Notre quatorzième édition est publiée!
Par Noé Damoiseau
Bienvenue à bord de la réédition 2021 du journal Noir & Blanc. Si j'ai décidé de refaire ce journal c'est parce qu'avec toutes les mesures de confinement et de distanciation, le besoin de communiquer devient de plus en plus important. L'être humain est un animal si grégaire qu'il ne peut pas se contenter d'une vie ermite et aussi improductif est parler de rien, cela nous rend heureux et nous permet de ne pas sombrer dans la dépression. En effet, le nombre de communications téléphoniques a signifiquement augmenté comme nous l'indique le rapport du bilan trimestriel de Bell. Vous trouverez cette semaine dans ce journal des argumentations de gens indignés par l'idée d'un nouvel uniforme, deux articles explicatifs sur des conséquences médiatiquement omises de la Covid 19. Certes, si la télévision et les journaux parlent des nombres de cas, c'est parce que c'est pour informer la population sur ce qu'elle veut savoir. En revanche, avec ces 8 ou plus articles sur la pandémie, certains sujets importants ne se publient pas et les gens sont moins informés. Notre journal a l'intention et la prétention de proposer des sujets originaux afin d'informer différemment et efficacement. Cette réédition gardera certaines traditions telle que les horoscopes humoristiques, mais votre brillant sens de l'observation vous a fait comprendre que certaines choses ont changées. Notre adaptation numérique vient de la maladie dont on est tanné d'entendre le nom. Des affiches avec un code QR seront accrochées sur le babillard à l'entrée Roberval ainsi qu'à la cafétéria. Il y aura aussi une petite pile de journaux au secrétariat si jamais vous avez des soucis technologiques. Nous vous demandons de ne pas les passer à d'autres gens afin de ne pas propager le Covid-19 (bruits de lapidation).
Les origines de ce journal ont pour auteur Olavo de Macedo Collins, un élève de secondaire 5 il y a deux ans. S'il a donné ce nom au journal, il doit bien avoir une raison. J’ai fait quelques recherches et je crois avoir trouvé la source. Non seulement il évoque la couleur de nos uniformes, ce qui peut être un symbole d’unité et de solidarité, mais il fait également référence à certains proverbes et expressions. Dire blanc et noir, écrire noir sur blanc, passer du blanc au noir, etc… Dans l’ordre; Dire tout et son contraire, ne pas prendre parti ; Écrit en toutes lettres, sans ambigüité possible ; Changer complètement d'opinion, être versatile. Cela nous informe donc que l’ancien journal avait l’intention d’être constitué de textes explicatifs sans opinion. Néanmoins, cette nouvelle édition, en restant dans les mêmes tons sera différente. Bonne lecture, on espère ne pas vous ennuyer et protégez-vous de ce grand méchant loup. Un jour, on m’a dit que le chasseur viendra et tuera le loup pour délivrer la grand maman et le chaperon rouge. Quand ce jour viendra, faites-moi signe et je sortirai de ma torpeur, du ventre lycanthrope.
Par Caterina Nicolescu
Il y a quelques semaines, le conseil étudiant a fait courir la nouvelle, à travers ses représentants de classe, l’éventuelle possibilité du port du pantalon d’uniforme pour les élèves de secondaire 1. Je me suis posé la question : est-ce que les élèves de l’Académie sont en accord avec cette décision ? J’ai donc décidé de mener un sondage, afin de pouvoir recenser les avis des étudiants. Sur environ 560 élèves de l’école, 250 élèves ont répondu à mon sondage.
La grande majorité des élèves penchent en faveur de ne pas mettre le pantalon obligatoire. Voici les arguments et les opinions des élèves :
Les Pour:
Plus besoin de chercher des pantalons sans logo.
On n'aura plus les problèmes de la couleur du pantalon.
C'est plus facile de savoir quoi mettre le matin
Certains élèves ne suivent pas le règlement du pantalon noir uni, alors pourquoi ne pas imposer quelque chose qu'ils ne peuvent pas éviter?
Les enseignants ne feront plus la police.
Nous aurons tous les mêmes pantalons
Il est plutôt logique d'avoir un uniforme pour le haut et le bas et pas uniquement pour le haut.
