Vacances au pendule
De bonnes vacances grâce au pendule
Par Jean Hereira dans la revue Astral de juillet 1987
Les vacances approchent et beaucoup d'entre nous ont déjà commencé les préparatifs, le choix du lieu où se passeront les jours de détente, le mode de vie pour cette période: hôtel, maison en location, mobil-home, tente, caravane, etc, la liste est longue des possibilités dans ce domaine, compte tenu de bien des facteurs à apprécier, y compris le côté financier.
En d'autres occasions, nous avons signalé le moyen pendulaire de détermination de la région la plus favorable pour vivre ces semaines dans les meilleures conditions, pour en tirer le bien être souhaité, avant la reprise des activités professionnelles; nous ne reviendrons pas sur ce point. Pas davantage, nous ne rappellerons le mode de recherche du moment le plus propice pour s'installer là où l'on a choisi de vivre, tout cela est bien connu des lecteurs de la revue.
Une question rarement traitée, à notre connaissance, vaut d'être examinée avec suffisamment d'attention et, surtout il est intéressant de chercher le remède aux inconvénients éventuels, radiesthésiquement décelés. Ce qui suit n'est pas à retenir uniquement pour les vacances, c'est tout aussi valable pour de courts déplacements.
A qui n'est-il pas arrivé le souci, inexplicable, lors d'un voyage, rapide, même, de se retrouver dans une chambre d'hôtel, - d'hôtel de classe, même - aux installations confortables, et de ne pas pouvoir fermer l'oeil de la nuit, accablé, dans le même temps de malaises indéfinissables, de nervosité, etc, laissant au lever une impression de trouble, vague, sans raison. Généralement, là, on trouve une explication :
"C'est le dépaysement, je n'ai pas l'habitude de coucher hors de chez moi, et puis, il y a eu le trajet en chemin de fer (ou en voiture, en avion, etc) toujours fatigant".
Rentré chez soi, on n'y pense plus.
Une anecdote vaut d'être contée: lors d'un déplacement, un voyageur a connu les ennuis du genre de ceux cités ci-dessus; il avait l'habitude de loger dans un hôtel d'une ville dans laquelle l'arrivant, le soir, faisait un peu de cette localité "La ville-étape". Tout se passe selon l'habitude, il se couche et, le lendemain, descendant pour prendre le déjeuner, il croise une femme de chambre, échange quelques mots et lui dit :
"Je n'ai pas pu fermer l’œil et pourtant la chambre est bien".
Il entend alors la réponse le laissant rêveur :
"Oui, bien des voyageurs se plaignent de ne pas trouver le sommeil dans la chambre 21, mais cela doit tenir au fait qu'elle donne sur la rue, alors les voitures, les camions, font vibrer les murs et empêchent le sommeil".
Il décida alors que lors d'un prochain séjour, - il est habitué à passer dans cette région -, il ferait la demande d'une autre chambre. Quelques mois plus tard, l'occasion se présente pour lui, de s'arrêter de nouveau à l'hôtel en question; il précise qu'il désire ne pas avoir la chambre 21 ; satisfaction obtenue, il passe la nuit dans la chambre 25, sur le même palier; il dort parfaitement. Satisfait, le lendemain, il reprend la route et jette un coup d’œil, machinal, sur la façade; il s'aperçoit que les deux chambres sont voisines et ont, toutes deux, les fenêtres sur la route incriminée, lors du séjour précédent. C'est lui qui racontait l'histoire, lors d'une réunion d'amis, presque tous des voyageurs; l'un d'eux, radiesthésiste, a été intéressé, il a pris note de l'endroit, du nom de l'hôtel, de la fameuse chambre « 21 », il avait sa petite idée, dit-il par la suite.
Il avait déduit la présence d'ondes nocives, dans cette partie de l'établissement hôtelier et il s'était promis d'y aller voir, dès que possible. Cela arriva et il eut la possibilité d'obtenir que la chambre 21 lui soit réservée.
Pendule en main, il procéda à la recherche des éléments de trouble au sommeil des occupants. C'était bien la présence d'ondes nocives. Elles traversaient le local et passait sous le lit.
Si nous avons pensé utile de faire cette relation, c'est que les mêmes ennuis peuvent survenir pendant les vacances et gâcher le séjour et les satisfactions escomptées.
Il n'est pas nécessaire d'insister sur la nature des ondes nocives, disons simplement qu'elles "suivent" un parcours donné; tout ce qui est situé au-dessus du cheminement de ces ondes est perturbé; donc il s'impose de repérer les lignes suivies par les ondes nocives.
Nous arrivons, supposons-le, à l'hôtel. On nous conduit à la chambre réservée. Nous voilà "chez nous"; avant de nous installer, prenons le pendule afin d'être certain d'un séjour tranquille.
