Le sport à Outreau et au niveau national
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L'équipe de France de football des jeux olympiques de 1924 ; L'équipe de France jouera sept matches en 1924 pour deux victoires et cinq défaites.
Finale de la coupe de France de football du 3 mai 1936 ; l'équipe de football le F.C.O.C. Charleville Mézières finaliste de coupe de France en 1936 contre Racing Club de Paris. Le match se déroule devant 40 000 spectateurs réunis au stade de Colombes, les Ardennais font jeu égal avec les Parisiens. Les Carolos s’inclinent finalement par le plus petit des scores, un but à zéro. Photo collection Collection Pascal BERNARD
Equipe de France de prisonniers camp Cassel du 8 juin 1918, carte photo militaire
La saison 1975/1976 c'était celle du cinquantenaire du club de l'association Sportive Outreau Cheminots ( l' A.S.O.C) qui fut champion et accéda en Promotion Régionale. Appelée autrefois l’ASCBO ( l’association sportive des cheminots de Boulogne Outreau, ce club fut créé en 1926).
Photo d'une course de vélos du dimanche 12 juillet 1936 du grand prix du Club Sportif Outrelois " le C.S.O." ; un article autre du 15 juillet 1939 parle du 4ème grand Prix du 9 juillet 1939 ; donc cette photo relate le premier grand prix...Sur la gauche sont garées des roulottes : c'est ma famille Vlieghe ; mon arrière grand-mère paternelle Marie Louise Vlieghe mariée à Joseph BERNARD et sa soeur Julie BERNARD mariée à Léopold Vlieghe famille de forains d'origine Belge depuis 1867 ; les parents de Germaine son père était un frère de mon arrière grand mère, c'est la branche Vlieghe-Bernard qui avait le manèges ...
le club sportif outrelois: le C.S Outrelois grand prix du 9 juillet 1939 à Outreau est relaté par journal "Les Sports du Nord Organe d'information "du 15 juillet 1939.
Henri Butel, un Emulard aux jeux olympique d'Helsinki en Finlande en 1952. En 1954 il réussit à être champion de rance le même jour en skiff et en double scull avec André Boucher. l représente la France en skiff aux jeux olympiques d’Helsinki en 1952 , aux jeux méditerranéens 1955 à Barcelone et aux championnats d’Europe en 1950 (5ième), 1954 (4ième), 1955 et 1956. Lire l'article de la Voix di Nord du 2 mai 2204 relatant la carrière de Henri Butel.
Henri Butel champion d'aviron se maria à Boulogne-sur-Mer avec Marthe Vindevoghel ; photo et article du mariage de Henri Butel avec Marthe Vindevoghel voix du Nord de 1954 ; archive de Pascal BERNARD. Henri Louis BUTEL est né le 1er juillet 1929 à Calais et il se marie à Boulogne-sur-Mer avec Marthe VINDEVOGHEL née le 21 septembre 1930 à Boulogne-sur-Mer.
L'Equipe journal du 19 septembre 1952 écrira : "Henri Butel, loqueteux aux jeux olympique d'Helsinki retrouvera des adversaires olympique lors des 81ème championnats de la Seine à Asnières..." et le journaliste Henry Corbendau de reprendre du journal l'Equipe : " Le Boulonnais Henri BUTEl,fut à Helsinki, le mot est dur, mais loqueteux ; il me l'avoua lui même en me disant ;[ je ne me suis jamais retrouvé, j'ai été plus qu'à Milan ou d'ailleurs j'avais un drôle de bateau...] Lire l'article...
Jacques Cartonnet, des bassins aux eaux fangeuses de la collaboration Source Le journal Libération du 25 janvier 2020 par Gilles Dher : https://www.liberation.fr/sports/2020/01/25/jacques-cartonnet-des-bassins-aux-eaux-fangeuses-de-la-collaboration_1774288 ; retour sur un épisode de l'histoire du sport telle que l'a racontée la presse de l'époque. Jacques Cartonnet, nageur de haut niveau, qui a sombré dans la collaboration et qui est suspecté d'avoir dénoncé son rival Alfred Nakache, déporté à Auschwitz, alors que l'on commémore ce lundi 27 janvier le 75e anniversaire de la libération du camp par l'Armée rouge. .Jacques Cartonnet est-il responsable de la déportation de son rival Alfred Nakache, que l'on surnommait le «nageur d'Auschwitz» ? La question n'a jamais trouvé de réponse définitive. Ce qui est sûr, c'est que le premier, défié et battu par le second en 1938, ne cachait pas son antisémitisme et s'est vautré pendant la guerre dans la collaboration la plus vile. La Voix du Nord du 30 avril 2024 mentionnera que Jacques Cartonnet, soupçonné d'avoir dénoncé son rival Alfreda Nakache qui déporté perdra sa femme et sa fille, il est condamné à mort par contumace en 1945...Arrêté il parvint à s'échapper et finira sa vie en clandestinité en Italie où il serait décédé en 1967.
