French 7

Teachers Name: Nacer Khelouz


                                                                                                                                








 

                                                                                  



                                                Vendredi 1 mars 2024

Nous entamons une œuvre monumentale : La princesse de Clèves » de Madame de Lafayette. Nous lisons toute la première partie (pages 1-30). Comme à notre accoutumée, envoyez-moi vos questions, commentaires et analyses.

 Veuillez ouvrir le lien suivant pour accéder au texte:

drive.google.com/file/d/1pQqiCBSSJiy3e-4Zo9GtJ8iT_GmHSHgX/view?usp=sharing 

                                                    Vendredi 23 fevrier 2024

Suite et fin du texte. La part de fiction, de réalité historique et de travestissement. La question de la  « vraisemblance ». Ce père honni puis retrouvé post-mortem, pour finir adulé n’est-il pas la figure prise à rebrousse-poil de ce que fut historiquement cette première génération nécessairement sacrifiée de l’immigration venue du Sud ?


                                                     Vendredi 16 fevrier 2024

Nous continuons la lecture de notre texte "Les silences des pères" de la page 105 jusqu'à la page 130.


Questions:


1-      En page 103, le narrateur semble particulièrement indigné de ce qu’il appelle « le silence de l’immigré ». Croyez-vous qu’une telle position est légitime eu égard aux conditions qui ont prévalu à l’arrivée des émigrés en France ?

 

2-      La lettre au père « Besançon -1976 » (pp.105-106) est beaucoup moins « bavarde » que les autres. En voyez-vous la raison ?

 

3-      En page 108, est-ce de Nietzsche dont il faut citer les paroles ici ? Celui-ci parle de l’enseignement et de l’éducation qui exigeraient précisément l’apprentissage de la solitude.

 

4-      Que pensez-vous de ce « raccord », de cette correspondance avec son agente qui coupe le récit à bien des endroits ?

 

 

5-      Pensez-vous que le fils, au même temps qu’il relate la dévotion du père, se démarque de lui par esprit de contradiction ? Référez-vous à la page 116 où il est question de « bière ».

 

6-      Le père fut donc amoureux d’une « française », Paulette. Qu’est-ce que cela dit de lui en tant que musulman ?

 

7-      Que pensez-vous des termes choisis dans la lettre au père (Besançon – 1975, pp. 127-128) ?


                                                          Vendredi 2 fevrier 2024

Nous continuons la lecture de notre texte "Les silences des pères" de la page 41 jusqu'à la page 67.

Venez avec vos questions ou envoyez-les sur ma boîte mèl. 

                                                      Vendredi 12 janvier 2024

Nous débutons un nouveau texte de Rachid BENZINE « Les silences des pères ». Il est question de musique, de mémoire, d’immigration et de silences. Ce texte comporte une dimension documentaire sur la réalité de l’exil et de l’immigration qui va nous permettre d’approcher au plus près l’invisibilisation des émigrés de la première génération. C’est également un témoignage poignant d’une rencontre « posthume » entre un père et son fils.

 

Envoyez vos questions, vos commentaires sur le premier extrait que nous lirons ensemble : pp. 11-45.


                                   Vendredi 5 janvier 2024

Discussion autour de thèmes d’actualité et proposition d'une nouvelle lecture.

Vendredi 1 décembre

Voici comme prévu un poème de Victor Hugo. Vos commentaires, analyses et questions sont les bienvenus.

Lazzara

Et cette femme était fort belle.

Rois, chap. XI, v. 2.



Comme elle court ! voyez : - par les poudreux sentiers,

Par les gazons tout pleins de touffes d'églantiers,

Par les blés où le pavot brille,

Par les chemins perdus, par les chemins frayés,

Par les monts, par les bois, par les plaines, voyez

Comme elle court, la jeune fille !


Elle est grande, elle est svelte, et quand, d'un pas joyeux,

  Sa corbeille de fleurs sur la tête, à nos yeux

  Elle apparaît vive et folâtre,

  A voir sur son beau front s'arrondir ses bras blancs,

  On croirait voir de loin, dans nos temples croulants,

  Une amphore aux anses d'albâtre.


Elle est jeune et rieuse, et chante sa chanson,

Et, pieds nus, près du lac, de buisson en buisson,

Poursuit les vertes demoiselles.

Elle lève sa robe et passe les ruisseaux.

Elle va, court, s'arrête et vole, et les oiseaux

Pour ses pieds donneraient leurs ailes.


Quand, le soir, pour la danse on va se réunir,

A l'heure où l'on entend lentement revenir

Les grelots du troupeau qui bêle,

Sans chercher quels atours à ses traits conviendront,

Elle arrive, et la fleur qu'elle attache à son front

Nous semble toujours la plus belle.


Certes, le vieux Omer, pacha de Négrepont,

Pour elle eût tout donné, vaisseaux à triple pont,

Foudroyantes artilleries,

Harnois de ses chevaux, toisons de ses brebis,

Et son rouge turban de soie, et ses habits

Tout ruisselants de pierreries ;


Et ses lourds pistolets, ses tromblons évasés,

Et leurs pommeaux d'argent par sa main rude usés,

Et ses sonores espingoles,

Et son courbe damas, et, don plus riche encor,

La grande peau de tigre où pend son carquois d'or,

Hérissé de flèches mogoles.


Il eût donné sa housse et son large étrier ;

Donné tous ses trésors avec le trésorier ;

Donné ses trois cents concubines ;

Donné ses chiens de chasse aux colliers de vermeil ;

Donné ses albanais, brûlés par le soleil,

Avec leurs longues carabines.


Il eût donné les Francs, les Juifs et leur rabbin ;

Son kiosque rouge et vert, et ses salles de bain

Aux grands pavés de mosaïque ;

Sa haute citadelle aux créneaux anguleux ;

Et sa maison d'été qui se mire aux flots bleus

D'un golfe de Cyrénaïque.


Tout ! jusqu'au cheval blanc, qu'il élève au sérail,

Dont la sueur à flots argente le poitrail ;

Jusqu'au frein que l'or damasquine ;

Jusqu'à cette espagnole, envoi du dey d'Alger,

Qui soulève, en dansant son fandango léger,

Les plis brodés de sa basquine !


