Dédicace au Village des Ecrivains à Malestroit le 06 10 13 parrain Michel Hidalgo

Curieuse dédicace que celle de ce 06 octobre 2013 ! A deux doigts d'annuler ma participation après plusieurs très longs jours difficiles, j'arrivais dans cette jolie ville de Malestroit sans la pluie. En effet, l'année dernière, le soleil n'avait pas réussi à la chasser.

Cette journée fut pour ma part à classer en demi-teinte, mais malgré tout riche d'enseignements.

Etrange impression de façade de maison tronquée !

Ainsi, invitée à Malestroit par l'organisateur du salon, Monsieur Gicquello, une fois dans les murs du lycée, aucune table ne m'attendait. Cherchant à réparer, la sympathique équipe de bénévoles alla chercher un endroit convenable et de petites tables de classe pour que je puisse m'installer le plus normalement du monde. Et je fus placée, à défaut, au beau milieu de l'une des salles allouées à l'accueil des auteurs du jour.

Cependant, ce ne fut pas du goût de l'un d'eux qui, paniqué, s'emporta, arguant que j'allais empêcher les gens de passer et d'accéder à sa table. Aïe, aïe, aïe, que notre monde d'écrivants est bien petit et bourré de gens à l'ego démesuré !

Et voilà qu' "on " me photographie !

Malgré les hostilités d'une seule personne, un auteur en mal de reconnaissance, tout s'est donc bien passé.

Firmin Le Bourhis passé me saluer et discuter un petit moment.

Après quelques discussions instructives sur les façons de procéder d'une maison d'édition à compte-d'auteur et un échange avec Dominique des Escrituriales, j'ai écourté cette journée ne pouvant plus donner le change, obligée de me préserver.

Je souhaite conclure ce compte-rendu par une pensée à l'égard de Catherine Borgella, partie il y a un mois jour pour jour, injustement emportée par une longue maladie. J'avais rencontré Catherine au salon de l'Ecrit à Montmorillon. Venise et l'Italie nous avaient rapprochées. Nous avions dédicacé côte à côte, Jets D'Encre étant notre éditeur. Hasard ou concours de circonstances que ce côté rebelle du jour où il fut question de cette " forte " Dame avec le responsable du salon avant de m'en aller vers mes pénates. Au revoir Catherine !

Le chef d'établissement du lycée qui est venu souhaiter une bonne journée à chacun.

Monsieur Gicquello pendant son discours.

Je suis donc rentrée avec deux éléments positifs :

- un rendez-vous radio dans les mois à venir côté Cornouailles (J'en dirai plus en temps voulu).

- la délicate attention de Michel Hidalgo, non seulement en m'autorisant à déposer sur mon site la photo prise de son discours prononcé lors de l'inauguration de ce salon qui était resté sur le pupitre, mais en inscrivant un gentil mot qu'il a tenu à apposer sur la photocopie qui avait été faite du document.