Auparavant, Cartonnet fut un nageur de haut niveau, deux fois recordman du monde sur 200 m brasse entre 1933 et 1936. Un champion au dilettantisme assumé, qui avouait, mais peut-être était-ce une coquetterie biographique, «n'avoir jamais fait de sport avant 17 ans et avoir horreur de l'eau», raconte le site Galaxie Natation. Il rapporte que Cartonnet «rata complètement ses Jeux olympiques à Los Angeles [en 1932], disparaissant pendant des jours en compagnie d'une star hollywoodienne qu'il avait séduite avant la course, au cours d'une visite des studios ! Accusé de professionnalisme, il créa un club dont il était l'unique nageur, le Cartonnet Swimming Club, ce qui lui permettait de toucher des enveloppes, à travers sa mère qui officiait comme dirigeante». Le livre Histoire secrète du sport (1) résume le bonhomme : «fils unique surdoué, séducteur, viveur». Mais également un homme aux convictions politiques sans ambiguïtés. En 1938, alors qu'il est encore nageur de haut niveau, Jacques Cartonnet dirige l'Union populaire de la jeunesse française, la branche jeunes du Parti Populaire français (dirigé par Jacques Doriot et ouvertement fasciste) comme le précise, le 1er juillet, l'hebdomadaire Je suis partout. Cartonnet est également membre de la rédaction de ce journal, le plus virulemment fasciste et antisémite jamais publié en France. L'organisation que préside le nageur se propose d'organiser des «camps de vacances nationalistes».
La Voix du Nord du 30 avril 2024 article relatant la carrière de Jacques Cartonnet champion olympique de Los Angeles de 1932 avant de devenir collaborateur lors de la seconde guerre mondiale et soupçonné d'avoir dénoncé son rival Alfreda Nakache qui déporté perdra sa femme et sa fille, il est condamné à mort par contumace en 1945...Arrêté il parvient à s'échapper et finira sa vie en clandestinité en Italie où il serait décédé en 1967.
La Voix du Nord : les Jeux olympiques approchent. Dans cette perspective, nous vous proposons de découvrir, en mettant à l’honneur chaque mercredi et jeudi, les sportifs boulonnais ayant, à travers le temps, pris part aux Jeux : 39 hommes et femmes, natifs de Boulogne, y ayant vécu ou s’y étant investi dans les clubs sportifs. Discret, Jean Robin peut-être, mais surtout mystérieux car les informations que nous possédons sur ce dernier sont minces. Tout juste savons-nous qu’il est né à Boulogne-sur-Mer, le 9 février 1908, au 19 rue Thiers, dans l’armurerie familiale, et qu’il dut intégrer le club de hockey local – celui de l’Inquétrie – assez jeune puisqu’il fut sélectionné en équipe de France pour les JO d’Amsterdam à l’âge de 20 ans. Une très belle 5e place acquise, il reste encore trois ans à Boulogne puis quitte la ville, nous sommes en 1931. Après cela, mystère ! A-t-il continué à pratiquer le hockey, quel métier a-t-il exercé ? Nous ne le savons pas. Nous retrouvons uniquement sa trace au moment de son décès le 12 janvier 1976 à Sèvres, dans les Hauts-de-Seine, à l’âge de 66 ans. Source Voix du Nord du 24 Avril 2024 à 13h53 publié par Maxime Blamangin. Source : https://www.lavoixdunord.fr/1455401/article/2024-04-24/en-1928-le-discret-hockeyeur-jean-robin-participe-aux-jo-d-amsterdam
Un petit retour sur les jeux olympique d’Amsterdam de 1928 sur le 10.000 mètres et sur le 5000 mètres ; Nurmi un Finlandais décide de se concentrer sur les longues distances. Dans le 10 000 mètres, il parvient à contenir dans les derniers mètres son compatriote Finlandais Villa Ritola et s'impose de justesse sur la ligne d'arrivée avec le temps de 30 min 18 s 814. Ritola obtient sa revanche quelques jours plus tard en résistant à l'accélération de Nurmi dans la dernière ligne droite du 5 000 mètres. Le Suédois Edvin Wide complète le podium. Carte postale archive dde Pascal BERNARD de Villa Ritola devant son compatriote Paavo Nurmi. Recherches de Pascal BERNARD éditées le 27 avril 2024.
La voix du Nord mentionne "Jean Robin joueur de hockey, une très belle 5e place acquise, il reste encore trois ans à Boulogne puis quitte la ville, nous sommes en 1931. Après cela, mystère" ; après recherches voici ce que j'ai trouvé : Jean, Eugène, Louis ROBIN est né le le 9 février 1908 à Boulogne-Sur-Mer au numéro 19 rue Thiers fils de Jean, Eugène Jules ROBIN âgé de 27 ans, armurier et de Cécile Marguerite Provost âgée de 27 ans également, non mentionné dans l'acte de naissance mais elle était artiste peintre ( mentionné dans l'acte de mariage et son acte" décès) ; le couple Jean ROBIN et Marguerite PROVOST, les parents de Jean Robin, s'était marié à Saint-Maur-des-Fossés département du Val-de-Marne le 5 mars 1907 ; son père était armurier et et sa mère artiste peintre. Le père de Jean Robin Eugène Jules Robin est né le 31 octobre" 1880 à Cossé-Le-Vivien ( en Mayenne) fils de Eugène Joseph Robin horloger et sa mère Mélina Heurtault ' décédé lors du mariage sans mention de date) ; et sa mère est née le 22 novembre 1880 au N° 70 rue de Saintonge à Paris 3ème arrondissement fille de Eugène Jacques Provost sculpteur et de Cécile Ehrsam. Recherches de Pascal BERNARD éditées le 27 avril 2024.
Le père de Jean Robin était Eugène Jules Robin né le 31 octobre 1880 à Cossé-Le-Vivien ( en Mayenne) fils de Eugène Joseph Robin horloger et sa mère Mélina Heurtault née en 1859 et décédée à Laval le 28 juillet 1898 à son domicile rue de Joinville, à l'âge de 39 ans. Recherches de Pascal BERNARD éditées le 27 avril 2024.
