Aider notre association, faire un don

Notre association refuge est une petite structure ,nous hébergeons,nourrissons et resocialisons plus d'une centaine d' animaux ,avec les frais que cela implique (frais de vétérinaires, de nourriture, de matériel, travaux etc...)

Ces animaux sont pour la plupart là pour de longs séjours au vu des maltraitances subies, handicaps ou traumatismes psychologiques.

Il y a des chiens( stérilisés), chats(stérilisés), chèvres, boucs (castrés), chevaux (les mâles sont castrés),poneys (les mâles sont castrés) , bovins (sauvés de l'abattoir ou handicapés, alpagas, volailles (souvent sauvées d'abattoir,de maltraitance ou arrivées suite à des soucis de voisinages),des oiseaux d'ornement (arrivés suite à conflit de voisinage,décès du propriétaire, etc...)

Toute aide est la bienvenue, cela peut être une aide en nature (croquettes, aliment pour chevaux, grains pour volailles, fourrage, boîtes pour chiens ou chats, litière pour chat, niches pour chiens, arbres à chats, caisses de transport pour animaux, grillage, licols et longes pour chevaux et poneys, laisses pour chiens, conteneurs pour stocker du grain, panières, nichoirs pour oiseaux,etc..

Les adhésions à l'association sont très utiles car elles nous permettent de faire connaitre nos actions,n'hésitez pas à faire connaitre notre association.


Comment faire un don?

Vous pouvez adresser un chèque à l'ordre de notre association:

Association la Petite Bohème

Lieu dit Chavat

01320 Chatillon la Palud


Pour faire un virement:

IBAN: FR19 2004 1010 0715 8576 1B03 870

BIC: PSSTFRPPLYO Titulaire du compte la Petite Bohème

Après quelques temps, tu apprendras la différence entre tendre la main et secourir

une âme. Et tu apprendras que aimer ne signifie pas s’appuyer, et que compagnie ne signifie pas toujours sécurité.

Tu commenceras à apprendre que les baisers ne sont pas des contrats, ni des cadeaux, ni

des promesses…

Tu commenceras à accepter tes échecs la tête haute, comme un adulte, et non avec la tristesse

d’un enfant.

Et tu apprendras à construire aujourd’hui tes chemins, parce que le terrain de demain est

incertain, et ne garantit pas la réalisation des projets, et le futur à l’habitude de ne pas tenir ses promesses.

Après un certain temps, tu apprendras que le soleil brûle si tu t’y exposes trop.

Tu accepteras le fait que même les meilleurs peuvent te blesser parfois, et que tu auras à leur pardonner.

Tu apprendras que parler peut alléger les douleurs de l’âme.

Tu apprendras qu’il faut beaucoup d’années pour bâtir la confiance, et à peine quelques secondes pour la détruire, et que, toi aussi, tu pourras faire des choses dont tu te repentiras le reste de ta

vie.

Tu apprendras que les vraies amitiés continuent à grandir malgré la séparation. Et que ce qui compte, ce n’est pas ce que tu possèdes, mais qui compte dans ta vie…

Et que les bons amis sont la famille qu’il nous est permis de choisir.

Tu apprendras que nous n’avons pas à changer d’amis, si nous acceptons que nos amis changent et évoluent.

Tu expérimenteras que tu peux passer de bons moments avec ton meilleur ami en faisant

n’importe quoi, ou rien, seulement pour le plaisir de jouir de sa compagnie.

Tu découvriras que souvent nous prenons à la légère

les personnes qui nous importent le plus ; et pour cela

nous devons toujours dire à ces personnes que nous les aimons, car nous ne savons jamais si c’est la dernière fois que nous les voyons…

Tu apprendras que les circonstances, et l’ambiance

qui nous entoure, ont une influence sur nous, mais

que nous sommes les uniques responsables de ce que nous faisons.

Tu commenceras à comprendre que nous ne devons pas nous comparer aux autres, sauf si

nous désirons les imiter pour nous améliorer.

Tu découvriras qu’il te faut beaucoup de temps

pour être enfin la personne que tu désires être, et que le temps est court…

Tu apprendras que si tu ne contrôles pas tes actes, eux te contrôleront, et que être souple ne signifie pas être mou ou ne pas avoir de personnalité : car peu importe combien délicate ou complexe soit une situation, il y a toujours deux manières de l’aborder.

Tu apprendras que les héros sont des personnes qui ont fait ce qu’il était nécessaire de faire, en assumant les conséquences.

Tu apprendras que la patience requiert une longue pratique.

Tu découvriras que parfois, la personne dont tu crois qu’elle te piétineras si tu tombes, parfois est l’une des rares qui t’aideras à te relever.

Mûrir dépend davantage de ce que t’apprennent tes expériences que les années que tu as vécu.

Tu apprendras que tu tiens beaucoup plus de tes parents que tu veux bien le croire.

Tu apprendras qu’il ne faut jamais dire à un enfant

que ses rêves sont des bêtises, car peu de choses sont aussi humiliantes ; et ce serait une tragédie s’il te croyait, car cela lui enlèverait l’espérance !

Tu apprendras que, lorsque tu sens de la colère et de la rage en toi, tu en as le droit, mais cela ne te donne pas le droit d’être cruel.

Tu découvriras que, simplement parce que telle personne ne t’aime pas comme tu le désires,

cela ne signifie pas qu’elle ne t’aime pas autant qu’elle en est capable : car il y a des personnes qui nous aiment, mais qui ne savent pas comment nous le prouver…

Il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres, parfois tu auras à apprendre à te

pardonner à toi-même…

Tu apprendras que, avec la même sévérité que tu juges les autres, toi aussi tu seras jugé et, parfois, condamné…

Tu apprendras que peu importe que tu aies le cœur brisé, le monde ne s’arrête pas de tourner.

Tu apprendras que le temps ne peut revenir en arrière. Tu dois cultiver ton propre jardin et décorer ton âme, au lieu d’attendre que les autres te portent des fleurs…

Alors, et seulement alors, tu sauras ce que réellement tu peux endurer ; que tu es fort, et que tu pourras aller bien plus loin que ce que tu le pensais quand tu t’imaginais ne plus pouvoir avancer !

C’est que réellement la vie n’a de valeur que si tu as la valeur de l’affronter !

William Shakespeare

(1564 - 1616)

Théodore Monod

«Ce qu'on peut critiquer, c'est cette prééminence exclusive donnée à l'homme, car cela implique tout le reste. Si l'homme se montrait plus modeste et davantage convaincu de l'unité des choses et des êtres, de sa responsabilité et de sa solidarité avec les autres êtres vivants, les choses seraient bien différentes.»

«Pourquoi reconnaître des droits à l’animal implique-t-il nécessairement qu’on l’identifie à l’homme ? En dépit de nos différences, ne peut-on pas tout simplement lui accorder le droit de vivre, d’exister ?»