Sustainable Economic Models (SEMod)

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Sustainable Economic Models (SEMod), notre projet cadre, s'appuie sur des recherches universitaires et des recherches-actions menées par des chercheurs de l'Université libre de Bruxelles. Le projet de recherche initial était Food4Sustainability, qui a obtenu un financement de valorisation de BRAIN-be.

Actuellement, nous menons également deux autres projets de recherche : Chantier circulaire 360° et VETIRR (VEtement : Transformer, Innover et Repenser pour la Résilience sur Bruxelles). Nous vous présentons ci-dessous un bref aperçu de ces projets. N'hésitez pas à nous contacter pour plus de détails.

Projets

Projet: Chantier circulaire 360°

  • Commanditaire : Fondation Roi Baudouin, partenariat avec CDR-Formation

  • Durée : un an avec démarrage en octobre 2020

  • Info: La Fondation Roi Baudouin, dans le cadre de sa vision stratégique « Climat-Environnement » 2020-2024, développe des projets en matière d’économie circulaire. Dans ce cadre, la Fondation soutient notamment les initiatives visant à renforcer l’emploi, les métiers et compétences dans les secteurs à forte densité de main-d’oeuvre, dont la construction circulaire. Le projet confié au consortium ULB (BATir et CEESE) – EcoRes vise à étudier les impacts d’un chantier circulaire pilote (rénovation exemplaire des locaux et cafétéria du CDR Construction à Anderlecht) dans ses composantes économiques, environnementales, sociales et organisationnelles (étude 360°). Le chantier vise le réemploi des matériaux récupérés sur site. Lorsque le chantier ne le permet pas, ils seront réutilisés, si possible, à l’échelle régionale.

Projet: VETIRR (VEtement : Transformer, Innover et Repenser pour la Résilience sur Bruxelles)

  • Commanditaire : Innoviris

  • Durée :

  • Info: Le projet VETIRR s’inscrit dans le cadre de l’action co-creation d’Innoviris qui a pour objet de rechercher, en co-création, des pistes de résiliences pour Bruxelles. Le projet, après une première présélection est actuellement en phase de montage avec le consortium ULB (CEB/CEESE), Groupe One et MAD à la manœuvre, ainsi que les professionnels du secteur, innovateurs, décideurs et citoyens qui forment la communauté de sens du projet. VETIRR vise à explorer la résiliente du textile vestimentaire à Bruxelles au niveau des ressources, des métiers et savoir-faire, des nouveaux modèles et du rapport au vêtement. Circularité, nouveaux flux soutenables, mise en capacité des citoyens, retour à la notion de besoin, low ou high tech, autant de pistes d’exploration pour re-localiser et re-penser le vêtement. Le projet VETIRR veut ouvrir l’imaginaire pour explorer différents possibles en termes de résilience textile à Bruxelles

Projet: Economie circulaire et le Pacte Vert Européen. Cas des batteries

  • Partenaire :Agder University (Norvège), financement du Norwegian Research Council

  • Durée : Quatre ans, début en 2021

  • Info: Ce projet permet de financer une bourse de co-tutelle entre l’université d’Agder (Norvège) et l’ULB. La thématique de la bourse porte sur les politiques publiques et entrepreneuriales permettant de développer l’économie circulaire en Europe. L’Union Européenne a identifié plusieurs "pionniers du climat" industriels qui proposeront des "technologies de rupture". Le doctorat analysera les incitants politiques mis en avant, notamment des subventions et autres investissements publics et réglementations, avec une étude de cas dans le secteur des batteries qui jouera un rôle crucial dans le futur.

Chercheurs

Marek Hudon travaille actuellement à la Solvay Brussels School of Economics and Management, Université Libre de Bruxelles. Marek fait des recherches sur la finance sociale (microfinance, monnaies complémentaires, crowdfunding social), le développement durable et l'éthique des affaires.

Ana Alicia Dipierri est chercheuse, au CERMi-ULB sous la supervision conjointe de Marek Hudon et Tom Dedeurwaerdere (UCL). Elle commence en octobre 2018 avec une bourse Aspirant 2+2 du FNRS. Son sujet d'intérêt est les changements comportementaux qui se produisent dans le système alimentaire vers un développement durable. Plus précisément, l'objectif de sa thèse est de comprendre les changements de comportement, les solutions innovantes et les motivations de plusieurs acteurs (c'est-à-dire les petits et moyens producteurs et entreprises, les acteurs industriels, les organisations à but non lucratif, etc. Elle est titulaire d'une maîtrise en développement international et en économie (HTW Berlin, Allemagne), de deux diplômes post-diplôme/licenciement en marketing (UOC Barcelone, Espagne) et en commerce international (UB Barcelone, Espagne), et d'un diplôme/licenciement en développement touristique (UNCo Neuquen, Argentine).