Jean Robin sa mère Cécile Marguerite PROVOST artiste peintre , est née le 22 novembre 1880 au N° 70 rue de Saintonge à Paris 3ème arrondissement fille de Eugène Jacques Provost sculpteur et de Cécile Ehrsam. Cécile Marguerite PROVOST artiste peintre décède le 22 mars 1946 au 140 rue de La Pompe dans le 16ème arrondissement ; elle était veuve.. Recherches de Pascal BERNARD éditées le 27 avril 2024.
Jean, Eugène, Louis ROBIN né le 9 février 1908 à Boulogne-Sur-Mer, joueur de hockey sélectionné en équipe de France pour les JO d’Amsterdam en 1928 on le retrouve en 1931 à Paris au 10 rue La Fontaine et il se marie le 24 janvier 1931 avec Hulda Elisabeth CARLGREN professeur d'éducation physique née le 11 septembre 1907 à Sederhamm en Suède fille de Carl Vilhem CARLGREN et Augusta AXLING, parents domiciliés à Stockholm. Jean Eugène ROBIN est devenu rédacteur à la Défense automobile sportive. En 1936 le couple réside avenue du général Niox dans le 16ème et Jean ROBIN est inspecteur des assurances : il décède le 10 janvier 1976 à Sèvres et son épouse Hulda Elisabeth CARLGREN professeur d'éducation physique née le 11 septembre 1907 en Suède décédée le 13 novembre 1999 à Paris. Recherches de Pascal BERNARD éditées le 27 avril 2024.
Carte postale des Jeux Olympiques de Paris en 1924 des "quatre barré" Boulonnais sélectionnés après avoir été champions de France et médaillés en argent : Louis Gressier- Georges Lecointe -Raymond Talleux - Eugène Constant ( Les quatre barré.)
La Voix du Nord source : https://www.lavoixdunord.fr/1450273/article/2024-04-10/boulogne-georges-lecointe-un-medaille-d-argent-pour-les-jeux-olympiques-de-1924. Eugène Constant puis Louis Gressier, Georges Lecointe, Raymond TALEUX l’Émulation nautique ; sélectionnés pour les Jeux olympiques de Paris en 1924 en « quatre » barré, même s’ils étaient favoris, les quatre sportifs ramènent l’argent à Boulogne.
Eugène CONSTANT médaillé avec ses camarades Emulards aux Jeux Olympique de1924 article de la Voix du Nord 4 avril 2024.
Photo de Eugène Constant, (archive de Pascal BERNARD), membre "des quatre barré " médaillés en argent aux jeux olympique de 1924.
La Voix du Nord du 9 Avril 2024 à 08h00 publié par Karine Berthaud (CLP)
Louis GRESSIER. Continuons à parler aviron. Nous vous présentions récemment Eugène Constant, médaillé d’argent du quatre barré aux Jeux olympiques de Paris, il y a tout juste 100 ans. Poursuivons avec le deuxième héros de cette illustre embarcation – dans l’ordre alphabétique - à Boulogne, rue de la Glacière, en 1897, il prend part à la Première Guerre mondiale et est décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre. Formé au Boulogne-Club, il intègre l’Émulation nautique en 1923 et est sélectionné pour les Jeux de 1924 avec ses camarades de club : Eugène Constant donc, mais aussi Raymond Talleux et Georges Lecointe. Tous quatre ramènent de cette épreuve une médaille d’argent, les premières médailles olympiques boulonnaises. Décès à 62 ans.Établi ensuite comme mareyeur, Louis Gressier est conseiller municipal en 1935 et est désigné membre du conseil provisoire de 1945. Il décède d’une crise cardiaque le 14 janvier 1959, à l’âge de 62 ans. Souirce https://www.lavoixdunord.fr/1449737/article/2024-04-09/membre-du-quatre-barre-lors-des-jeux-de-paris-en-1924-louis-gressier-est
Photo de Louis GRESSIER (archive de Pascal BERNARD) ; Louis GRESSIER membre "des quatre barré " médaillés en argent aux jeux olympique de 1924.
Article de la voix du Nord du 9 avril 2024 " Louis Gressier membre "des quatre barré " médaillés en argent aux jeux olympique de 1924.
Georges LECOINTE.
Voix du Nord Publié:10 Avril 2024 à 13h55 Par Karine Berthaud (CLP); Source : https://www.lavoixdunord.fr/1450273/article/2024-04-10/boulogne-georges-lecointe-un-medaille-d-argent-pour-les-jeux-olympiques-de-1924
Georges LECOINTE une médaille d'argent pour les jeux Olympiques de 1824.Les Jeux olympiques approchent à grands pas. Nous vous proposons de découvrir chaque mercredi et jeudi, les sportifs boulonnais ayant, à travers le temps, pris part aux Jeux. Toujours dans l’aviron et toujours dans l’ordre alphabétique, poursuivons avec nos quatre premiers médaillés boulonnais : après Eugène Constant puis Louis Gressier, voici Georges Lecointe. Originaire, comme son ami Gressier, du quartier de Saint-Pierre où il naît en 1897, tous deux suivent le même parcours, passant par le Boulogne Club avant de rejoindre l’Émulation nautique. Sélectionnés pour les Jeux olympiques de Paris en 1924 avec Eugène Constant et Raymond Talleux en « quatre » barré, même s’ils étaient favoris, les quatre sportifs ramènent l’argent à Boulogne. Un tragique accident La carrière sportive de Georges Lecointe s’arrête brutalement en 1929, après un accident de la route fatal où il perd la vie en 1932 à Marquette-lez-Lille. Il n’avait alors que 34 ans.