Ce n'est point un pacha, c'est un klephte à l'oeil noir

Qui l'a prise, et qui n'a rien donné pour l'avoir ;

Car la pauvreté l'accompagne ;

Un klephte a pour tous biens l'air du ciel, l'eau des puits,

Un bon fusil bronzé par la fumée, et puis

La liberté sur la montagne.

                               (Victor HUGO, Les Orientales)





Vendredi 17 novembre

Nous arrivons au terme de cet excellent ouvrage. C'est l'occasion de tirer quelques conclusions sur ce qu'est l'acte d'écrire. Nous nous interrogerons sur les nombreux "balcons" narratifs (multiples points de vue) et sur cette quête de soi inachevée et nécessairement inachevable.  

Vendredi 10 novembre

Nous poursuivons notre lecture attentive de "Rue des boutiques obscures". Les chapitres à considérer sont les suivants: 37 - 38 (inclus).

Comme d'habitude, envoyez vos commentaires et questions avant le jeudi midi.

Vendredi 3 novembre

Nous poursuivons notre lecture attentive de "Rue des boutiques obscures". Les chapitres à considérer sont les suivants: 25 - 36 (inclus).

Comme d'habitude, envoyez vos commentaires et questions avant le jeudi midi.

Vendredi 27 octobre

Nous poursuivons notre lecture attentive de "Rue des boutiques obscures". Les chapitres à considérer sont les suivants: 16-24 (inclus).

Comme d'habitude, envoyez vos commentaires et questions avant le jeudi midi.

Vendredi 20 octobre

Nous poursuivons notre lecture attentive de "Rue des boutiques obscures". Les chapitres à considérer sont les suivants: 12, 13, 14 & 15.

Vos questions seront les bienvenues!

Certes, cette quête/enquête ne nous livre pas beaucoup d'indices ni de matière à travailler. Mais il est d'autant plus intéressant de sortir des canons du roman classique avec ce "confort" dans lequel nous autres lectrices/lecteurs nous nous installons volontiers. A une recherche désespérée de fantômes du passe correspond nécessairement une écriture de l’inachèvement, de l'ellipse , des blancs de béance et des zones d'ombre.

Cherchons du côté des "non-dits", des silences de la narration qui font texte.

Vendredi 13 octobre

Nous poursuivons notre lecture attentive de "Rue des boutiques obscures". Les chapitres à considérer sont les suivants: 8, 9, 10 & 11 (inclus).

Encore une fois: veuillez m'envoyer vos questions/commentaires avant jeudi soir.


Vendredi 6 octobre

Nous continuons la lecture du roman « Rue des boutiques obscures » de Patrick Modiano. Veuillez lire les chapitres 4, 5 et 6.

Envoyez-moi vos questions et commentaires pas plus tard le jeudi 5 octobre vers midi. 

Lors de notre première séance du vendredi dernier, nous avions vu les possibilités offertes à la fois par le titre lui-même qui suggère l’idée de rue, de chemin à emprunter doublé de cette indication de « boutique » (lieu d’une possible transaction commerciale de vente et d’achat (à quel genre de commerce avons-nous affaire ?)  qui n’exclue pas celle avec  le lecteur mais vite rattrapé par la rétractation suggérée par le mot « obscures ») mais également par le passage en force de l’incipit « Je ne suis rien » installant le récit dans la dissolution du « Je » alors que l’on s’attend en début de roman sinon à sa dilatation du moins à son exposition.   

Nous avons vu cette identité d’emprunt, celle d’un Guy Rolland fantomatique. Prendre l’identité d’un fantôme, c’est le devenir soi-même. Ensuite, nous avons insisté sur cette relation quasi filiale de Hutte à Guy Rolland (une relation de père à fils ? avions-nous suggéré).

Poussez plus avant cette réflexion et cherchez les voies d’accès à ce personnage en quête d’un passé qui se dérobe.


Vendredi 29 septembre

Nous entamons la lecture d’un chef d’œuvre de la littérature française contemporaine « Rue des boutiques obscures » de Patrick Modiano. Veuillez lire les chapitres I, II, et III.

Envoyez-moi vos questions et vos commentaires pour la discussion. 

En voici le lien :

drive.google.com/file/d/1w7xGvJ3HQxEhBe3AmfJIMNKHjOpMxcx2/view?usp=sharing 


Vendredi 22 septembre

Nous visionnerons "Les glaneurs et la glaneuse" d'Agnès VARDA. En se servant du portrait cinématographique que Patrick Roegiers a peint d'elle dans « Nouvelle vague », nous tenterons à notre tour de pénétrer l’univers de Varda dans cet exercice qu’elle affectionne tout particulièrement : la fiction mêlée au documentaire, le docu-fiction comme l’on dit. Où est la part du « réel » et celle du travail d’écriture cinématographique ? Varda ne s’abstrait jamais du monde qu’elle montre, elle y prend toute sa part.

Envoyez-moi, jeudi au plus tard, vos questions et vos commentaires pour nourrir notre discussion.




Vendredi 15 septembre

Nous poursuivons notre lecture du chapitre 2 de "Nouvelle vague, roman". Prenez des notes et envoyez vos questions pour nourrir notre discussion. Visionnez, si possible, le travail d’Agnès Varda et notamment le film dont il est fait abondamment reference dans ce chapitre.

Vendredi 8 septembre

Nous commencerons la lecture de « Nouvelle vague, roman ? » de Patrick Roegiers. Lisons le chapitre 1 (pp. 11-25) et entrons dans l’univers de cinéastes qui ont révolutionné le cinéma français.

 Comme d’habitude, posez-vous les bonnes questions et venez avec vos analyses pour nourrir notre discussion.





Nous entamons, pour cette derniere ligne droite, le premier roman d'Azouz Begag "Le gone du Chaaba".Nous lirons les pages suivantes: pp. 9-41. Ceci est une                 ecriture aisee a suivre et de laquelle nous pourrions tire un certain plaisir. Soyez attentifs aux codes culturels et au bilinguisme du texte.

drive.google.com/file/d/1Itd-zjl4noEDYF3GQWMOp3C2_GlCKjAl/view?usp=share_link 

Vendredi 14 avril

Nous arrivons au terme de ce récit d'"Indiana". Il serait souhaitable que vous réagissiez avec vos questions, commentaires ou analyses. Envoyez-moi votre contribution assez tôt afin que je puisse vous en proposez un document cohérent.

