Consultant en Gestion des Connaissances, il réalise des capitalisations des connaissances d'experts pour des organismes publics et privés.
Formé par Jean-Louis Ermine, inventeur de la méthode MKSM qui est devenue MASK, il a participé à l'évolution de cette dernière au Club Gestion des Connaissances et dans le cadre de son travail à l'ENSC.
Il a conçu et réalisé un "moteur de tâches" qui permet d'automatiser et travailler la connaissance modélisée avec MASK 1, pour la réalisation d'un système d'aide à la décision en acceptation de demandes de prêts personnels pour la société Cofinoga (Projet Thot, 1996), pour un démonstrateur d'aide à la maintenance d'un laser industriel pour le CESTA (projet ORELI, 2013), et diverses solutions d'automatisation de tâches (mise à jour de bases de données, gestion de dossiers, jeux...).
Responsable du module Gestion des Connaissance et des Compétences à l'ENSC, il enseigne la gestion des connaissances et la modélisation avec la méthode MASK 1 dans la filière ingénieur. Il réalise à la demande des formations à la méthode MASK 1 et aux Mind Mapping dans le cadre de la formation professionnelle.
Profil LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/sergearies/
Professeur d’intelligence artificielle à l’École nationale supérieure de Cognitique (ENSC - Bordeaux INP), il est spécialisé en sciences cognitives appliquées.
Ses activités de recherche portent sur la gestion des connaissances, les systèmes de raisonnement symbolique et sur les rapports entre confiance et décision. Sa thèse, dirigée par Jean-Louis Ermine et soutenue en 1992, lui a donné l’occasion de réaliser la première capitalisation de connaissances menée auprès d’un expert industriel avec la méthode MASK (à l’IRSN, en 1994, le nom de la méthode était alors MKSM). Il encadre (ou co-encadre) actuellement cinq thèses, dont une sous convention CIFRE avec Thales LAS et une autre sous financement DGA-ONERA.
Directeur de l'ENSC et président d'une association nationale de professionnels du KM (Club gestion des connaissances), il est membre du bureau de rédaction de la revue scientifique Hermes-CNRS et a été pendant cinq ans chargé de mission à la Direction générale de la Recherche et de l'Innovation pour les dossiers liés à l’organisation de la recherche en intelligence artificielle au niveau national.