Reprises des principaux éléments diffusés sur le comptes Twitter. @noschampsfutur
En complément de nos autres pages.
Contacts : notrefuturdansleschamps@gmail.com - Suivez nous et rejoignez nous sur twitter : @noschampsfutur
Reprises des principaux éléments diffusés sur le comptes Twitter. @noschampsfutur
En complément de nos autres pages.
Non l'ANSES ne freine pas l'homologation de produits alternatifs au glyphosate
Le 21 août, France 2 reprend, sans vérifier, l'affirmation du responsable EELV comme quoi deux produits alternatifs seraient bloqués par l'Anses sur pression de la FNSEA .
Interrogé les responsables des deux entreprises démentent formellement. Un des produits est homologué depuis 2015, l'autre n'a toujours pas fait de demande.
Article 19 août 2020 RTBF ICI
Des huiles essentielles pour remplacer le glyphosate ?
Le produit sera-t-il homologué et à quel coût ? (Glyphosate : 6-8 €/ha en 2020).
Nb : Le mode d’action reste à préciser : par contact, la plante est grillée mais repousse ? Action systémique, comme le glyphosate avec mort de la plante ?Note et graphique à retrouver ici :
Non Bayer / Monsanto ne fait pas fortune avec le glyphosate en France. Il représente moins d'un quart du marché. Les paysans achètent les génériques moins cher.
La découverte d’une nouvelle molécule, serait un argument supplémentaire pour l’interdiction du glyphosate. Sans concurrence, le propriétaire de la molécule vendra le produit au prix fort pour maximiser son profit. Les « « dindons de la farce » ? Les agriculteurs européens !
Vignes : 600 €/ha de surcoût.
En vigne les viticulteurs alertent sur le surcoût du glyphosate : 600 €/ha, encore moins supportable dans la situation économique actuelle avec des stocks, des invendus et prix bas suite à la Covid et aux taxes américaines.
Ils vont devoir acheter du matériel et
Plus d'infos ICI.
19 % des agriculteurs utilisent le glyphosate sur 66 à 100 % de leurs parcelles.
Ils sont en semis direct et surtout en TCS (pas de labour sauf très occasionnellement). Sans glypho c'est la ruine assurée pour eux : ils ont en majorité des terres à faible potentiel qui dégagent un faible revenu et ne peuvent pas supporter une charge supplémentaire : revenu moyen 2019 de 1200 céréaliers grand ouest : 139 €/ha = 17 193 €. 2018: 118 /ha = 14 587 €
Besoin d'un peu de glyphosate aussi en prairies élevage.
"L'opinion" pense que ce sont uniquement les céréaliers qui sont utilisateurs de glyphosate. Pour un éleveur l'interdiction du glypho = 47 €/ha en plus par ha de prairie lors de sa destruction pour remise en culture (rotation) et retour à terme des vivaces comme le chiendent.
Sans compter l'assèchement du terrain consécutif au travail du sol si le glyphosate est interdit. De la réserve en eau en moins !
Nicolas Blandin Ouest France 25/07/2020 ICI plus en détails
L’ANSES avait commandé une étude complexe sur l’impact du glyphosate pour disposer d’élément incontestables. "Les coquelicots" et les opposants dogmatiques au glyphosate, menés par Delphine Baltho à l’Assemblée ont tout fait pour la torpiller. Et oui, peut être que la conclusion de cette étude aurait conforté les déclarations actuelles des agences : pas de raison sanitaire d’interdire le glyphosate.
C'est une question au gouvernement de Delphine Baltho, relayée par des articles de Stéphane Foucard dans le Monde qui ont conduit à ce que l'Anses jette l'éponge.
Intervention JB Moreau à écouter ICI.
L’ANSES avait commandé une étude complexe sur l’impact du glyphosate pour disposer d’élément incontestables. Le 23 juillet, le député LREM Jean Baptiste Moreau regrette vivement la décision de stopper cette étude : "On va tout droit vers l'obscurantisme".
Pourquoi cette attaque contre l'Anses ?
Les anti-glyphosate ne veulent surtout pas d'une étude commandée par l'agence FRANÇAISE car ils ne pourraient pas la critiquer avec la même mauvaise fois. Une partie des citoyens qui, aujourd'hui ont une mauvaise image du glyphosate, ne les suivraient pas dans la critique d'une agence française reconnue.
Ils visaient aussi "le tour d'après" : Lors de l'examen de la ré-homologation les experts européens s'appuieront sur les nouvelles études. Si sa conclusion était favorable au glyphosate, comment le gouvernement français aurait-il pu voter contre le renouvellement de l'homologation en 2022 ?
Ils ont donc profité d'une erreur de forme pour torpiller cette étude qui aurait pu ne pas être favorable à leur thèse. D'où la colère des scientifiques.
A lire ICI déroulez jusqu'à "Quelles limites" ?
17 juin 2020, les "cousins" Québécois confirment que les anti-glyphosate français mentent.
A lire pour tous ceux qui sont septique sur la qualité de l'enquête des agriculteurs portant sur les tests bidons des militants anti-glyphosate ("Ils ont conflit d'intérêt). Les anti-OGM Québécois eux même disent la même chose : Test Elisa non fiable, seuil 0,1 µg/l , norme pour l'eau (et non l'urine) à comparer au 210 µg/l du Québec.