Vendredi 7 avril

Nous continuons notre analyse de "Indiana". Nous nous consacrerons au chapitres suivants 26, 27 et 28. Quelle vie pour Indiana? Y a-t-il un espoir de rapprochement avec Ralph. La solitude insulaire n'est-elle pas sa meilleure alliée? Fera-t-elle de nouveau confiance à l'abominable Raymon?


Vendredi 31 mars

Nous continuons notre exploration et analyse du roman de George Sand « Indiana ». Nous aborderons les chapitres 24 & 25. Soyez attentifs aux sinuosités de la reflexion d'Indiana et notammant si son "choix" d'accompagner son mari peut être considéré comme un moment de bscule du récit.

Vendredi 24 mars

Nous continuons notre exploration et analyse du roman de George Sand « Indiana ». Nous aborderons les chapitres 21, 22 et 23. Nous nous approchons du dénouement de cette fascinante histoire. Nos quatre personnages (le colonel Delmarre, Indiana, Raymon et Ralph) sont plus que jamais au coude-à-coude. Que nous réservent-ils? Assistera-t-on à des chutes ou des retournements ? La narratrice n'a épargné personne, faisant de ce récit le plus indécis qui soit.


Vendredi 10 mars

Nous continuons notre exploration et analyse du roman de George Sand « Indiana » avec toute l’attention qu’il requiert. Nous lisons à présent les chapitres 19 et 20.

Attachez-vous à suivre les sinuosités des caractères, ces figures d’abord archétypales mais qui vite s’avèrent beaucoup plus difficiles à se laisser saisir. Sommes-nous encore dans le quatuor : le colonel Delmare, Indiana, Raymon et Ralph ? Y a-t-il d’autres liens qui se sont noués ? R aymon veut-il/peut-il changer ? Ralph est-il définitivement relégué au second plan, laissant toute latitude au trio (Delmare, Indiana et Raymon) ?


Vendredi 6 janvier 2023

N0us abordons maintenant l'oeuvre de George Sand "Indiana". Lisons de la page 6 à la page 35 (pp.4-35). Veuillez comme d'habitude lire attentivement et consigner vos analyses, commentaires et questions sur un papier. Il serait bon que vous m'envoyez le fruit de votre lecture avant la classe.

Voici le lien vers livre : 

drive.google.com/file/d/1Tu-_QKF396RW0i9tqH9yYBKuOtKdDgMt/view?usp=share_link 

                                               Vendredi 15 décembre 2022

N0us abordons maintenant l'oeuvre de George Sand "Indiana". Lisons de la page 6 à la page 35 (pp.4-35). Veuillez comme d'habitude lire attentivement et consigner vos analyses, commentaires et questions sur un papier. Il serait bon que vous m'envoyez le fruit de votre lecture avant la classe.

Voici le lien vers livre : 

https://beq.ebooksgratuits.com/vents-xpdf/Sand-Indiana.pdf 



                                                                                Vendredi 9 décembre 2022

1- N0us continuons let finissons la lecture de l'ouvrage "Zéro gloire"  et nous en tirerons les conclusions sur le "genre" et les modalités de l'écriture  de l'oral: entre invention et mimétisme.

2- Lisons ensemble cette "nouvelle" d'Henri Lopes extraite de son livre "Tribaliques":

drive.google.com/file/d/190JEpdlYQ2uGNnPCyjPBlXZZGz4IvmW9/view?usp=share_link 


Vendredi  2 decembre  2022

N0us continuons la lecture de notre ouvrage "Zéro gloire" . Nous lisons le passage suivant: 53-102.

Comme d'habitude, il serait boque vous envoyez vos commentaires, questions ou analyses avant jeudi midi.

Vendredi  4 novembre  2022

N0us continuons la lecture de Dans l'oeil de Sobakine, pp. 259-302. Saurons-nous ce qui se cache derrière  cette quête désespérée ? Thomas-Sauveur, touchera-t-il au but? Quel but?  Esthetique? Philosophique? Recherche d'une poétique cinématographique au travers d'une é criture qui cherche sa propre prescription?

Comme toujours, veuillez m'envoyer vos commentaires, questions et analyses au plus tard le jeudi midi. 


Vendredi  28 octobre  2022

N0us continuons la lecture de Dans l'oeil de Sobakine, pp. 200 -257. N'oubliez pas de m'envoyer vos remarques, analyses et questions jeudi midi dernier délai. Il sera toujours plus utile de commencer nos discussions en nous basant sur vos lectures respectives.

Vendredi  20 octobre  2022


N0us continuons la lecture de Dans l'oeil de Sobakine, pp. 151-199 avec toujous le même souci d'une lecture exigente qui ne fait pas l'économie de tous les aspects narratifs et qui garde un oeil sur le métadiscours du narrateur. Est-ce là  une oeuvre en gestation, une oeuvre en train de s'élaborer devant nos yeux (un pur rapport à l'écriture qui cherche sa propre prescription) ou un récit labyrinthique? 

Vendredi  7 octobre  2022

N0us continuons la lecture de Dans l'oeil de Sobakine, pp. 72 - 117, toujours dans le meme souci d'interroger le texte dans ses retranchements.

Vendredi  30 septembre  2022

Nous continuons la lecture de Dans l'oeil de Sobakine, pp. 39 -71, dans la meme veine et avec le souci d'aller au plus profond du jeu narratif et des modalites d'exposition.

Vendredi  23 septembre  2022

Nous allons commencer la lecture d'une oeuvre complète: Aurélien BEDOS, Dans l'oeil de Sobakine, pp. 9-38 (chapitres I & II).

Vendredi  9 septembre  2022

Pour notre première séance, nous allons lire ensemble Robert Desnos, chantre de ce qu’on a appelé « la poésie de la libération », dans son poème sans titre « Tu prends la première... ». Après une lecture attentive, commencez à répondre aux questions posées à l’issue du poème.

docs.google.com/document/d/11s6s6wZc89zJOFx5HRd4teC86NFGys2P/edit?usp=sharing&ouid=115285967490580510859&rtpof=true&sd=true 



Vendredi  1 avril   2022


Suite et fin de notre roman "Villa des femmes" de Charif Majdalani pp. 229-279.

