propre comme au figuré...)

3 juin

Le ferraillage et le coffrage sont fin prêts pour recevoir le béton... normalement auto-plaçant. Mais les toupies livrées ne contiennent pas le béton prévu, qui est beaucoup plus épais qu'attendu ; les galères commencent ! Les gars travaillent dur pour tirer et répartir le béton, et suivre la cadence des livraisons ; étant donné la consistance du béton, le travail est beaucoup plus long et pénible que prévu. Le commercial au téléphone n'explique pas la situation, malgré les appels de Robin tout au long de l'après-midi.

Au final, le radier est coulé mais son état de surface n'est pas lisse, il faudra le reprendre avant de commencer l'ossature bois. Nous sommes actuellement en négociation avec le fournisseur pour qu'ils viennent constater la situation et trouver la meilleure solution.

2 juin

Les fondations du garage et les plots de la terrasse sont ferraillés.

Du 21 au 31 mai

Poursuite du ferraillage de la dalle (deux nappes espacées de 15 cm), fouille et ferraillage pour les poteaux de la terrasse.

Les fondations du garage sont également creusées, à la pelle.

Nota : Cette période du chantier est un peu ralentie par l'arrivée du bébé... (cf. Les coulisses) Le coulage du radier, normalement prévu le vendredi 24 mai, est reporté au lundi 27, puis finalement au lundi 3 juin).

Week end du 18, 19 et 20 mai

Réalisation du coffrage de la dalle à partir de montants de bois d'ossature, pose d'un polyane et mise en place de la première nappe de ferraillage (ST25C).

Finalement, les essais avec les espaceurs sur la première plaque ne sont pas concluants : les étoiles, trop fines, se logent dans les irrégularités de la couche de verre cellulaire et ne permettent pas d'espacer correctement (3 cm) la première nappe de ferraillage du polyane. En remplacement, des petites pierres sont utilisées pour surélever la première nappe, cela devrait être suffisant pour un bon enrobage des fers au moment du coulage de la dalle.

16 et 17 mai

Egalisation et compactage final du Misapor.

14 et 15 mai - Isolation du radier

Les réseaux sont placés définitivement sur la plateforme, recouverte d'un géotextile.

Le Misapor (cf. Choix et solutions techniques) est déversé et réparti manuellement (brouettes et râteaux) sur un peu plus de 35 cm d'épaisseur (mesures au laser). Un travail de titan !

Nous effectuons un compactage à mi-parcours.

13 mai - Livraison du Misapor (verre cellulaire)

Les 90 m3 de verre cellulaire (Misapor) arrivent de Suisse par un semi-remorque... qui ne passe malheureusement pas le dernier virage avant le terrain ! Nous savions que ce serait délicat.

Il faut donc décharger le contenu ailleurs : la scierie à côté de chez nous accepte que nous déposions le matériau chez eux, un artisan local nous prête un Manitou et nous louons un camion benne pour le lendemain.

Le semi-remorque a du mal à repartir et s'enlise dans les copeaux de bois, la Logan ne suffira pas à le tirer, il faudra sortir la mini-pelle !