Pour usage personnel aucune garantie
Jugement d’experts
Elle à besoin du cycle de development, donc du découpage temporel. Elle a besoin de se comnparer à des projets similair pour déduire les estimations. Estimation se fait en général au niveau du projet ou domaines. On n'a donc pas besoin d'un découpage fin du projet.
Basée sur le cycle de développement. Estimation en proportion ou pourcentage de la charge globale du projet et sont déduite des projets antérieurs qui ont des similitudes.
3 méthode d’estimation
Estimation de la charge globale (par exmple avec Delphi) du projet à répartir dans le temps
Évaluation d’une phase et déduction des autres
Estimation des phases à venir à partir du temps déjà écoulé (Technique pour révisé les charges)
Estimation en fonction de la taille du logiciel
Charge = a × (Nombre d’instruction source)b
Projet simple : nombre d’instructions source < 50 000
Estimation du domaine : 2 000 instructions source
Charge = 2,4 (2)1,05 = 4,1 mois/personne = 82 j/p
(Pour des jours/personne, 1 mois = 20 jours, donc 4,1 mois/personne * 20 jours = 82 j/p)
Estimation par comptage des points fonctionnels
Ne s’applique pas car on n’a pas de connaissances sur les …
GDI Groupe de données interne
GDE Groupe de données externe
GDR Groupe de données référencées
ENT Entrée
SOR Sortie
INT Interrogation
DE Données élémentaires
SLD Sous-ensembles logiques de données
PFB Points de fonction brut
CGS Caractéristiques générales du système
DI Degré d’influence
DIT Degré d’influence total
FA Facteur d’ajustement
3.8.2 La complexité et le nombre de points de fonction
Un GDI ou un GDE est composé de données élémentaires (DE), qui correspondent aux propriétés d’une entité conceptuelle ou logique. On compte une DE par champ, y compris pour les clés étrangères.
On peut parfois identifier plusieurs sous-ensembles logiques de données (SLD) à l’intérieur d’un GDI/GDE. Un SLD est un sous-groupe de données élémentaires reconnaissable par l’utilisateur. Dans un modèle de classes UML, un SLD peut être assimilé à une entité spécialisée : on compte un SLD pour l’entité générale et un SLD par entité spécialisée.
La complexité d’un GDI ou d’un GDE est fonction du nombre de DE et du nombre de SLD, selon la figure 3.11.
Une ENT utilise, en lecture ou mise à jour, différents groupes logiques de données, internes ou externes (GDI ou GDE), que l’on appelle de façon générale des GDR, groupes de données référencées. Une SOR ou une INT utilise, en lecture uniquement, différents GDR.
La complexité d’une ENT, d’une SOR ou d’une INT est fonction du nombre de DE et du nombre de GDR impliqués, selon le tableau :
Le tableau suivant donne, selon son degré de complexité, le nombre de points de fonction correspondant à chaque composant fonctionnel.
La première étape de la méthode des points fonctionnels est un dénombrement des différents composants fonctionnels et de leur degré de complexité : la somme des points de fonction de chaque composant est appelée nombre de points de fonction brut (PFB).
La seconde étape, qui est facultative, consiste à ajuster l’évaluation obtenue. On corrige le nombre de points de fonction brut, en appréciant les spécificités du projet pouvant influer sur l’effort. Ce sont des fonctionnalités techniques et ergonomiques fournies à l’utilisateur de l’application. La méthode en identifie quatorze, appelées CGS, caractéristiques générales du système. Chacune se voit attribuer une note, comprise entre 0 et 5, en fonction de l’influence qu’elle exerce : on l’appelle le DI, degré d’influence. Les CGS comprennent : la complexité des réseaux utilisés, une éventuelle répartition des données ou des traitements, le degré de performance attendu, les volumes de traitement, les exigences de convivialité pour les utilisateurs, les attentes en matière de paramétrage et de portabililité, et la facilité d’exploitation.
L’analyse des caractéristiques permet de calculer un degré d’influence total, le DIT, compris entre 0 et 70 :
DIT = Somme (DIi) avec i = 1 à 14.
Le facteur d’ajustement FA permet d’ajuster le nombre de points de fonction brut (PFB) de + ou – 35% :
FA = 0,65 + DIT/100
pour obtenir le nombre de points de fonction ajusté (PFA) :
PFA = FA × PFB
Chaque caractéristique isolément ne peut faire varier le nombre de PFB que de 35/14 = 2,5 %. Ce point a fait l’objet de discussions, car certaines caractéristiques peuvent peser beaucoup plus lourd.
Directement imputables à un lot de travail : Charge des travaux
Exemple :
Coût du travail = Charge x Taux horaire
Frais de déplacement
Frais de formation
Locations d’équipements pour un lot
La majoration inhérente au temps supplémentaire (ex. si l’on impose une date butoir…)
Ressources des organisations utilisées pour un projet particulier et qui ne sont pas directement affectées par une tâche précise
Exemple :
Salaire du gestionnaire de projet
Location temporaire d’espace pour l’équipe de travail
Acquisition/location d’équipements
Frais généraux et frais administratifs qui ne se rattachent à aucun projet particulier
Exemple :
Salaire des cadres dirigeants
L’estimation des coûts devient un budget lorsque les coûts sont répartis dans le temps, ce qui permet un meilleur contrôle des coûts
Les coûts sont généralement ajustés car il y a toujours un dépassement
Raisons des dépassements
Coûts de gestion des interactions entre tâches
Absence de conditions normales (ex. Manque de ressources, impartition de certaines tâches)
Concrétisation d’un risque
Changement du contenu et des plans
Solutions possibles
Fonds pour éventualités
Estimation privilégiée en cas d’incertitude élevée
Estimation à 3 points :
Trois valeurs :
Valeur d’estimation optimiste (Vop., Aucun problème prévu)
Valeur d’estimation pessimiste (Vps., Plusieurs difficultés prévisibles)
Valeur d’estimation probable (Vpr., part vraisemblable de difficulté)
Calcul
Moyenne : (Vps. + Vpr. + Vop.) /3
Moyenne pondérée : (Vps. + 4 * Vpr. + Vop.) /6
Méthode Monte-carlo
Somme des valeurs de la charge possible tirée au hasard de chaque activité ou composant
Moyenne des itérations
À partir de la charge estimée et en s’appuyant les historiques des projets passés
Les ressources sont affectées au projet
Ce qu’elles feront
Quand elles le feront (début, fin)
Cela permet de planifier les tâches
•Lors d’absence d’historiques organisationnels de projets passés
Utilisation d’une formule empirique (McConnell, 1996)
Délai en mois = 3,0 x (charge en mois)1/3
On peut faire varier le coefficient de 2,0 à 4,0
Se donner le temps de faire une bonne estimation
Utiliser les données historiques de l’organisation
Utiliser des estimations fondées sur les expériences des développeurs
Utiliser plusieurs estimateurs et plusieurs techniques
La convergence donne une bonne estimation
Réestimer le projet, plusieurs fois, au cours de son cycle de vie
Créer une procédure standardisée d’estimation pour l’organisation
Centrer les efforts sur l’amélioration du processus d’estimation des projets