Veuillez préparer vos questions et commentaires (que vous pourrez m'envoyer sur ma messagerie électronique, si vous le souhaitez.


Vendredi  25 mars   2022

Nous continuons notre lecture de « Villa des femmes » en lisant de la page 173 jusqu’à la page 228.

La chute du clan Hayek est-elle à ce point avancée que rien ne peut désormais arrêter son cours. Les femmes prendront-elles enfin le pouvoir ou au contraire se plieront-elles aux destinées patriarchales qui veulent que seuls les hommes comptent ? Observons les sinuosités et stratégies narratives qui conduisent à ce double voire triple niveau des points de vue à partir desquels le récit s’organise.

Quel est le rôle de Noula-narrateur ? Pourquoi prend-il en charge le récit alors que sa position dans cette famille est décentrée et pour le moins marginale ? L’irruption de la guerre est-elle de nature à précipiter l’effondrement de cette famille ou est-elle simplement un prétexte à un mal plus profond ?


Vendredi  11 mars   2022


Nous continuerons notre lecture de « Villa des femmes » de Charif Majdalani en entrant de plus en plus au cœur de cette saga familiale des Hayek. Nous avons vu la disparition de Skandar Hayek, le patriarche, tandis que s’avance une incertitude sur qui sera désigné pour lui succéder. Verra-t-on la poursuite inébranlable du pouvoir des hommes ou commencera-t-on à entrevoir l’émergence d’une coalition féminine : Mado et/ou Marie ? Karine sera-t-il l’heureuse élue ?

Lisons de la page 125 jusqu’à la page 171 pour le découvrir.



Vendredi  4 mars   2022

Nous continuerons notre lecture de « Villa des femmes » de Charif Majdalani. Nous lirons de la page 85 (chapitre 7) jusqu’à la page 124 (chapitre 9).

Comme à notre accoutumée, soyez attentifs aux détails narratifs qui fondent le récit. Posez vos questions ou apportez vos remarques avant jeudi midi.


Vendredi  25 février   2022

« Villa des femmes » de Charif Majdalani. Un récit d’une saga familiale de la haute bourgeoisie libanaise vue par le truchement d’un employé qui nous dit l’admiration qu’il porte aux femmes de la maison, véritables gardiennes du temple masculin.  


Vendredi  18 février   2022

Visionnons ensemble « le salaire de la peur » de Henr-Georges Clouzot (1953). C’est l’occasion de revenir sur les notions d’honneur, de courage et de peur. L’argent n’est pas en reste, lui qui fait si cruellement défaut. Une analyse filmique sera faite pour débusquer au travers de l’image, du son, de la musique, des cadrages et des jeux de lumière la tonalité juste de cette fresque.


Vendredi  11 février   2022


Voici un texte d’un écrivain algérien "Rachid Boudjedra" qui pose la question de l’écologie différenciée, selon que l’on parle des pays riches ou des pays pauvres. Nous verrons comment les imaginaires s’avèrent totalement différents sur la question, pour ne pas dire contradictoires.

Comme d’habitude, lisez attentivement et essayez d’aller au fond des problématiques en débat ici et sans doute avec un regard distancié (ce texte remonte à 1997) : quelles enjeux sont ceux de l’écologie aujourd’hui ?




Vendredi  4 février   2022


Comme convenu, nous finirons de lire et analyser « Sémi » d’Aki Shimazaki. N’oubliez pas de préparer vos questions et analyses en allant chercher les indices qui poussent vers une lecture multidimensionnelle, sans négliger l’allégorie sous-jacente.

Quelques questions :

1-      En quoi ce texte peut-il s’apparenter à un journal intime ?

2-      Considérez la question du point de vue.

3-      Qu’est-ce que nous dit le dénouement du récit sur les deux personnages principaux ?


                                                                                      Vendredi  28 janvier 2022


Nous continuons la lecture et l’étude du roman d’Aki Shimazaki « Sémi » de la page 53 jusqu’à la page 103.

Veuillez préparer vos questions et analyses que vous m’enverrez le jeudi à midi.


                                                                                        Vendredi  21 janvier 2022


Nous commençons l’étude du roman d’Aki Shimazaki « Sémi » que nous diviserons en trois parties. Cette semaine, nous irons jusqu’à la page 52.

Veuillez prendre soin de lire attentivement les différents aspects du récit (temps verbaux, espaces à la fois référentiels et symboliques, style d’écriture, mise en abyme, etc.). Au-delà de la question de la maladie d’Elsheimer, que cherche à nous dire le narrateur en ce début de récit ?

Venez avec vos questions et analyses.



                                                                                    Vendredi  7 janvier 2022

                                   BONNE ANNÉE 2022!


Nous continuons notre lecture de « Le père Goriot » pp. 363 - 446). Cela commence avec "Ce mot  proudisit sur Vautrin l'effet de la foudre." et se finit par "Il est des situations dans la vie où tout est amertume."

                                                                                           Vendredi  10 décembre 2021


Nous continuons notre lecture de « Le père Goriot » pp. 300-363). Envoyez-moi vos questions et commentaires.


                                                                                                 Vendredi  10 décembre 2021 

Nous continuons notre lecture de « Le père Goriot » pp. 258 -299).


                                                                                        Vendredi  2 décembre 2021 

  Nous continuons notre lecture de « Le père Goriot » pp. 212- 258) (de "Eugène fut tiré de sa rêverie..." à  "...À ce nom, les regards se portèrent sur l’ancien vermicellier...avec une sorte d'envie.") 

Envoyez-moi vos questions.             

                                                                               Vendredi  19 novembre 2021   

 

Envoyez-moi vos questions.      

  

                                                                                Vendredi  12 novembre 2021                                     

              Nous continuons notre lecture de « Le père Goriot » pp. 123- 162) (de "Il monta le perron la mort dans l’âme." à  "...peuvent se réduire à ceci.") 

Envoyez-moi vos questions.             

                                                                                     Vendredi  5 novembre 2021

Nous continuons notre lecture de « Le père Goriot » pp. 93- 123  (de  "Les pensionnaires, internes et externes,..."  à "ma cousine aura sans doute aussi son Maxime.