Photo de Georges LECOINTE (archive de Pascal BERNARD) ; Georges LECOINTE membre "des quatre barré " médaillés en argent aux jeux olympique de 1924.
Raymond TALEUX. Source Voix du Nord : par Par Patricia Noël.Publié:23 Mars 2024 à 15h09
Boulogne: le quart d'heure qui a changé la vie de Raymond Talleux, deux fois médaillés au J.O de 1924.Michel Talleux conserve chez lui un véritable trésor. Les deux médailles décrochées par son père Raymond, qui, avec trois autres rameurs de l’Émulation nautique boulonnaise, a remporté l’argent et le bronze il y a cent ans aux JO de 2024. L’histoire qu’il nous a racontée, il l’a entendue mille fois de la bouche de ce paternel dont le patronyme est gravé, au propre comme au figuré, dans l’histoire des Jeux Olympiques. Michel Talleux, ici avec son épouse, est le gardien du patrimoine familial. Les médailles olympiques étaient à l’époque accompagnées d’une petite plaque commémorative. Aux JO de Paris 1924, Raymond Talleux (le dernier sur cette photo) a remporté, en un quart d’heure, une médaille d’argent et une de bronze. La gloire de son père, Michel Talleux la garde aussi précieusement qu’un trésor. Au milieu de nombreux autres trophées remportés par le « paternel » durant sa carrière de rameur de haut niveau, la boîte qui renferme ses médailles olympiques contient l’histoire, légendaire, d’un équipage qui a mené Boulogne au sommet du sport mondial. Il y a là du métal aussi précieux que la petite lumière qui s’allume dans les yeux de Michel Talleux quand il raconte l’histoire telle qu’il l’a entendue de la bouche de son père. Dès qu’il a eu l’âge de comprendre l’enjeu des Jeux et jusqu’à la fin de la vie de son père, il a bu les paroles du double médaillé qui ne rechignait jamais à se repasser le film d’une aventure en tous points extraordinaire. Source : : https://www.lavoixdunord.fr/1443903/article/2024-03-23/boulogne-le-quart-d-heure-qui-change-la-vie-de-raymond-talleux-deux-fois
Les JO sur une journée de congés
« En 1924, on était bien loin des stages de préparation pour athlètes de haut niveau », démarre Michel. Pour les jeunes sportifs vaillants comme son père, impossible de se consacrer exclusivement à sa passion pour l’aviron. La seule compétition importante au début du siècle dernier, c’était de faire bouillir la marmite. Le sport était accessoire, y compris pour ceux, comme Raymond Talleux et ses trois acolytes*, qui faisaient partie des meilleurs. Le secret de leur forme ? « Mon père courait derrière le tramway pour s’entraîner ! » Le sport de haut niveau… c’était surtout du haut niveau d’imagination. Avec les moyens du bord, quoi. C’est si vrai que, la qualification pour les JO de Paris acquise, l’équipage a pris la route pour la capitale en voiture… le matin même des compétitions ! Comme ses compagnons de Jeux, Raymond a dû poser une journée de congés afin de rejoindre le plan d’eau olympique, sur la Seine. Tout le monde a donc quitté Boulogne de bon matin, « avec les bateaux, en bois à l’époque, sur le toit ». Et probablement le thermos de café rempli à ras bord.« Et là, la péniche met en route son moteur »
Sur place, l’équipage du 4 survole les éliminatoires. « Ils avaient tout lieu de croire à la médaille d’or. Avec des sélections aussi réussies, elle ne pouvait pas leur échapper ». Là va se jouer ce que Raymond Talleux va considérer toute sa vie comme un drame. « En remportant les éliminatoires, ils avaient le droit de choisir leur ligne d’eau pour la finale. » Les Boulonnais s’alignent au départ quand, sans prévenir, une péniche amarrée juste à côté met en route ses moteurs, provoquant un flot qui fait tanguer le frêle esquif. Ce qui ne devait PAS arriver arriva : « Ils ont perdu d’un nez de bateau ! » Un nez ? Un pic, un cap, une péninsule, aux yeux des Boulonnais qui virent ainsi filer l’or olympique. La médaille de bronze décrochée en deux sans barreur, un quart d’heure plus tard (impensable aujourd’hui de voir des athlètes s’aligner dans deux compétitions le même jour !) ne consolera jamais l’équipage boulonnais. Raymond Talleux ne remontera dans un bateau que des années plus tard, en catégorie vétérans, pour le plaisir. Mais toute sa vie, il n’aura de cesse de « refaire le match ». P… de péniche !
Article de la Voix du Nord du 17 avril 2024 "Raymond TALEUX membre "des quatre barré " médaillés en argent aux jeux olympique de 1924.
Photo de Raymond TALLEUX (archive de Pascal BERNARD) ; Raymond TALLEUX membre "des quatre barré " médaillés en argent aux jeux olympique de 1924.
Carte postale des Jeux Olympiques de Paris en 1924 des "quatre barré" Boulonnais sélectionnés après avoir été champions de France et médaillés en argent : Louis Gressier- Georges Lecointe -Raymond Talleux - Eugène Constant ( Les quatre barré.)
Henri Leconte a rendu visites aux écoliers Outrelois ce jeudi 11 avril 2024 ; avant d'assister au tirage au sort des rencontres du tour qualificatif de la Billie Jean King Cup qui commence ce vendredi 12 avril au chaudron du Portel, le finaliste de Roland-Garros en 1988 est venu à la rencontre des élèves de l'école maternelle Kergomard-Jean Macé à Outreau. Véronique Chochois, directrice de l'école, présenta Henri Leconte, aux nombreux élèves. Photo de Henri Leconte lors de la coupe Davis en 1991: collection de Pascal Bernard.