Le fait d'avoir un pantalon d'uniforme permet de mettre une limite claire entre ce qui est conforme et ce qui ne l'est pas.
Les Contre:
Les élèves ont déja beaucoup de pantalons noirs et racheter un uniforme pour le pantalon serait du gaspillage.
C'est un enlèvement graduel de la liberté de l'élève. De plus, certains élèves portent des jupes et l'uniforme enlèvera cette possibilité.
On peut choisir la sorte de pantalon qu'on veut et qui serait confortable. Pas tout le monde a la même taille et la même morphologie, il est donc difficile de trouver des pantalons appropriés.
C’est discriminatoire envers les élèves de secondaire 1 et 2 alors que les autres niveaux n’ont pas à le porter.
On doit déjà porter un pantalon noir, alors pourquoi en porter un précis, puisque nous avons déjà le haut comme uniforme.
C'est une façon d'exprimer un peu notre style et de ne pas être tous vêtus pareillement de la tête aux pieds. De plus, les pantalons obligatoires sont souvent faits à partir de coupes mieux adaptées aux garçons et sont donc inconfortables et peu flatteurs pour les filles.
Un atout de l’Académie de Roberval est que nous avons le choix de porter le pantalon qui nous convient.
L’uniforme actuel coûte cher. Ça va faire deux fois plus de choses (chandail et pantalon) aux parents à acheter en sachant que la taille des élèves change beaucoup au cours du secondaire. Le pantalon est inutile à l’éducation de l’élève.
La qualité des chandails académiques est très inférieure (par exemple, les chandails blancs sont transparents) donc les pantalons ne feront aucunement le bonheur des élèves.
La majorité des élèves (92,8% des élèves ayant répondu au sondage) pensent qu’on ne devrait pas leur enlever le droit d’avoir un pantalon noir uni de leur choix. Pourquoi restreindre encore plus la liberté vestimentaire qui est si importante à l'adolescence ?
Quelques-uns, en revanche, préfèrent avoir un pantalon de l’école (7,2% des élèves ayant répondu au sondage).
Pensez-vous que M. Laberge et le conseil étudiant changeront d’avis ? Selon moi, l’instauration du pantalon fera certainement plus d’heureux du côté du personnel que du côté des élèves. À méditer.
Par Madalina Pascal
Au début de l’année 2020, on a pu constater que la Covid-19 avait ralenti la pollution de l’air dans les villes. Comme il y avait beaucoup moins de déplacements en transport, le niveau de dioxyde d’azote a chuté d’environ 30%. Les gens ont tous pensé que tout d’un coup la pollution avait disparu. Cependant, que nous réserve le côté caché de cette pandémie envers l’environnement ? Les masques éparpillés un peu partout sont à la base d’un énorme problème.
Premièrement, les masques jetables sont de plus en plus utilisés. Selon les statistiques de La Presse, une personne utilise environ 3 masques par jour. Ces masques ou même des gants réutilisables se retrouvent au sol un peu partout dans la ville ; sur les trottoirs, dans les corridors,
dans les bus, etc. On vient alors créer une nouvelle sorte de pollution qui n’existait pas avant. Les masques chirurgicaux sont faits à base de polypropylène et ils mettent environ 450 à 500 ans avant de se décomposer. Une des solutions qui serait intéressante à proposer serait d’utiliser des masques réutilisables, en revanche, puisque le gouvernement recommande les masques chirurgicaux. Cette solution est mise de côté.
De plus, les masques sont un danger pour la faune. À la fin de l’année 2020, environ 1 milliard de masques ont été retrouvés dans le fond des océans. Certains animaux marins se prennent les pattes dedans et d’autres prennent les masques comme de la nourriture. Les gens veulent se protéger et rester en santé, mais ça ne veut pas dire de mettre la vie des animaux en danger. Le minimum qu’on pourrait faire pour aider la faune serait de couper l’élastique du masque.
Finalement, oui, la Covid-19 a été un grand bonus pour la pollution de l’air, mais elle a aussi été négative en partie à cause des masques que les gens jettent par terre. Existera-t-il un jour un masque réutilisable avec les mêmes propriétés que les masques chirurgicaux ?