                                                                      Vendredi  29 octobre 2021

Voici un article pour analyse. Veuillez le lire attentivement et apporter vos contributions sous forme de questions ou de commentaires, propres à alimenter notre discussion.

drive.google.com/file/d/1PyEkBAsdmRtfbM4MOO9Qt2j-VPTiRigr/view?usp=sharing 

                                                      Vendredi  22 octobre 2021

Nous continuons notre lecture de « Le père Goriot » pp. 42- 93. L’extrait commence avec « Mon ange... » et finit avec « ...deux gouttes d’eau. ».

 

Envoyez-moi au moins 02 questions/commentaires que nous étudierons avec l’ensemble du groupe. Comme à chaque fois, nous nous intéresserons au récit sous ses multiples dimensions : narrative, descriptive, ‘architecturale’, sociopolitique, etc.  

         

                                                                   Vendredi  15 octobre 2021


Nous contunuerons la lecture de : Le père Goriot d’Honoré de Balzaz. Nous lirons les pp. 21 - 42.

Nous aurons toujours la même attention portée aux détails narratifs qui peignent ces personnages liés par un destin commun. En plus de l’intervention du narrateur/auteur dans son apostrophe au lecteur qui serait enfoncé « dans un moelleux fauteuil », nous analyserons le rôle de la description comme élément constitutif du récit. La description ici n’est pas une simple pause au milieu des événements mais elle les prépare et les façonne.



                                                            Vendredi  8 octobre 2021


c.

                               Nous lirons jusqu’à la page 20.

                               Veuillez m’envoyer vos questions et remarques de tous ordres.

Veuillez trouver le lien au texte sur la page du 1 octobre ci-dessous.

                                                                          Vendredi  1 octobre 2021


I-                   Nous continuerons de débattre de vos remarques sur le débat ayant opposé Alain Badiou à Alain

                     Finkielkraut.   


II-                À partir de cette semaine, nous commencerons la lecture d’un chef-d’œuvre de la littérature française du 

                     19e siècle : Le père Goriot d’Honoré de Balzac.

                               Nous lirons jusqu’à la page 20.

                               Veuillez m’envoyer vos questions et remarques de tous ordres.

 

 Voici le lien pour Le père Goriot:

drive.google.com/file/d/1xwPTzJUo7xdZbj4_Z8DKpkxH_VqoAlDv/view?usp=sharing 

                                                              Vendredi  24 septembre 2021


Retour sur le débat Alain Badiou- Alain Finkielkraut.

Relisons attentivement les différentes prises de positions des deux philosophes et essayons d’y voir plus clair sur leurs différences sur la question de l’identité nationale.

Venez avec vos questions et commentaires.

N.B.: le lien pour lire le texte est sur la page ci-dessous (17 septembre 2021).


                                                       Vendredi 17 septembre 2021


Nous assistons ces dernières années à une résurgence de la question identitaire : Qui sommes-nous ? Qui doit-on inclure dans la « communauté nationale » ? Qui doit-on y exclure ? Quelle est la matrice sur laquelle repose le concept de « communauté nationale » ? Toutes ces questions s’accompagnent d’une crispation autour des notions telles que « Nous et les Autres ».

À l’aide cet entretien de deux intellectuels français contemporains (Alain Finkielkraut et Alain Badiou) qui n’ont pas la même vision de ce qu’est la France et de ce que doivent être ses valeurs, nous tenterons de nous interroger à notre tour sur ces mêmes débats, surtout en nous aidant de la récente campagne idéologique menée par des partis ou des États pour lesquels la « nation » est en danger.

 

Veuillez lire l’échange suivant et m’envoyer avant jeudi midi vos questions, commentaires ou suggestions.

docs.google.com/document/d/1Kswl9lTZ9apWqpRKsinNyJ2OQqajWg08/edit?usp=sharing&ouid=115285967490580510859&rtpof=true&sd=true 



                                                    Vendredi 16 septembre

Pour ce vendredi, nous lirons ensemble ce conte de Guy de Maupassant "Le vagabond". 

Pour preparer notre discussion, attachez-vous à suivre cette chaîne infernale de « cause à effet » qui conduit à l’irréparable.

-          Que nous dit l’auteur sur le personnage principal de ce conte ?

-          Sous quels aspects dépeint-il la société ?

-          Quel est le corrélat de la pauvreté ?

-          De quoi Radel est-il le nom ?


Pour le texte de Maupassant, cliquez sur le lien ci-dessous:

drive.google.com/file/d/1TuKGKSj819bPGyfvLlcPEflk0Y8gLwYw/view?usp=sharing 

                                                                           Vendredi 17 septembre 2021


Nous assistons ces dernières années à une résurgence de la question identitaire : Qui sommes-nous ? Qui doit-on inclure dans la « communauté nationale » ? Qui doit-on y exclure ? Quelle est la matrice sur laquelle repose le concept de « communauté nationale » ? Toutes ces questions s’accompagnent d’une crispation autour des notions telles que « Nous et les Autres ».

À l’aide cet entretien de deux intellectuels français contemporains (Alain Finkielkraut et Alain Badiou) qui n’ont pas la même vision de ce qu’est la France et de ce que doivent être ses valeurs, nous tenterons de nous interroger à notre tour sur ces mêmes débats, surtout en nous aidant de la récente campagne idéologique menée par des partis ou des États pour lesquels la « nation » est en danger.

Veuillez lire l’échange suivant et m’envoyer avant jeudi midi vos questions, commentaires ou suggestions.


docs.google.com/document/d/1Kswl9lTZ9apWqpRKsinNyJ2OQqajWg08/edit?usp=sharing&ouid=115285967490580510859&rtpof=true&sd=true 


Bonjour Bonjour à toutes et à tous!

Nous allons commencer cette nouvelle année avec un texte d’Hélène Cixous « Le rire de la Méduse ». Malgré, peut-être, la difficulté de « tout » comprendre du texte, j’ai pensé que c’est là une excellente occasion de commencer notre année. Nous n’avions pas assez l’occasion de mettre en lumière ce que les femmes (intellectuelles, artistes ou autres) peuvent nous apporter. J’espère que cela contribuera à réparer cette injustice, d’autant que le thème principal du texte a une résonnance particulière sur nous, en ces temps de « féminicides » et violences faites aux femmes.