Vie et parcours de Henri Leconte : Source https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Leconte Henri Leconte est né le 4 juillet 1963 à Lillers dans le Pas-de-Calais. Il a 6 ans lorsqu'il tient sa première raquette de tennis à la main. En tant que professionnel, il remporte son premier titre en double au tournoi de Bologne en novembre 1981 et son premier titre majeur en simple à Stockholm en novembre 1982. En 1984, épaulé par le numéro 1 français de l'époque, Yannick Noah, il remporte le double aux Internationaux de France de tennis, c'est son seul titre du Grand Chelem. Leconte et Noah atteignent un an plus tard la finale de l'US Open et sont seulement dominés, après trois tie-breaks dans les trois premiers sets, par les spécialistes incontestés de l'époque, les Américains Ken Flach et Robert Seguso, sur le score de 6-7, 7-6, 7-6, 6-0. Henri Leconte devient en 1985 numéro 6 mondial en double, ce qui reste son meilleur classement dans cette discipline. Suite voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Leconte
François Bourbotte habitait le café du vieux moulin à Manihen, et entraineur de Boulogne-sur-Mer Voir la page : François Bourbotte propriétaire du café tabac "Le Vieux Moulin" à Manihen
Après la seconde guerre mondiale le café tabac "Le Vieux Moulin" fut tenu par François Bourbotte ancien footballeur international (dix-sept sélections en "bleus" jusqu'en 1942 ). En 1936, il débute en professionnel au SC Fives où il évoluera jusqu’en 1944 avec le club Fivois ; en 1944, les clubs de l'Olympique Iris Club Lillois et le Sporting Club Fivois fusionnent et devient Le LOSC. François Bourbotte participera à la coupe du monde de 1938 mais blessé il ne jouera pas les deux matches ; il termine sa carrière de joueur en 1947 à la J.A. Armentières. À partir de 1950, il devient entraîneur de l'U.S. Boulogne jusqu’en 1956.
Le stade Portelois écrase les Cheminots d'Outreau par 6 but à 2, article de presse des années 1956, archive de Pascal BERNARD. "Disputée devant 600 personnes environ, cette rencontre ne tint pas ce qu'elle promettait et le score ne reflète nullement la physionomie de la partie. Certes Le Portel dont l'équipe et plus vite et plus complète , a mérité sa victoire, mais les Cheminot d'Outreau peuvent invoquer la malchance qui priva l'équipe de son ailier gauche Chatelain dès la sixième minutes....Dès la 29 -ème minuties Thierry BERNARD inscrivait un doublé et très vite les Cheminots d'Outreau revenaient à 2 buts à 1 ...Lire la suite dans l'article ci dessous...
Le 2ème but du jeune footballeur Thierry BERNARD lors de la rencontre de l'association des Cheminots contre le Portel.
Paolo (Paul) Zuccarelli est né le 24 août 1886 en Italie est décédé accidentellement le 19 juin 1913 à Marcilly-la-Campagne en France est un pilote automobile. Photo de Paul Zuccarelli à Boulogne en 1910
En 1911, il est engagé par Lion-Peugeot pour remplacer le pilote Giosué Giuppone qui vient de trouver la mort à la Coupe des Voiturettes de Boulogne, en septembre 1910Pour lire la suite lire la source http://fr.wikipedia.org/wiki/Paolo_Zuccarelli
2 Photos de la stèle érigée à l'endroit de l'accident qui lui coûta la vie
Connaissance de GIOSUE GIUPPONE SU VETTURA LION-PEUGEOT A BOULOGNE 1909
Giuppone naquit en 1878, à Turin. Il débuta dans le commerce comme apprenti mécanicien chez un petit constructeur turinois de cycles. Il se fit ensuite coureur cycliste amateur. Puis à la suite de nombreuses victoires il quitta les rangs des amateurs et devint professionnel, se spécialisant dans les courses derrière motocyclettes.
Dans ce genre d'épreuves il se classa le premier de ses compatriotes, et pendant les années 1903 et 1904 conserva le litre de champion d'Italie pour les 100 kilomètres. Puis il vint en France, où il abandonna la bicyclette pour la motocyclette.
Il entra chez Peugeot, et avec une machine de cette marque il établit, au Parc des Princes, le record du monde de l'heure et des 100 kilomètres pour motocyclettes de moins de 50 kilos, par 90 kil. 662 dans l'heure, 100 kilomètres en 1 h. 6m. Il établit ensuite le record du monde de l'heure pour motocyclettes sans limitation de poids, couvrant 102 kil. 368 dans les 60 minutes.
Après la motocyclette, la voiture. Il devint bientôt un de nos rois du volant les plus appréciés. Tous les pays le virent tour à tour victorieux. Vainqueur de la Coupe des Voiturettes, l'année dernière il gagnait tout récemment, à Salon, la course de côte du val de Cuech. C'était un sympathique dont la perte sera très regrettée dans le monde automobile.
GIUPPONE en 1909 à Boulogne sur mer
Sources Le Temps – 18 septembre 1910...Photos et cartes postales archives personnelles de Pascal BERNARD
Le 16 septembre 1910, le pilote italien Giosué Giuppone meurt dans un accident de la route sur la côte de Wirwignes. Il était en repérage pour une course automobile. En 1906, Boulogne est un haut lieu de la compétition automobile. Les amateurs de courses de vitesse se pressent pour admirer les véhicules et les pilotes.