Détails dans notre page Québec
Echanges twitter ici
Les tests des "pisseurs" français, méthode ELISA, sont bidons. Les anti-glyphosates et la presse du Québec le confirment.
17 juin 2020 : les anti-ogm, anti-glyphosate Québécois font connaitre leurs résultats de mesure du glyphosate dans les urines : 200 fois en deçà du seuil sanitaire au Québec. La mesure est faite au laboratoire de Brest (comme ceux de la FDSEA29) car la méthode Elisa (celle des « pisseurs »), non fiable, produit des « faux positifs ». Ils confirment ce que démontre le collectif « notrefuturdansleschamps » par ses analyses et enquêtes.
A visionner ICI
« Les normes sont des marges de sécurité définies avec au moins un facteur 100. »
« Lorsque vous avez un dépassement de ce seuil, ce n’est pas un risque mais une réduction de la marge de sécurité. »
« Oui, mais il y a l’’effet cocktail ». C’est l’argument des secours des opposants aux phytosanitaires quand ils n’en ont pas d’autres. Premiers résultats rassurants d'une étude de l'Esfa (29 avril 2020) : Pas d'effet cocktail
"La conclusion générale pour les deux évaluations indique que le risque pour le consommateur associé à une exposition cumulée par l’intermédiaire de l'alimentation est, avec des degrés variables de certitude, inférieur au seuil qui requiert une action réglementaire et ce, pour tous les groupes de population couverts."
Ici dans notre sous page : Accès
Les « pisseurs de glyphosate » sont proche du mouvement « Les coquelicots ». Ils ont lancé une campagne de test, visiblement coordonnées avec l’émission de Elice Lucet et créé un site pour cela : « Campagne glyphosate » qui affiche son objectif "Pour une agriculture sans pesticide"
Les responsables nationaux ont manipulé les militants locaux, citoyens sincères. Ils ont engagé des « pisseries » en utilisant le test qu’ils savaient non valide et créé des peurs. Exemple, Ouest France du 1er juin 2019 (ICI) titrait : « Morbihan. Ils mangent et boivent bio, mais leurs urines contiennent des taux élevés de glyphosate ». Avec des taux entre 0,47 et 2,57 µg/l, ces militants peuvent être pleinement rassurés. Comme leur diraient les cousins québécois : ils sont loin du seuil de 210 : ce sont des « faux-positifs ». S’ils avaient réalisé l’analyse à Metz, le laboratoire aurait indiqué : « inférieur à 0,8. « Absence de glyphosate » pour une partie d’entre eux. Celui de Brest, sans doute aurait-il conclu à : aucune trace ou un niveau de l’ordre de 0,1 à 0,4 µg/l.
Pisseur rime-t-il avec menteur ?
La réponse est non pour les militants locaux. Interrogés, des pisseurs de base expliquent qu’ils ont eux-mêmes posé la question de la fiabilité des tests à leur instance nationale, qui leur a répondu par l’affirmative. Les responsables nationaux, eux, savaient que la méthode Elisa n’est pas référencée pour l’urine, ce qu’ils reconnaissent implicitement au travers d’une publication du 4 novembre 2019.
Les responsables des pisseurs ont tout fait pour éviter des démarches transparentes. En Touraine, François Lafourcade, le responsable de la « campagneglyphosate37 », a refusé de participer aux tests croisés avec les parlementaires au prétexte que les instances nationales avaient assez de tests. Pourtant ensuite, des centaines d’autres ont été réalisés un peu partout en France ! Après avoir écrit oui au principe d’un débat en décembre, il n’a pas accepté d’y participer fin février.
"Le collectif « Nous voulons des Coquelicots » est très proche de Générations Futures et des groupes qui ont réalisé des tests de présence de glyphosate dans les urines. Ce dans le cadre de la lutte contre les « pesticides de synthèses ».
Il affirme régulièrement des contre vérités, notamment sur le cuivre produit « naturel » qu’il veut sauver car nécessaire en vignes, vergers, maraîchage AB.
Vidéo Le Télégramme ICI
Rennes : des militants anti-OGM forcent les portes du Conseil régional.
Les « faucheurs volontaires » constituent le noyau dur des anti-glyphosates. Le 10 juillet 2020 ils ont utilisé la violence.
Depuis 2 ans avec les tests mensongers sur la présence de glyphosate dans l'urine ils pratiquent la manipulation des autres militants et de l’opinion.
En France, EELV participe à la campagne anti-glyphosate.
Mais leurs propos, approximations ne résistent pas à l'échange avec les spécialistes que ce soit sur le
glyphosate
ou les néonicotinoides sur betteraves
Dans son livre Glyphosate, l'impossible débat, qui se lit comme un roman policier, le journaliste Gil Rivière W explique les interactions entre : les intérêts financiers des avocats USA; les campagnes anti-pesticides des ONG comme Greenpeace et de courants politiques; la volonté de développement des industriels et commerçant du Bio et les activistes européens.
Présentation : https://www.glyphosate-impossible-debat.com/.
Pour l'acheter 18 € : https://www.lepublieur.com/produit/glyphosate-l-impossible-debat-riviere-wekstein/