Le glyphosate n'est pas classé cancérogène par les agences chargées de vérifier le risque concret.

Le groupe conjoint OMS (maison mère du CIRC) et FAO et les différentes agences chargées de vérifier si le danger théorique mis en évidence par l’étude du CIRC ont toutes considérées que, en condition d’utilisation correspondant aux pratiques agricoles, le glyphosate ne représentait pas de risque et n’ont pas retenu la classification cancérogène probable (*). Ce sont elles qui sont agréées pour indiquer aux gouvernements et citoyens si un produit peut être utilisé et dans qu’elles conditions.

La référence : les agences

Seuls les militants contestent les agences avec l’appui d’une partie des médias. Mais aucune instance scientifique de référence ne conteste les décisions des agences :

-          Le CIRC n’a jamais remis en cause les décisions des agences

-          Le gouvernement français non plus.  Il est « empêtré » par la déclaration trop hâtive du président de la République faites sous influence de Nicolas Hulot et Ségolène Royal. Mais il n’a jamais rien écrit ou déclaré pour infirmer la position de l’Anses et de l’agence européenne.

Les agences sont qualifiées et contrôlées. Non, elles non pas été bernées par les « Monsanto paper » : les parlementaires français ont vérifié la qualité de leur travail. Leurs positions font donc référence.

Par ailleurs la presse parle peu des interrogations sur le calendrier des décisions de CIRC et la participation du consultant Christophe Potier, qui après la publication du rapport signait un contrat de 160 000 $ avec un cabinet américain spécialisé dans les attaques contre le Roundup

(*) En revanche un produit associé au glyphosate, s’est révélé dangereux et les désherbants en contenant retirés de la vente par les agences (tallowamine en juin 2016).