Un lieu célébre etthéâtre de tragédies
L'épreuve prend réellement son importance en 1909 en proposant la Coupe des voiturettes avec le concours du journal L'Auto et de l'Automobile club de France. Cette première grande épreuve permet à Giosuè Guippone de se mettre à l'honneur sur sa Lion Peugeot n°8 qui réalise le meilleur temps à la vitesse moyenne de près de 80 km/h. Le jeune pilote italien est un mordu de cyclo, cyclomoteur et voiturette. Mais le fameux circuit de Boulogne est également le théâtre de tragédies.
Ce 16 septembre 1910, Giosuè Giuppone, 31 ans, vainqueur de l'année précédente, effectue des essais en compagnie de son mécanicien dans la descente de la côte de Wirwignes, à proximité du château du Quenneval. Au même moment, deux cyclistes de Boulogne et Wimille pédalent dans le même sens. Le ronflement puissant du moteur impressionne probablement les cyclistes qui font un écart sur la route. Le conducteur tente d'éviter le choc, une roue de la voiture butte contre une canalisation en ciment et le véhicule effectue plusieurs tonneaux, éjectant les deux hommes.
Malgré l'arrivée rapide du docteur Libersat, de Desvres, il n'y a plus rien à faire. Atteint à la tête, Giosué Giuppone meurt peu de temps après, son mécanicien s'en tire avec une forte contusion au nez. Une année plus tard, plus de 200 personnes se réunissent à l'endroit de l'accident pour l'inauguration d'un monument érigé grâce à une collecte de fonds.
Un large sourireet des fleurs
Cette stèle se compose d'une pyramide sur laquelle se détache un médaillon représentant le pilote arborant un large sourire. La partie inférieure est composée d'un bas relief, où se dessinent Giuppone au volant de sa voiture et une femme en deuil qui pleure sa disparition.
Un monument découvert en présence de nombreuses personnalités telles que Boillot, ami personnel du maire, l'abbé Sacleux curé de la commune, M. Dugand directeur de la maison Peugeot, Claude Crespel, président de la section boulonnaise de l'Automobile-Club du Nord et de M. Faroux, rédacteur àL'Auto.
Chaque année, une association automobile britannique dépose toujours une fleur en souvenir.
Source La Voix du Nord
Quevilly - Olympique Lyonnais finale de la coupe de France du samedi 28 avril 2012 .. Connaissance de l'équipe de Quevilly cliquez sur le lien en dessous Un club ouvrier qui, du haut de ses 110 ans, cultive ses valeurs originelles. Depuis 1902, l’US Quevilly s’inscrit dans la grande famille du foot amateur.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Petit-Quevilly
Union sportive quevillaise (USQ) créée en 1902 à l’initiative d’Amable Lozai, industriel local qui sera maire entre 1925 et 1940.
En 1927 : l'US Quevilly dispute la finale de Coupe de France de football contre Marseille
En 1968 : L’US Quevilly perd face à Bordeaux en demi-finale de la coupe de France.
En 2010 : L’USQ perd en demi-finale de Coupe de France face au PSG.
En 2012 : l'US Quevilly dispute la finale de Coupe de France de football contre l'Olympique Lyonnais. 1 but à 0 victoire de Lyon
Le stade de football de la ville d'Outreau fut inauguré le samedi 8 août 1970 par le match inaugural Saint-Etienne contre le standard de Liège.
Le stade de football de la ville d'Outreau fut inauguré le samedi 8 août 1970 par le match inaugural Saint-Etienne contre le standard de Liège.
François Bourbotte
François Bourbotte footballeur français né le 24 février 1913 à Loison-sous-Lens (Pas-de-Calais) et décédé le 15 décembre 197, .Il a été arrière central ou milieu défensif au SC Fives de 1936 à 1944 puis au Lille OSC de 1944 à 1947. Il avait commencé sa carrière à Bully Il a été sélectionné 17 fois entre 1937 et 1942. Avec les bleus il a participé à la Coupe du monde 1938.
Champion de France en 1946 avec le Lille OSC.
Vainqueur de la Coupe de France en 1946 avec le Lille OSC.
Finaliste de la Coupe de France en 1941 avec le SC Fives et en 1945 avec le Lille OSC
Carrière d'entraîneur 1950-1956 : US Boulogne
Photo de Bourbotte et sa famille en décembre 1938
Lille Equipe Van Gool,Clauw,Pazur
Dimanche 30 novembre 1951 Le BOXEUR Charles HUMEZ donne le coup d'envoie du Match LILLE - RENNE en 1952
À 71 ans, Paul Desmons brandit encore sa carte d'abonné. Il a refilé le virus à son fils et emmène son petit-fils voir la finale au Stade de France. À 71 ans, Paul Desmons a le sourire facile et communicatif. Mais il a de quoi sourire ! L'équipe qu'il suit depuis toujours - il est abonné aux matches du LOSC depuis 1952 ! - lui offre une finale de coupe de France accompagnée d'une palpitante fin de championnat. Rencontre.
L'homme aux 59 abonnements, c'est lui. Le plus ancien abonné aux matchs du club de Lille, bruisse la rumeur « loscoise ». Tout petit déjà, Paul Desmons accompagnait son père depuis leur domicile de Baisieux jusqu'aux stades Henri-Jooris et Jules-Lemaire, pour applaudir les stars du LOSC. Malheureusement, son père décède lorsqu'il a 11 ans. L'année suivante, en 1952, sa maman lui offre son premier pass annuel. « C'était à Leubette, un bistrot-hôtel là où se trouve aujourd'hui le magasin Damart (rue des Pont-de-Comines, ndlr), se souvient-il.
