Mer et Marine, 10/07/2024
« Les services de l’État savent sans doute ce que fait ce bateau et ils ont donné le feu vert », expliquait Régis Lerat. Le Shtandart avait alors tout juste obtenu son changement de pavillon pour celui des îles Cook, obtenant ainsi une validation informelle du secrétariat général de la Mer (SGMer).
Le Télégramme, 08/07/2024
« Les services de l’État savent sans doute ce que fait ce bateau et ils ont donné le feu vert », expliquait Régis Lerat. Le Shtandart avait alors tout juste obtenu son changement de pavillon pour celui des îles Cook, obtenant ainsi une validation informelle du secrétariat général de la Mer (SGMer).
Ouest-France, 08/07/2024
Le bateau a surtout profité de l’indulgence du Secrétariat général de la mer, un organisme dépendant du cabinet du Premier ministre et dirigé par l’ancien préfet de police de Paris, Didier Lallement. Celui-ci expliquait récemment au journal Le Télégramme que le bateau « n’est pas concerné par le paquet de sanctions adoptés contre la Russie » parce qu’il « n’a jamais été lié à un intérêt russe dans le sens entendu par le règlement européen ».
Ouest-France, 25/06/2024
Depuis le 12 avril toutefois, la France, via son Secrétariat général de la mer (SGmer), une structure interministérielle, avait revu sa position, conditionnant « l’entrée du Shtandart dans les ports français […] à son changement de pavillon, afin de prévenir tout trouble à l’ordre public ».
Le Parisien, 25/06/2024
Pour rappel, une décision du secrétariat général de la mer avait, le 12 avril, posé en principe l’interdiction de tout navire sous pavillon russe dans les ports français, sauf s’il venait à changer de pays d’immatriculation. Une décision incomprise par l’équipage du trois-mâts de 34,5 m de long, qui navigue depuis sa construction à travers le monde et les festivités maritimes en tous genres.
Le Télégramme, 24/06/2024
Le secrétariat général de la Mer, via la préfecture maritime, vient de donner son accord parce que le Shtandart a respecté son engagement : entrer dans la rade de Brest et s’amarrer au quai sous un autre pavillon.
Lutte ouvrière, 08/05/2024
Si La Rochelle et quelques autres ports ont jusqu’ici accueilli ce réfugié des mers, une décision du Secrétariat général de la mer, dirigé par le préfet Didier Lallement, sous prétexte d’éviter « les troubles à l’ordre public » – comprenez : de gêner les russophobes – lui interdit à partir du 3 mai tout accès aux ports français, à moins qu’il ne change de pavillon… et lui refuse dans l’immédiat le pavillon français.
Actu Nautique, 29/04/2024
Le "Shtandart" sera-t-il à la Grand'Escale de Fécamps 2024 ?
Jamais la question de son arrivée n'a été aussi incertaine. La raison ? La décision du Secrétariat général de la mer, le 12 avril dernier, d'interdire l'accès des ports français aux navires battant pavillon russe, à moins qu'ils ne changent de pays d'immatriculation.
Sud-Ouest, 27/04/2024
Une décision du Secrétariat général de la mer qui, le 12 avril, a posé le principe d’interdiction du navire sous pavillon russe dans les ports français, sauf s’il change de pays d’immatriculation.
Le Télégramme, 23/04/2024
« Le Shtandart n‘est plus autorisé à faire escale en France sauf s’il change de pavillon. Il s’agit d’une décision interministérielle qui date de mi-avril », indique le bureau de la représentation de l‘État et de la communication interministérielle.
France 3, 18/03/2023
D'Aboville : "La réponse est claire : le Shtandart n'est pas un navire de charge ni de plaisance, il a le droit de stationner dans un port français. Cet argument a été entériné par le secrétariat général de la mer, celui des affaires européennes, les affaires maritimes."
La Croix, 18/03/2023
Le cas du Shtandart est suivi de près par le secrétariat général de la mer parce qu’il suscite des questions, indique un porte-parole de la préfecture maritime d’Atlantique. Il est considéré comme un navire-école, réplique d’une frégate du XVIIIe siècle. Le capitaine est considéré comme un opposant au régime russe. La Direction générale des affaires maritimes place le navire hors du champ de la Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer (Solas)