Urss - communisme et fascisme unis.

D'où vient la haine de Staline pour la Pologne et le peuple polonais ?

En 1920, une désobéissance de Staline aux ordres du général Toukhatchevski est une des causes importantes de l'échec de la bataille de Varsovie et de la défaite dans la guerre russo-polonaise. Il ne l'oubliera jamais et vouera une haine féroce aux polonais, en particulier aux officiers polonais qu'il fait exécuter à Katyn. Le massacre de Katyń est l'assassinat de plusieurs milliers de Polonais (essentiellement des personnalités, des officiers, mais aussi des étudiants (officiers de réserve), des médecins, des ingénieurs, des professeurs et des membres des élites polonaises considérées comme hostiles à l’idéologie communiste) par la police politique de l’Union soviétique (le NKVD) au printemps 1940 dans la forêt de Katyn, village russe proche de Smolensk, près de la frontière biélorusse.

Fidèle à sa politique de couardise, l'URSS a nié sa responsabilité dans le massacre dès qu’il fut révélé par les nazis, ainsi que durant toute la Guerre froide et en a rendu l’Allemagne nazie responsable de ces crimes. En 1990, la Russie a reconnu que ce massacre avait été ordonné par les responsables soviétiques. Outre ce crime, d’autres exécutions massives de membres de l’élite polonaise (de 25 000 à 26 000 personnes) ont été perpétrées en 1940 en divers lieux de l’ouest de l’URSS à la suite du partage de la Pologne entre l’Allemagne nazie et sa complice et sœur idéologique, l'Union soviétique.

Pour différentes raisons, dont notamment l’exploitation au début de l'année 1943 par la propagande allemande du massacre de Katyń découvert en 1941 lors de l’avance allemande en Russie, l’histoire a retenu ce massacre particulier comme emblématique de l’ensemble de ces crimes commis à l'encontre de la nation polonaise par l’URSS.

Pour ces raisons, nous considérons le fascisme ou le néo-fascisme, le communisme et toute organisation se revendiquant de Marx, comme des associations criminelles.

Déportés dans les goulags russes

dessins Eliasz Dyrow