Le siège du LOSC était à l'étage. » Des sièges où aller chercher son abonnement, il en connaîtra d'autres, le stade Henri-Jooris, le café de la Paix, au square Daubenton, le Stadium... Sa fidélité aux Dogues ne subira qu'une entorse, durant son service militaire. « Et encore, j'allais aux matchs quand j'étais en France, précise-t-il. Il n'y a que durant mes huit mois d'Algérie que j'ai été absent ! » C'est dire si Paul Desmons en a, des souvenirs et des anecdotes... « À 12 ans, les joueurs du LOSC, c'était mes idoles » , avance-t-il. C'était la grande période du club, celle des titres qui s'enchaînaient. Mais, paradoxalement, il ne se rappelle que du dernier, une coupe de France remportée en 1955. « Il y avait une très bonne ambiance au stade. Le LOSC jouait à guichets fermés tout le temps. » Et la ferveur populaire était là : « Après les matchs, tout le monde se retrouvait sur la Grand'Place. On allait voir les résultats inscrits à la craie sur un tableau, à la Voix du Nord. Fallait voir les retours en train du LOSC, sur la rue Faidherbe... » Plus tard, il s'installe - boucher comme son père - à Marcq-en-Baroeul, fréquente le club local, l'Olympique Marcquois, alors très proche du LOSC. C'est ainsi que ses idoles deviennent des connaissances, puis des amis. « Jean Baratte, je l'ai bien connu, il venait toutes les semaines à la maison ! » lance-t-il. Au début des années 1970, quand il inaugure son commerce, « toute l'équipe du LOSC est venue avec René Gardien (alors entraîneur, ndlr), Delangre, Gianquinto... », se souvient-il. Le star system n'existait pas et le supporter côtoyait facilement les joueurs. « À l'époque, ça n'était pas pareil, évoque Paul. J'étais dans les vestiaires après chaque match ! » Fidèle jusqu'à la lie, il suit son équipe même dans le creux de la vague. À la charnière des années 60 et 70, le rouge et blanc n'est plus à la mode : le LOSC doit abandonner son statut de club professionnel et évolue une saison en championnat de France amateur (troisième division). L'aficionado se fait rare, mais Paul est toujours là. « Je n'ai jamais laissé tomber le LOSC », affiche-t-il crânement.
Forcément, à son tour, il a emmené son fils Bastien aux matchs qui s'est également pris au jeu (lire en page suivante). « Et maintenant, je vais à la finale avec mon petit-fils », se réjouit-il. Il l'emmène au Stade de France, ce soir, accompagné de son épouse et d'un ami. « Ça fait des années que ma femme supporte ça, elle mérite une médaille ! » Elle et Paul se sont connus quand ils avaient 6 ans et mariés en 1963... On vous a dit que Paul Desmons était un homme fidèle ?
RÉACTIONS
Plus ancien souvenir« Je me souviens de supporters montés sur le toit d'une tribune qui s'est effondrée. » C'était en février 1946, lors d'un derby Lille-Lens. Il y aura 53 blessés et le match reprendra après leur évacuation ! Le meilleur souvenir« Comme beaucoup, un match de coupe de France contre Bordeaux. » C'était en 1985, les Girondins, leader du foot français, ont remporté le match allé 3 à 1. Les Lillois remportent le retour 5-1 après prolongations. Le public envahit le terrain. Le plus amer« C'est les descentes en deuxième division, à chaque fois ! » Joueur favori« Un des meilleurs, pour moi, c'est Ignacio Prieto, un Chilien qui avait un petit pied, mais il donnait des ballons... C'était un régal ! » Il a évolué au LOSC entre 1971 et 1976. Entraîneur favori « Vahid Halilhodzic (1998-2002, ndlr) a remonté Lille avec un effectif correct mais moyen, il a poussé les gars à fond. Il reste un grand ami. C'est un grand bonhomme. Actuellement, si un président veut remonter une équipe, il y a Vahid qui est libre ! » Rio Mavuba« Il sourit tout le temps, je ne l'ai jamais vu faire la gueule ! Il aurait souvent pu partir et il est toujours là, il a cru au LOSC. » Rio Mavuba est l'actuel capitaine de Lille. Rudi Garcia « J'étais dubitatif quand Garcia est devenu l'entraîneur. Je suis maintenant admiratif. J'admets que je me suis lourdement trompé. Ça n'était pas évident de succéder à Claude Puel, mais grâce à lui, on a le football le plus agréable à regarder depuis longtemps. En espérant qu'il soit récompensé. » Pronostic « 3-2 pour Lille, en étant chauvin ! Avec les styles du LOSC et de Paris, le match ne peut pas être fermé. »
Source http://www.nordeclair.fr/Locales/Lille/2011/05/14/-59-abonnements-au-losc-qui-dit-mieux.shtml
Photo du LOSC en 1954 champion de France et finaliste de la coupe de France
Coup double pour le L.O.S.C détenteur de la Coupe et Champion de France article de 1946
Photo archives de Nord Matin de 1945 Lille - Sochaux
Lille en 1946 les écussons des maillots : la Fleur de Lys
Les Équipes ayant réalisé le doublé Championnat/Coupe de France :
FC Sète (1934),
RC Paris(1936),
LOSC (1946),
OGC Nice (1952),
Stade de Reims (1958),
AS Monaco (1963), AS Saint-Étienne (1968, 1970, 1974, 1975),
Olympique de Marseille (1972, 1989),
FC Girondins de Bordeaux (1987),
AJ Auxerre (1996),
Olympique lyonnais(2008).