Debout, à un coin de la pièce, nous amenons notre pendule au-dessus de la paume de la main gauche; nous attendons, calmement; à un moment donné, le petit instrument se met en mouvement, et tourne normalement; peu importe le sens de la giration, gauche à droite ou droite à gauche, c'est le mouvement qui est important. Nous avançons, lentement, dans le local, laissant toujours le pendule tourner au-dessus de la paume de la main. Si à un moment donné, il change de mouvement, par exemple s'il tournait de droite à gauche et qu'il se mette à tourner de gauche à droite, nous repérons l'endroit avec précision, posant un repère, un morceau de papier à terre, à l'endroit où s'est produit la modification du sens de la giration. Cela fait, nous remettons le pendule au-dessus de la paume de la main gauche, et nous reprenons le parcours dans le local étudié, jusqu'à un changement, encore une fois, dans le sens de la giration; à nouveau, nous effectuons le repérage du point du sol, pose d'un papier. La même démarche est à faire, en promenant le pendule au-dessus de la main gauche, dans toute la pièce. Quand nous avons ainsi un certain nombre de points détectés, nous les notons, les reliant au moyen d'une simple ficelle, pour bien repérer le sens du mouvement des ondes nocives découvertes par le pendule.
S'il s'agissait d'une caravane, à implanter sur un point déterminé, indiqué généralement par le détenteur du lieu de séjour, il est bon de procéder de la même façons, sur le terrain, avant d'y fixer la caravane.
Dans le cas d'une location d'un bungalow, d'un petit local, le procédé de recherche est absolument le même; en principe, il suffit de faire la détection au rez de chaussé; s'il y a vraiment une influence importante d'ondes nocives, il peut être utile d'effectuer le même travail aux étages, mais cela est assez rarement nécessaire.
Résumons la méthode, elle est simple :
Mise en harmonie pendulaire la paume de la main, en laissant le pendule adopter un mode de mouvement : cela obtenu, il suffit de parcourir lentement l'espace à tester; dès modification du mouvement, noter l'emplacement du point du sol intervenant dans le changement de rythme.
Naturellement, en bien des circonstances, il n'y aura aucun changement et on pourra en déduire l'absence de nocivité.
Supposons que notre travail de recherche ait permis de déceler, à partir du premier point, un "courant" d'ondes nocives; la solution la plus logique sera la plus simple : partir, s'éloigner du champ de menaces. Mais ce n'est pas toujours facile; s'il s'agit d'une chambre d'hôtel en période de départ massif, bref, toutes circonstances contraignant à demeurer en un lieu précis, tout au moins provisoirement, il faut trouver un autre remède que la fuite.
Des auteurs compétents préconisent de placer sur l'un des points détectés, une bouteille d'huile, de un litre ou deux, bouteille bouchée, huile minérale ou huile comestible. Plusieurs expériences, bien conduites, ont permis de vérifier la valeur de cette protection s'atténue, pour disparaître, dans un délai de un ou deux mois. Il suffit de vérifier, au pendule, toujours, selon la méthode indiquée; dès le retour du changement de mouvement, on changera la bouteille d'huile. Si la méthode de la bouteille d'huile se révèle sans effet, au départ de la recherche, on peut placer sur le point détecté un petit tas de charbon de bois ou de craie. Ces quelques moyens, pratiques et peu coûteux, devraient suffire à la protection, dans tous les cas.
Après cela, il suffira de passer de bonnes vacances. Alors de belles vacances ou bons week-end à tous.
Merci à Jean HEREIRA.
La Radiesthésie au milieu du XXème siècle: Collection d'articles de presse entre 1935 et 1987
Dans le cadre de nos pratiques, en coaching comme en thérapie, le biotesting est un point clef. Or l'art du pendule est certainement le biotest le plus connu dans nos campagnes européennes, tout comme dans les pays anglophones et même en Asie. C'est donc une approche qui dans une certaine mesure peut nous être familière. Connaissant notre intérêt pour le domaine de la radiesthésie, un ami, ayant découvert dans le grenier de son père un ensemble d'articles de journaux sur ce thème, nous les a transmis pour bon usage.
Nous avons digitalisé et remis en page ces articles et les avons diffusés au fur et à mesure de notre avancement dans la newsetter "Radiesthésie Quantique" dont tous les contenus sont maintenant regroupés en format papier grand format sur Amazon. Nous vous proposons de découvrir ici la radiesthésie et son célèbre pendule via ces articles de presse "oldies but goldies" sans rentrer dans une idéologie particulière. L'objectif est simplement le partage. Alors, bonnes découvertes et bonne lecture.
Il s'agit de la compilation d'articles de presse parus entre 1935 et 1987