Phrases et listes à puces
Il est recommandé, dans la mesure du possible, de privilégier l’utilisation de phrases courtes afin de favoriser une lecture maximale des pages Web. Une phrase de quelque 15 à 17 mots facilite une lisibilité optimale. Dans le même esprit, cherchez à remplacer certains mots par des synonymes plus concis et à subdiviser les textes en paragraphes plus courts.
Exemple
« Une absence non justifiée à un examen d’admission entraîne la fermeture du dossier. La justification écrite doit être remise à l’autorité compétente au plus tard 8 jours après la date de l’examen. »
Plutôt que…
« Lorsqu’un candidat doit passer un examen pour l’admission, l’absence à une telle évaluation au moment fixé entraîne la fermeture de son dossier, à moins de justifier cette absence auprès de l’autorité compétente en présentant par écrit un motif valable dans les huit jours suivant la date de l’évaluation. »
De même, une page Web ne devrait idéalement pas compter plus de 600 mots (Canivet, 2011).
Afin d’éviter les textes trop lourds, il est préférable d’utiliser des phrases affirmatives plutôt que négatives.
Exemple
« Les titulaires d’un baccalauréat d’une autre discipline doivent suivre une propédeutique afin d’accéder à la maîtrise. »
Plutôt que…
« Les titulaires d’un baccalauréat d’une autre discipline ne pourront pas accéder à la maîtrise avant d’avoir suivi une propédeutique. »
Les textes écrits à la voix active entraînent généralement une lecture plus agréable.
Exemple
« Les nouveaux bacheliers ont reçu leurs diplômes des mains de la vice-rectrice. »
Plutôt que…
« Les diplômes ont été remis aux nouveaux bacheliers par la vice-rectrice. »
Sans en abuser, il est conseillé d’utiliser une liste à puces afin inclure certaines énumérations constituées d’environ 3 à 8 éléments. Les listes doivent être faites à partir des fonctions prévues à cet effet dans Word et TYPO3.