Source http://fr.wikipedia.org/wiki/Coupe_de_France_de_football
Coupe de France du 6 mai 1945 RC PARIS bat LILLE 3 buts à 0
Le LOSC champion de France et vainqueur de la coupe de France en 1946
Jean Baratte, dit Capitaine courageux (né le 7 juin 1923 à Lambersart, et mort le 1erjuillet 1986 à Faumont), était un footballeur international français
32 sélections et 19 buts en équipe de France de 1944 à 1952 (capitaine à 12 reprises)
Champion de France de D1 en 1946 avec le Lille OSC
Vice-Champion de France de D1 en 1948, 1949, 1950 et 1951 avec le Lille OSC
Vainqueur de la Coupe de France en 1946, 1947, 1948 et 1953 avec le Lille OSC
Finaliste de la Coupe de France en 1945 et 1949 avec le Lille OSC
Meilleur buteur du championnat de Division 1 en 1948 (31 buts) et 1949 (26 buts)
Le L'O.S.C champion de France en 1946 et vainqueur de la coupe de France
Septembre 1946 Lille, Amiens, Doaui et Valenciennes surclasse leur adversaires article de la Voix du Nord
Février 1946 le toit d'une tribune s'effondre au stade JOORIS à LILLE
Reims club de football de 1945
Marcel Cerdan est né le 22 juillet 1916 en Algérie décédé le 28 octobre 1949.
Marcel CERDAN champion du monde des poids moyens en battant le roi du K.O. Tony Zale le 21 septembre 1948
Édith Piaf née Édith Giovanna Gassion le 19 décembre 1915 à Paris, décédée le 10 octobre 1963. En 1948, alors qu'elle est en tournée triomphale à New York, elle vit la grande histoire d'amour de sa vie avec le boxeur français, de Casablanca, Marcel Cerdan
Le 27 octobre 1949 Marcel CERDAN prend l’avion à Paris pour rejoindre Edith PIAF qui triomphe à New-York . L'avion s'écrase dans la nuit du 27 au 28, sur le Pico de Vara, une montagne de l'île São Miguel, dans l'archipel des Açores. Il n'y a aucun survivant.
Anéantie par la souffrance morale (et la culpabilité) et par une polyarthrite aiguë, Édith Piaf prend, pour calmer sa douleur, de fortes doses de morphine. Elle chantera son grand succès, Hymne à l'amour et également Mon Dieu, en sa mémoire
LAPIZE vainqueur du Tour de France 1910 Mort pour la France le 14 juillet 1917
Laurent Fignon (né le 12 août 1960 dans le XVIIIe arrondissement de Paris est mort le 31 août 2010 à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière d’un cancer des voies digestives) est un cycliste français.
Professionnel de 1982 à 1993, il a remporté notamment deux Tours de France, en 1983 et 1984, et le Tour d'Italie en 1989 suite et source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Fignon
Circuit de l´Aulne 1984, Fignon , Hinault, Duclos-Lassalle, Le Guillou.
Bernard Hinault juste derrière Laurent Fignon dans une étape de montagne en 1984
Le stade Portelois équipe 1ère A en 1957-1958.... Equipe du stade Portelois en 1957, un des derniers matchs pour quelques-uns, ils allaient partir en guerre en Algérie durant 2 ans comme fut le cas pour mon père Thierry BERNARD.
Charles HUMEZ né le 18 mais 1927 à Méricourt et décédé le 11 novembre 1979 à Bois-Bernard.
Une salle des sports d'Outreau porte son nom
Charles Humez
Né le 18 mai 1927 à Méricourt dans le Pas-de-Calais, Charles Humez fut l'un des meilleurs boxeurs français de l'après guerre. Champion de France amateur en 1945, gagnant du "Gant d'or" aux Etats Unis à Chicago en 1948, il devient très vite l'une des références chez les poids moyens. Champion d'Europe des poids moyens, Il disputa 103 combats professionnels, obtenant 94 victoires dont 48 avant la limite mais stoppa sa carrière suite à une blessure après son combat perdu contre l'Allemand Scholz le 4 octobre 1958 à Berlin.
Article du quart de finale de la coupe de M Le Directeur de la Région Nord entre l'union sportive de Lens et l'association des cheminots de Boulogne-Outreau match du 5 décembre 1968.
Photo 5 décembre 1968 Quart de finale de l'union sportive de Lens contre l'association des cheminots de Boulogne-Outreau
Manihen en 1960 au terrain de football des A.P.O dit " Le Crassier ". Merci à Guy MORDACQ
Autre photo prise à Dannes vers 1960.
Les années 1930 une équipe de football
le club de football d'Outreau A.S.O.C vers 1983 Cliquez et agrandir pour mieux visualiser les membres et les joueurs
1971 : une réunion des membres de l'A.S.O.C aujourd'hui A.S.O.F. On reconnaît Mr Cardon, Louis FLO et ?
Monsieur MARIE médaillé par monsieur FUMICHON à sa gauche
Inauguration du stade d'Outreau le 8 Aôut 1970 : Saint-Etienne contre le standard de Liège
Cité des cheminots ( à l'époque ils disaient le terrain de football de la Tour du Renard ) on y voit la construction des maisons de la rue Arthur GOSSELET. Les Préfabriqués sont juste derrière.