CIXOUS Le Rire de la Meduse.pdf

                                                                        Vendredi 25 septembre 2020


Nous allons lire et analyser la nouvelle de Guy de Maupassant « Le vagabond ». 

Pour preparer notre discussion, attachez-vous à suivre cette chaîne infernale de « cause à effet » qui conduit à l’irréparable.

-          Que nous dit l’auteur sur le personnage principal de ce conte ?

-          Sous quels aspects dépeint-il la société ?

-          Quel est le corrélat de la pauvreté ?

-          De quoi Radel est-il le nom ?



Le lien pour le texte de la nouvelle est ci-dessous:

drive.google.com/file/d/1TuKGKSj819bPGyfvLlcPEflk0Y8gLwYw/view?usp=sharing 


                                                                         Vendredi 2 octobre 2020

Nous continuerons la lecture de Maupassant « Le vagabond ».





                                                                             Vendredi 10 octobre 2020

Nous lirons “l’hôte” d’Albert Camus.

Analysons la polysémie du mot « hôte » et en quoi cette histoire peut-elle nous aider à réfléchir sur la notion toujours complexe d’appartenance. N’oublions pas la symbolique du haut et du bas (géographiquement) suggérée par ce texte.  

  Voici le texte:   drive.google.com/file/d/1oRB0fsl_9Ojn13MTkKILb7ORVLcPFlnN/view?usp=sharing 


                                                                                   Vendredi 16 octobre 2020

Nous lirons ensemble le texte d’Henri Lopes « Ma grand-mère bantoue et mes  ancêtres les Gaulois... »

La question de l’identité est plus que jamais posée dans nos sociétés d’aujourd’hui, parfois de manière apaisée mais souvent apparait-elle brûlante et passionnelle. Henri Lopes nous en propose quelques définitions qu’il serait intéressant de scruter avec attention. Nous élargirons la discussion pour tenter de comprendre les enjeux qui sont liés à ce besoin de se définir et pourquoi certains le tendent à le faire volontiers contre les autres.

Voici le lien vers le texte:  drive.google.com/file/d/1kAmfq7gDIZnvxiMRmZlV3exfjOKVwIzL/view?usp=sharing 

                                                                                 Vendredi 23 octobre 2020

Nous lirons "La mare au diable" de George Sand jusqu’à la page 39. Essayons de suivre le cheminement de la narration et d’en dégager les principaux éléments.


drive.google.com/file/d/1AbRkt9JzQ-TYJ_eopdjmU2Ea-L-3qhBC/view?usp=sharing 

                                                                         Vendredi 30 octobre 2020


Contunions notre lecture de "La mare au diable"  de la page 40 à la page 83, dans le même esprit critique.

                                                                Vendredi 6 novembre 2020

Nous poursuivons notre exploration de l’univers de George Sand avec cet incontournable “La petite fadette”. Lisons du chapitre I (p.19) jusqu’au chapitre III inclus (p.50). Vous pourrez – si vous le voulez – lire ou jeter un coup d’œil aux préfaces qui précèdent le texte.

Comme à notre habitude : nous nous intéressons aux modalités d’énonciation classiques (temps, lieux, personnages, événements narrés, etc.), avec toujours cette attention au détail, à ce que le texte suggère plus qu’il ne nous dit. Souvent, c’est en ces lieux « dérobés » que se cachent les trésors d’un texte.

Voici le lien au texte:

drive.google.com/file/d/1VHIaQucVY5h2CfDqnSA9iopGxovz5K3P/view?usp=sharing 

                                                        Vendredi 13 novembre 2020


Poursuivons la lecture de George Sand "La petite fadette" en lisant les pages suivantes (pp. 51 - 91).

Après cette entrée en matière où il semble qu’il y ait une distorsion dans la narration (les deux personnages qui s’avancent au-devant de la scène ne correspondant pas au titre),  allons-nous cheminer par ce détour vers la rencontre d’avec la « petite Fadette » ou au contraire cet horizon d’attente va-t-il épouser la vie champêtre, faite de lenteur et de patience ?

Nous avons vu, notamment au travers des deux préfaces, l’importance accordée par George Sand à la poésie régénératrice (rappelons-nous ce « laboureur qui s’ignore » dans « la mare au diable ») qui caractérise la ruralité (par opposition au tumulte de la vie urbaine). Nous sommes, encore une fois, tout juste après la révolution de 1848 et le cortège de souffrance engendrée tout au long du  règne sous la monarchie de Juillet (1830-1848). Sans oublier l’incertitude des lendemains qui va s’avérer difficile (les révoltes sanglantes du 15 mai 1848, la division au sein de la mouvance républicaine). Tout cela n’invite pas à l’optimisme. George Sand nous dit alors qu’une société apaisée doit passer par la peinture la plus proche possible de la « France profonde », rurale, authentique. C’est là la mission d’un artiste : représenter. Pour que l’on ne s’y limite pas [toute la problématique du réel et de sa repésentation], elle convie le citadin à non seulement aller se ressourcer épisodiquement au milieu de la nature mais de s’y arrêter plus longuement qu’il n’a l’habitude de le faire.

Interrogeons-nous, pour nourrir la discussion, sur cette notion de « gémellité » (les bessons). Est-ce la permanence du même, indissociable comme doit l’être la société et peut-être même « indépassable » ? L’un participant de l’autre, l’un trouvant son extension dans l’autre ne dessinerait-il pas la figure de la solidarité paysanne ? La société comme un seul et même corps vivant ?    


Vendredi 20 novembre 2020

Nous continuons notre lecture de George Sand "La petite fadette". Les pages que l'on va analyser sont les suivantes: Pages 92 à  128. 


                                                     Vendredi 4 décembre 2020

Nous poursuivons notre lecture de George Sand "La petite fadette".  Les pages à  lire sont les suivantes:  (129-205)

                                                                                 Vendredi 11 décembre 2020

Nous continuons notre lecture de George Sand “La petite fadette”. Veuillez lire de la page 206 jusqu’à la page 262.

Essayons de travailler à partir des questions suivantes:          

Chapitre 22 

1-   La déclaration d’amour de Landry vous parait-elle dictée par un réel penchant pour la petite Fadette ou pour se persuader qu’il a raison contre tous les autres ?

