Cette sixième itération de la courbe de Hilbert a été réinterprétée par encodage, ce qui a permis l'identification d'une nouvelle régularité : Les zones identifiant l'orientation des instances de l'élément de base de la courbe peuvent non seulement être réparties en deux groupes (horizontales versus verticales, voir la Série Hilbert 2), mais cette répartition se subdivise à son tour en deux couches superposées d'éléments interagissant de toutes les façons possibles : les zones encerclées de lignes foncées sont majoritairement verticales, et les autres horizontales. De plus, les contours des éléments des deux zones se croisent toujours perpendiculairement; il n'y a aucun endroit où les courbes sont confondues, même brièvement. Comme dans les autres œuvres, tous ces contours sont clos.