Sources:
Combien de temps les masques mettent-ils à se décomposer? | Le HuffPost (huffingtonpost.fr)
Les masques jetables, autre source de pollution, prévient Greenpeace | La Presse
Par Leandra Magliocco
Récemment, j'ai commencé à lire un livre de Guillaume Prévost, un auteur français, qui s'intitule Le Livre du Temps (2019). J'ai rapidement été intriguée par la couverture dorée qui fait refléter la lumière, puis par la quatrième de couverture qui pique visiblement l'attention d'un lecteur passionné de science-fiction ou d'histoire du monde. En effet, l'action de ce livre traite de, vous l'aurez deviné, voyage dans le temps à travers différents lieux et époques. Il est d'abord transporté en Écosse à l'époque des Vikings, puis durant la bataille de Verdun, pendant la Seconde Guerre mondiale, pour ensuite se rendre en Égypte ancienne et en Europe de l'époque médiévale.
L'action commence rapidement, critère plutôt important lorsque je me cherche un livre à lire. La quête de Sam, le personnage principal, qui est de retrouver son père à travers le temps, rend le jeune adolescent attachant, surtout avec ses plans bien pensés.
Je recommanderais ce livre aux lecteurs qui aiment l'esprit d'aventure d'un roman, mais aussi à ceux qui ont le courage de s'aventurer dans de longues histoires. En tant que tel, le premier tome ne fait qu'environ deux cents pages, mais un deuxième volume est déjà sorti. Bref, cette trilogie à venir sera sans aucun doute remplie de surprises à travers le temps, d’amitiés et d’aventures intrigantes.
Par Charlotte Ferland
Poisson (20 février-20 mars) : Bonne fête ! Je te souhaite de la chance, de l’amour et de la richesse (émotionnelle et matérielle) … et je te souhaite de t’éloigner des cancers et des balances... S'il te plait, c’est ta fête, fais-toi un cadeau ! |14/30
Bélier (21 mars-21 avril) : Le jugement des autres n’en vaut pas tout le temps la peine. Si jamais tu rencontres des personnes toxiques, n’aie pas peur de t’en éloigner. | 22/30
Taureau (21 avril-20 mai) : Oh oh… mais c’est mieux si tu l’apprends de notre part : tiens-toi loin des personnes dont le nom contient les lettres v, t, e, d et 5 (oui, 5, tu vas comprendre assez vite). | 29/30
Gémeaux (21 mai-21 juin) : Je vois que Vénus arrive, alors ne mange pas de framboises cette semaine, sinon la recrudescence de Jupiter va t’affecter. | 17/30
Cancer (22 juin-23 juillet) : Les personnes aux cheveux blonds et aux yeux verts, mais pas si verts que ça, vont avoir un impact positif sur ta vie. | 11/30
Lion (24 juillet-23 août) : Les monuments en forme de paons sont à éviter. Ils ont tendance à étendre leurs ailes vers de nouveaux horizons... en gros, ils s’en vont et ne reviennent jamais. | 15/30
Vierge (24 août-23 septembre) : Si ton autobus passe à 4h pm, n’aie pas peur de la glace noire. L’esprit d’un ancêtre sagittaire te protège. Fais tout de même attention ! | 22/30
Balance (24 septembre-23 octobre) : « Ce n’est pas parce que tu penses que le jaune te va bien qu’il va bien à ton chien. » Réfléchis bien à cette citation avant de te diriger vers ton casier. | 9/30
Scorpion (24 octobre-22 novembre) : Si tu ne saisis pas la prochaine opportunité offerte, tu passeras à côté de la chance de ta vie. | 8/30
Sagittaire (23 novembre-20 décembre) : Si leur émission préférée est Stranger Things... alors je n’ai rien à dire, simplement : réfléchis bien à ça. | 7/30
Capricorne (21 décembre-20 janvier) : Tes parents ont l’air heureux ? Ce serait le bon moment pour leur demander quelque chose, comme de l’argent de poche ! | 25/30
Verseau (21 janvier-19 février) : Prends du temps pour toi. Je sais que tu as eu une grosse semaine. Appelle tes amis, commande de la nourriture, commence une nouvelle série ! 12/30