2-   Dans une histoire d’amour où il y a un trio, le troisième est souvent de trop. Or, est-ce que ce trio peut être également un ciment pour deux ?

3-   Est-ce que Landry peut aimer la petite Fadette sans détester Madelon ?

4-   La beauté de Madelon et la laideur de la petite Fadette, est-ce David contre Goliath ?

 

Chapitre 23 

1-   La petite Fadette : « Je crois que tu te fais un jeu de moi, Landry. Il y a des choses dont il ne faut pourtant point plaisanter. Je te prie donc de me laisser tranquille et de ne me parler jamais, à moins que tu n’aies quelque chose à me demander, auquel cas je serai toujours à ton service » p. 213.

-        Que pensez-vous de cette réponse à la déclaration d’amour que lui a faite Landry ?

2-   La petite Fadette compare son amitié pour Landry à celle que celui-ci entretient avec son frère Sylvinet.

-        Est-il possible de concevoir cette comparaison ?

3-   À la page 215, Landry semble s’intéresser au frère de la petite Fadette. Y voyez-vous un jeu de séduction indirecte ? Que peut-on en déduire du sentiment amoureux en cette circonstance ?

4-   Pages 216-220 : Le jugement des anciens repose sur une longue expérience dans l’observation des mœurs.

-        En quoi ce jugement est-il favorable à la petite Fadette ?

 

Chapitre 24

1-   La petite Fadette semble avoir transformé Landry autant que celui-ci l’a transformée. En lui disant de ne pas croire à la sorcellerie, est-ce un signe qu’elle lui envoie pour qu’il croit en elle ?  

2-   Dites en quoi l’amour de la petite Fadette pour dieu est la preuve que cherche Landry pour son amour pour elle.

Chapitre 25

1-   Les remèdes de la petite Fadette sont-ils des remèdes contre l’ignorance ?

2-   Le père Caillaud dit : « On l’a ou on ne l’a pas ; et, quand même on irait étudier dans les écoles comme les artistes, cela ne sert de rien si on n’y est adroit de naissance. Or je vous dis que Landry est adroit, et que son idée lui fait trouver ce qui convient. C’est un grand don de la nature qu’il a reçu, et ça lui vaudra mieux que du capital pour bien conduire une ferme. »

- Comment comprenez-vous ce compliment envers Landry ?

 

Chapitre 28

1-   Analysons l’explication entre Landry et son père, puis la réponse différée de la petite Fadette à la déclaration d’amour de Landry.

2-   L’éloignement cause souvent l’effritement du sentiment amoureux. Dans le cas de la petite Fadette et de Landy, aimer veut-il dire partir ?





                                                                                          Vendredi 18 décembre 2020

Nous continuons notre lecture de George Sand “La petite fadette”. Veuillez lire de la page 263 jusqu’à la page 281.

                                                                   Veuillez m'envoyer vos questions au plus tard jeudi 17 décembre à midi ici :                                                                                                           khelouznacer@umkc.edu 



Vos Questions

 

1-    Est-ce que le père et la mère Barbeau étaient trop fiers des bessons au point de ne pas s’apercevoir  des problèmes qui se développaient  dès le début de l’adolescence?

 

2-   Auraient-ils dû prévoir ce phénomène plus tôt et encourager les deux garçons de sortir, se défendre, fonctionner sans la permission et la protection de l’autre ?

 

3-   Comment réagissait la mère Barbeau à la réaction de Sylvinet le jour du départ de Landry?

 

4-   Pourquoi n'osait-elle pas intervenir envers les décisions du père Barbeau?

 

5-   Est-ce que Landry avait raison de cacher ses désirs, sans en informer Sylvinet comme toujours ?

 

6-   C'est étonnant que les deux bessons qui étaient inséparables, heureux et admirés de tous dans leur enfance ont évolué différemment à leur adolescence. Qu’auraient pu faire les parents à la place de gâter et protéger Sylvinet? 

 

                                                                                           (Bernadette)



                                                                                  Vendredi 8 janvier 2021

               Bonne et Heureuse Année 2021! 

Nous continuons et achèverons notre lecture très  analytique et passionnée de ce récit. Veuillez donc vous rendre à la page 282 et lire avec attention jusqu'à la fin de l'ouvrage. 

                                                                                         Vendredi 15 janvier 2021


Voici deux textes. 

Nous lirons d’abord attentivement celui de Roland Barthes et nous pencherons sur ce qui, selon lui, représente un point d'ancrage de la culture française: le vin. 

Nous aborderons ensuite, dans la mesure du temps qui nous restera, un article qui traite de la question du sexisme. Nous verrons que tous deux nous plongent dans des problématiques qui sont de plus en plus présentes au sein du débat public.


1- Roland Barthes:

drive.google.com/file/d/1t28TaJfeZUBsBeM33f4zTetdejDRB1hT/view?usp=sharing 

2- Le sexisme ordinaire:

drive.google.com/file/d/1c0TzSKkuJf1SQl2ooCz2PTBqnnVd2VhQ/view?usp=sharing 


                                                                    Vendredi 22 janvier 2021

Nous continuerons la lecture de Roland Bart "le vin et le lait", ensuite nous passerons à l'article sur   le sexisme :     drive.google.com/file/d/1c0TzSKkuJf1SQl2ooCz2PTBqnnVd2VhQ/view?usp=sharing 

  Le texte suivant de Roland Barthes  "Le monde où l’on catche” sera abordé ultérieurement.

drive.google.com/file/d/1f8lBBlJdh_YNszjLKgY9ndxmbGWkA7Lo/view?usp=sharing 


                                                                                    Vendredi 28 janvier 2021

Comme prévu, nous lisons “le monde où l’on catche » de Roland Barthes.

Veuillez ouvrir le document dans la page précédente.


                                                                                Vendredi 5 février 2021

Cette semaine, nous commencerons une nouvelle aventure qui va nous plonger dans l’univers de « l’orientalisme » (sans l’Orient, comme le dirait Edward Saïd). Ce roman est révélateur d’une certaine façon d’appréhender « l’autre », de le regarder de loin, puis de le transformer selon l’image stéréotypique que l’on peut en avoir.

Cette fiction, ce roman « Tartarin de Tarascon » est un modèle du genre. Nous allons voir comment Alphonse Daudet, son auteur, se joue de toutes ces catégories de représentation de l’Autre, avec beaucoup d’humour (est-ce de la dérision ? de l’ironie ? à nous de le découvrir), de la dénonciation parfois et souvent avec la gouaille et la verve du Sud qui est si proche, si loin de l’autre rive de la Méditerranée : l’Afrique.

 

Lison, pour commencer, de la page 11 à 29.


drive.google.com/file/d/1B_aJeyR-KseT-br0z1CatLRHj4akPS7J/view?usp=sharing 

Notes et tables des chapitres de "Tartatin de Tarascon":

drive.google.com/file/d/10tN_XrHZBYIQdnGRVGOb5Lns0W_AOEQO/view?usp=sharing 


                                                                                       Vendredi 12 février 2021

Voici le texte de Tartarin de Tarascon qu'il faudra lire  à la place de celui de la semaine dernière. Je vous demanderais de continuer à vous servir des « Tables des matières et notes » de l’autre texte afin d’avoir la possibilité d’accéder au vocabulaire fourni par l’éditeur.

Attention: La pagination change: nous lirons de la page 33  jusqu’à 57. Veuillez ouvrir le lien suivant:

drive.google.com/file/d/1I8HjV_cdijM2tjwfny0--71aMA8RtHXU/view?usp=sharing 

                                                                                          Vendredi 19 février 2021


Nous continuons la lecture de Tartarin de la page 58 jusqu’à 99

Va-t-il enfin partir? Est-il parti et déjà revenu ? Quels en sont les préparatifs ? En serions-nous quittes pour un autre voyage livresque ? Jusqu’où Tartarin est-il capable d’aller ? Et avec lui, est-ce que c’est tout Tarascon qui bouge et rêve à sa réhabilitation ? Voici quelques-unes des questions qui nous accompagneront. D'autres vont assurément suivre.

 


                                                                             Vendredi 26 février 2021


Nous continuons la lecture de Tartarin de la page 100 jusqu’à 143


Maintenant que Tartarin est en Algérie, va-t-il continuer à nourrir ses illusions d’une terre sans peuple, une terre où seule la bête féroce peut vivre. En chassant cet improbable lion, ne trouve-t-il pas là le moyen de chasser de son esprit l’idée que l’Algérie pouvait être autre chose que le prolongement du rêve tarasconnais ?

Où est donc passé le chevalier passionné et émérite, le fameux Don Quichotte, le redresseur de torts, le défenseur des opprimés ? Nous nous interrogerons de ce point de vue sur les limites de cette métaphore chevaleresque prise dans son délire tragi-comique.

 


                                                                                Vendredi 5 mars 2021


                                                      Nous continuons la lecture de Tartarin de la page 144 jusqu’à 180. 

Nous aurons une   présentation thématique de notre camarade Bernadette à la suite de laquelle nous engagerons une discussion.


                                                                                        Vendredi 12 mars 2021

                                                                                   

                                                                                                       Fin de “Tartarin de Tarascon” + bilan et enseignements


De quoi cette histoire est-elle le nom ? Qui de Don Quichotte et de Sancho Pansa a eu le dernier mot ? Cherchons, derrière le comico-burlesque du personnage, le tragique de cette traque irraisonnée de l’Autre. Tartarin, en voulant chasser le lion, cet objet de son orgueil, s’en trouve à son tour chassé (du moins cherche-t-il à nous le faire croire), pour mieux dissimuler cette autre traque, la plus ignoblement partagée : celle de tous ces "sauvages", ces "Teurs", pourchassés partout sur leurs propres terres. 


                                                                         Vendredi 26 mars 2021


Voici le texte du roman « Les trois dames de la Kasbah » de Pierre Loti. Lisez-le en entier. Nous aurons l’occasion de prolonger notre dernière discussion sur la notion d’orientalisme en littérature. Loti nous en donne ici un parfait exemple. Nous y traquerons tous les marqueurs du discours – monologue - sur l’autre.

drive.google.com/file/d/1GzClUZ1yVkn9d_YzLo9w7Qesmi1FVbvz/view?usp=sharing 



                                                               Vendredi 2 avril 2021


Nous restons sur « Les trois dames de la Casbah ». Nous affinerons notre analyse du texte par des recoupements et une grille interprétative.


                                                Vendredi 9 avril 2021

Pour cette séance, nous étudierons Maupassant « Le Horla » avec notre habituelle analyse textuelle et contextuelle.

drive.google.com/file/d/1OW6IL1j1s0StbxSpUte_HXAfLTgziSyX/view?usp=sharing 




                                                               Vendredi 16 avril 2021


Voici un texte de George Rodenbach “L’Arbre”. Lisons-le et analysons sa structure.

drive.google.com/file/d/1TKgMaUdH9s46M9Z-KIWUgkfuNmMraT36/view?usp=sharing 

                                                               Vendredi 23 avril 2021


Lisons “L’Étranger” d’Albert Camus pour cette séance jusqu’à la fin du deuxième chapitre (page 43).

Intéressons-nous à ce mode d’écriture dépouillé, à cette absence apparente de profondeur du pennage principal, sa psychologie en rétractation.

Nous travaillerons autour des axes suivants :

1-     L’énonciation : comment comprendre l’incipit (le début du roman » : le télégramme et le commentaire qui en est fait.

2-     Les notions de « maman » et de « mère » : quelles en sont les différences et pour quels buts ?

3-      Que nous apprend la description méticuleuse des différents participants aux obsèques ?

4-     La morale individuelle vs la morale collective.

Voici le lien au texte:

drive.google.com/file/d/1N5gF-uyHEkyBzQCgjvljKc0NRKN33UHe/view?usp=sharing 


                                                                 Vendredi 30 avril 2021


Nous continuons notre lecture de L’Étranger” d’Albert Camus avec les chapitres 3, 4 & 5 (pp. 44 - 67).


                                                               Vendredi 7 mai 2021


Nous continuons notre lecture de L’Étranger” d’Albert Camus avec les chapitres 6 (premiere partie) + 1 &2 (deuxieme partie) : pp. 68-100.

                                                               Vendredi 14 mai 2021


                                                                    Suite et fin de "L'Etranger" d'Albert CAMUS.